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Rétablir la peine de mort pour lutter contre les avortements

Pour retrouver un peu de morale chez nos femmes, il va falloir y mettre les moyens. Je crois que nous n’en sommes plus au stade où une gentille loi contraignante pourrait contre-carrer l’hystérie de la femme française. Nous ne sommes pas en Espagne où la société s’est relevée miraculeusement de décennies de folie progressiste mais à qui il a fallu une crise économique sans précédent pour commencer à se poser des questions de cet ordre. Chez nous, le débat médiatique et l’éducation de nos enfants deviennent de plus en plus difficiles à assurer dans de bonnes conditions à cause d’un système corrompu au dernier stade.

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Exemple pour la journée d’hier.

Prenons seulement la journée de manipulation médiatique d’hier. Les journaux ont profité de notre journée de contestation dans la rue contre les infanticides, notre marche pour la vie, pour faire parler les personnes favorables à ces infanticides. Au mieux, ils nous ont ignorés. Au pire, ils se sont servis de notre mouvement, pourtant très majoritaire dans la rue, pour faire passer leurs idées. Les seuls médias qui traitaient un peu objectivement l’information ces derniers mois, BFM TV, les représentations régionales telles que France 3 et certaines chaînes de Radio France, ont été mises au pas depuis. Désormais, il n’y a plus aucun espoir que ce système médiatique joue son rôle. La réflexion est à l’arrêt dans notre pays. Et tandis que « l’évolution » progressiste détruit tout sur son passage, il ne nous est plus permis, ou de moins en moins, de contester ces évolutions. Tout est sous contrôle de la doxa si ce n’est internet. Pour le reste, que nous soyons minoritaires ou majoritaires sur un sujet n’y change rien. Minoritaires, nous ne devrions plus exister pour ces gens au pouvoir. Majoritaires, nous sommes dans l’erreur, et il ne faut donc pas nous donner la parole. La machine tourne à vide. Elle a raison sans écouter plus que cela des arguments qui ne lui conviennent pas. Le niveau de conscience général de notre pays est proche du zéro, sur tous les sujets de société et en particulier, comme on le voit,sur l’infanticide par avortement, crime s’il en est. Nous nous enfonçons sans pouvoir faire le constat de notre échec total masqué par l’illusion de décennies d’une réussite irresponsable basée uniquement sur une manne pétrolière qui nous est tombée du ciel et qui n’était pas le fruit de nos compétences propres. A cause de cette richesse, l’incompétence s’est généralisée dans notre société, si ce n’est parmi les professions libérales, et nous gagnons de l’argent moins par notre intelligence que par notre capacité à oppresser le contribuable ou l’employé.

Le coeur bat 4 semaines après la fécondation

L’échec total sur la question de l’avortement, un exemple significatif de faillite sociale.

Chez nous, les moyens de contraception ne cessent de se développer et en parallèle, les avortements n’ont jamais été aussi nombreux alors même que de nombreux infanticides ne sont plus comptabilisés (pilule du lendemain). Et pourtant personne ne veut faire le bilan de l’échec du progressisme. Personnellement, j’ai toujours été opposé à la peine de mort. Les voyous hommes se font une gloire de mourir à l’échafaud. Mais qu’en est-il du côté des femmes. Depuis quelques jours, je suis en train de comprendre que seuls des moyens drastiques pourront bientôt s’opposer à un tel permis de tuer communautaire. Nous n’y arriverons pas sans y mettre les moyens. Beaucoup trop de nos femmes en sont arrivées à tuer leurs enfants, à faire des lois pour légitimer leur folie criminelle, et surtout empêcher toutes celles à qui il resterait un brin de conscience de pouvoir être éclairées dans leurs prises de décisions. Ainsi, le délit d’entrave à IVG, voté aujourd’hui même (Libération 20 janvier 2014), est maintenant conçu pour que les conditions d’une réflexion et d’une prise de conscience morale soient interdites. Tuer son enfant doit être un droit reconnu par tous. Toute étude scientifique, toute image d’enfant dans le ventre de sa mère, toute prospection de possibilités autres qui s’offriraient à une femme seront bientôt assimilés à un empêchement à avorter. La femme ne doit pas être mise face à la réalité de sa grossesse. Qu’en sera-t-il si une de ces femmes rencontre une de nos manifestations par hasard et décide de porter plainte contre nous à cause de nos affiches ? A mon avis et vu l’expérience du passé, il ne faudra pas quelques années pour que le fait de manifester contre l’IVG puisse être considéré comme un délit d’entrave IVG et sanctionné devant un tribunal.

Le cerveau est là après 5 semaines.

La libération de la femme : une lente évolution vers la tyrannie.

Au début, le droit d’infanticide est conçu de manière exceptionnel dans le cadre d’une « libération de la femme ». Par la suite, il se généralise. Dans un troisième temps, il devient l’unique option. A ce stade, la liberté de la femme n’est plus qu’un lointain souvenir : la femme n’est plus éclairée dans ses choix, les avortements sélectifs des femmes touchent les filles en principal. Il est à prévoir qu’un dernier stade de corruption pourrait être celui, dans des pays très riches, de l’élimination de masse des enfants garçons par ces femmes et de la fabrication sur commande de bébés aux caractéristiques eugénistes particulières (comme cela se fait déjà pour les PMA), voire la fabrication d’oenuques au service de leurs parents.

âgé de 12 semaines, 10 cm de haut, légalement vous pouvez encore vous en débarrasser.

La peine de mort pour infanticide : une solution à envisager désormais.

A tout choisir, en demandant à la loi de tuer une femme meurtrière, certes on tuerait une femme qui pourrait avoir d’autres enfants. Cependant, on empêcherait surtout une femme de se croire tout permis sur sa future progéniture. Des êtres qui sont capables de tuer un enfant, peuvent-elles être de bonnes mères ? Sans prise de conscience de leur part, seront-elles capables de mettre un frein à l’inceste symbolique qu’elles exerceront sur leurs futurs enfants ? J’en doute. Une femme qui avorte sans avoir conscience de son geste, sans avoir conscience de l’horreur de son crime, n’est pas apte à éduquer d’autres enfants. Elle a certainement droit à la rédemption, mais quelques années de prisons avant d’être exécutée devraient suffire.

Deuxième objection : on supprimerait une vie sans pouvoir faire revenir celle qui aurait été éliminée. Oui, mais ça servirait d’exemple pour les autres. Imaginons, que si au lieu de les voir tuer 220 000 enfants par an, on était obligé de condamner à mort seulement 219 999 femmes, parce que seulement une unique femme aurait renoncé à avorter, et bien ce serait toujours un enfant innocent qui aurait été épargné, et une femme qui aurait accepté d’accueillir la vie malgré ses petits fantasmes personnels. Ce serait toujours une victoire.

Dernière objection : 219 999 femmes par an condamnées la peine de mort pour avoir avorté, cela demanderait une logistique énorme. Cependant nos progressistes ont pourvu à tout : ils ont prévu d’euthanasier les personnes âgées dans les hôpitaux en masse. Ils le font déjà dans une certaine mesure. Eh bien, au lieu d’éliminer des personnes innocentes qui ne demandent qu’un peu de soins et d’amour pour vivre, on pourrait sauver ces personnes là, très utiles à notre société, et les remplacer sur leurs lits d’hôpitaux par des femmes infanticides. Une petite injection, on s’endort, il n’y a plus de meurtrières et ni vu, ni connu, on réglerait le massacre en masse de centaines de milliers d’innocents de manière aussi discrète que ces femmes ont été capables d’éliminer plusieurs millions d’enfants sur quelques décennies. On pourrait utiliser aussi les locaux du planning familial. Ce sont déjà de vraies boucheries. Que ces femmes du planning familial tuent des femmes coupables à la place d’enfants innocents, cela risquerait de leur procurer une jouissance inférieure, mais bon sang, c’est tout de même l’extermination de personnes humaines pleines et entières. Elles devraient y trouver leur compte.

Bien entendu, il faudra aussi une loi pour faire condamner pour crime contre l’humanité les hommes et femmes politiques qui ont organisé  ces meurtres de masse. Il faudra les poursuivre dans le monde entier jusqu’à leur mort  et les faire passer devant un tribunal d’exception  militaire comme les nazis eugénistes qu’ils sont.

1 Le site très intéressant duquel j’ai tiré les photos d’enfants : Naître et grandir.com

Léonidas Durandal

Antiféministe français, j'étudie les rapports hommes femmes à travers l'actualité et l'histoire de notre civilisation.

View Comments

    • Ce n'est ni à vous, ni à des juges de décider de qui doit a le droit de vivre et/ou de garder la possibilité de se reproduire ou non. La prison suffit. 

      • Bonjour,

        Il faut bien poser un tabou concernant les assassinats. C'est le rôle des hommes de le faire. ca limite la toute puissance féminine. Mais c'est nécessaire.

        Cordialement.

        M.D

        • Une mise en examen pour homicide suffit et une peine de prison posent déjà une limite. 

          Bon je suis biaisée parce que chez nous, celles qui avortent c'est les femmes et jeunes filles tout juste pubères qui subissent de véritables ignominies sexuelles à l'Est qui est en guerre . 

          Marie

  • Dans la Manche, il y a une trentaine d'années, un médecin franc-maçon stérilisait systématiquement les femmes venant se faire avorter, les jugeant indignes d'être mères...

    • Bonjour M Christo,

      Là, je dois avouer, ça se discute. Une femme m'avait tenu le même propos à propos des mères indignes. Les hommes subissent bien une forme de castration chimique en cas d'abus répétés. Peut-être qu'en tuant un enfant, elles perdent le droit de devenir mères.

      M.D

  • C'est mon avis, qui vaut ce qu'il vaut, mais dans ce cas les violeurs devraient être condamnés à mort aussi. Les violeurs avérés, pas les personnes accusées 15 ans après les faits dans des circonstances troubles. 

    • Bonjour Lou,

      Difficile de condamner une pulsion de vie mal orientée. Vous mélangez tout et ramenez tout à vos peurs de femme sans avancer aucun argumentaire. Commentaire condamné pour son ton péremptoire et sentimentaliste.

      M.D

      • Bonjour Léonidas,

        Ce n'est pas tellement une peur que j'ai pour des raisons que je n'étalerais pas ici car je ne voudrais pas vous effrayer davantage (lol). 

        Pulsion de vie ou pas, le viol est un tort : il disrupte le devoir de sélection des femmes, crée des mères célibataires et des femmes traumatisées. 

        • Chère Lou,

          Pour vous effrayer définitivement, pour moi, le viol est essentiellement un fantasme de femme et qui est le produit de la violence des femmes sur leur garçon. Finalement, cela nous concerne peu en tant qu'homme. Réglez cela entre vous, mais pas en demandant à la société de sortir l'arme atomique. Et puis, si vous avez raison en matière de sélection, les femmes ont eu beau jeu de se faire faire des enfants un peu partout au cours de l'histoire et de favoriser un certain hasard. Là aussi, cette idée vient des femmes. Allons donc, vous n'êtes pas aussi rigides et calculatrices que vous voulez en donner l'image.

          M.D

          • Bonjour Léonidas,

            Un homme séduisant n'est pas forcément beau et riche. "

            "Les violeurs infligent aux femmes les mauvais traitements qu’ils ont subi de la part de leur mère."

            Et les femmes deviennent féministes parce que leur père méprisait les femmes. Mais leur père méprisait les femmes parce que leur mère était maltraitante. Mais la maman était maltraitante parce que...A un moment il faut se prendre ses responsabilités et faire à son niveau le nécessaire pour ne pas perpétuer les violences entre sexes. 

            Pour le viol et les femmes, je ne pense pas être d'accord lorsque vous dites que c'est un défaut féminin. Je pense que beaucoup d'hommes fantasment sur le fait d'être violeurs. 
            D'ailleurs : "L’homme ne le voit pas du tout comme ça (il conquiert un trophée, comme à la chasse)." C'est le même principe mais dit de manière plus valeureuse. A moins que vous considérez que les animaux tués à la chasse avait envie de l'être. C'est d'ailleurs là que se joue le contrôle sur l'homme. Les femmes appuient sur le sentiment de culpabilité pour avoir la mainmise sur eux parce qu'une partie d'eux a cette envie destructrice. 

            "Il va la rendre désordonnée."

            C'est bien le problème et la raison pour laquelle le viol est condamnable et pas une pulsion de vie. C'est une pulsion de mort. Entre les "bonnes baiseuses" et les "grosses qui s'enlaidissent" pas sûre que beaucoup finissent bonne mère de famille.

            Quant à celles violées par des étrangers outre le fait que je doute qu'elles l'aient toutes inconsciemment voulues (ce type de violeur agit plus par opportunisme qu'autre chose), eh bien cela peut avoir une influence très néfaste sur leur vie de couple aussi. 

            "(Provocation de votre part) Vous savez bien que nous ne sommes pas égaux devant la procréation et en matière de sexualité. Une femme qui fait élever un enfant d’un autre homme par son mari, est bien plus coupable qu’un homme qui cède à la tentation sexuelle avec une femme, et à l’extrême, une seule fois et dans un moment d’égarement."

             

            Cette fois ci non, pas une provocation, je le pense sincèrement.

            Déjà,  Pour la question des tentations sexuelles, je ne vois pas ce qui est pire. L'homme est plus tenté peut-être. Mais en même temps, comme vous l'avez souligné, les femmes se font rarement prendre juste comme ça. Si c'est arrivé, c'est qu'il a , à plusieurs reprises, accepté de dépasser certaines limites... Du reste, il est peut-être moins responsable au regard de sa femme (encore que, c'est un manque de respect et une violation des engagements qu'il a pris devant Dieu)mais auprès de la société, créer une maman célibataire et un enfant illégitime...ça crée du désordre. . Et puis, c'est un peu anachronique entre la contraception et les tests de paternité, en vrai des deux côtés il y a surtout baise sans enfant après.

            De plus, cétait plutôt un commentaire pour conclure l'ensemble de mon message. Je trouve qu'au lieu de se concentrer sur les péchés des autres  et dire qu'ils devraient être pendu, on devrait se concentrer sur être de bons catholiques. 90 % des catholiques français sont favorables à l'avortement, les femmes catholiques utilisent la pilule, les catholiques divorcent, viennent à l'Eglise deux fois par an (Noël et Pâques) et envoient de moins en moins leurs enfants au cathé. Ils n'attendent pas la mariage pour coucher. Nous sommes tous responsables parce que nous avons une société qui est immorale et nous ne faisons rien pour la changer et pire, nous faisons rien pour nous en différencier, nous nous y conformons complètement. 
             

          • Bonjour Lou,

            "Je pense que beaucoup d'hommes fantasment sur le fait d'être violeurs."
            Non, les hommes normaux résistent à cette tentation que suscitent les femmes, cette perte de contrôle qui arrange bien la femelle en vous. Le viol n'est qu'un scénario extrême d'homme qui cède à toutes ses pulsions envers une femme. Il n'est plus homme. Il ne s'appartient plus dans ce cas. Il est entièrement sous le contrôle de la femme qui l'a invité à céder. C'est ce que toute femme attend en son for intérieur : qu'elle soit si désirable, qu'un homme passe toutes les barrières sociales (masculines) pour lui céder. Après, l'homme est pieds et poings liés à la femme qu'il a traité ainsi : il est asservi non seulement affectivement (combien de violeurs cherchent à se faire bien voir après l'acte, ils ne cherchent que ça à vrai dire), mais aussi socialement, car le viol est réprouvé. Il est réprouvé non parce qu'il ne convient pas aux femmes, intimement, mais parce qu'il génère une violence sociale démesurée. Les femmes risquent de devenir de tels objets de convoitise, que les hommes risquent de s'entre-tuer entre eux pour les protéger/les posséder. Mais n'y a-t-il rien de plus jouissif pour une femme qu'une telle situation sociale ? Voilà pourquoi toute femme est animée par le désir du viol. Elles se le cachent (et encore....) et elles le cachent aux hommes par peur de perdre toute crédibilité sociale. Au contraire, font-elles semblant de lutter contre à travers le féminisme. Mais elles ne font qu'augmenter le tabou pour mieux en jouir. La féministe, par son attitude, par ses revendications, est le genre de femmes chez qui la dissonance est la plus grande entre le désir intime de se faire violer et le discours social. Leur hystérie et leurs mensonges, ne sont que l'envers d'une pièce qui demande aux hommes d'intervenir de manière brutale et définitive pour calmer la petite fille perdue. Elles veulent que papa s'intéressent à elles. Mais comme il est difficile à papa d'organiser une société du viol, elles insistent, jusqu'au retour des barbares qui ne se poseront pas tant de questions que moi, qui non seulement les prendra, mais également, se sera octroyé le droit social de les prendre sans condition. Les femmes qui font pendre les violeurs, en Inde par exemple, me font penser à ces blanches durant la ségrégation qui se faisaient troncater par leur esclave puis qui le dénonçaient. Ils étaient condamnés à mort par jalousie des hommes blancs.

            "A moins que vous considérez que les animaux tués à la chasse avait envie de l'être"
            Il n'y a rien de plus ridicule que la victoire d'un homme sur une femme. L'homme qui a conquis une femme, n'a fait que lui céder, que se soumettre à ses désirs, au discours qu'elle attendait de lui. Les dragueurs l'ont bien compris. Pour le plus grand plaisir des femmes d'ailleurs, ils arrangent la vérité pour leur plaire. Mais combien les femmes se rient de ceux-là, ou plutôt combien cherchent-elles à les voir continuer à agir ainsi, à développer des trésors de soumission pour soit-disant les conquérir. L'homme croit décrocher un trophée avec une femme pour se cacher qu'il n'a été que, et uniquement, faible. Et il n'y a rien qu'une femme cherche plus à préserver chez un homme que son image de force, ou cette volonté d'être fort avec elles. Car plus il s'imagine fort, plus il est asservi aux femmes. L'attirance bête des hommes que les femmes favorisent, n'a qu'un seul but : qu'elles puissent aussi se cacher le grand vide en elles qui les terrifie. Les sollicitudes de l'homme leur font oublier, pour un instant, ce grand vide.

            Pour ce qui est de votre dernier paragraphe, nous ne parlions pas de la même chose. J'évoquais les femmes en couple qui se font faire un enfant par un autre homme que leur mari, et qui selon les dernières analyses génétiques, maintenant que la génétique le permet, ont été très très nombreuses (au moins 1 sur 5), proportion non négligeable de femme qui réintroduisent du hasard dans les relations.

            Effectivement, si une femme est seule, un homme doit assumer les conséquences disproportionnées de ses ébats. Car même dans ce cas, c'est disproportionné. Il n'y a a pas de commune mesure entre la pénétration et le fait d'être pénétrée. La femme choisit par qui elle veut être pénétrée (comme chez tous les mammifères). Elle sélectionne l'homme. L'homme a beaucoup moins de choix, à l'exception d'une petite minorité d'hommes. Voilà donc qui met la responsabilité de tels ébats sur le dos des femmes, uniquement, elles qui sont censeur des entrées et sorties dans leur sexe. L'égalité typiquement féminine que vous tentez de développer n'existe pas. Tout comme avec les mères de violeurs. Je peux le regretter, mais il en est ainsi : la femme a un rôle premier par rapport à l'homme, pas supérieur, mais premier. Elle va marquer, plus qu'au fer rouge, l'enfant pour le restant de sa vie sexuelle, affective, et même morale parfois. Le père va apparaître à l'enfant comme un monde alternatif qui va lui permettre de sortir du giron de sa mère. Mais si la mère interdit cette sortie, le père n'y pourra rien. Je le dis ici, comme je l'ai déjà dit ailleurs : même si le père est une véritable crevure, une femme doit absolument l'adouber auprès de ses enfants. Les mères le savent à ce point qu'elles sont très sourcilleuses en matière de choix d'un partenaire, pour cette raison, mais aussi pour beaucoup d'autres de cet ordre. Une femme est la garante principale de la vertu du couple. Ce n'est pas un rôle que nous voulons leur faire endosser, pour nous déresponsabiliser en tant qu'hommes (peur de femme), mais un rôle naturel éminent.

            M.D

          • Que voulez-vous dire ? Quel est le lien avec la violence envers leur garçon ?

            A part cela, les femmes fantasment qu'un homme séduisant soit tellement consumée de désir pour elles qu'il soit prêt à braver tous les interdits et ne puisse s'empêcher de les prendre. Dans leur fantasme elles sont excitées, l'homme prend toujours soin de faire quelques préliminaires ou alors pardonnez ma vulgarité mais elles mouillent déjà tellement que le coup de b...  passe tout seul. Est-ce un viol ou une prise virile ? Un consentement peu être implicite. Ca ne ressemble pas à la réalité d'un vrai viol. La violence, le sang, l'absence d'excitation...Je sais que vous allez me citer les femmes qui ont des orgasmes lors des viols. Mais justement, c'est une mort psychique pour pas mal de femmes de se faire violer précisément à cause des sentiments contradictoires que cela engendre. Je pense que certains violeurs le savent très bien et apprécient d'activer cette ambiguité chez les femmes. . 

            "en demandant à la société de sortir l’arme atomique."

            A vrai dire, je ne pense pas que les violeurs devraient vivre la peine de mort. J'ai dit cela pour vous provoquer car je trouve votre article extremiste. Déjà, je suis contre la peine de mort peu importe le crime. Je crois à la rédemption,  et certaines des plus ferventes militantes pro-vie sont des femmes qui ont eu recours à l'avortement. Dans votre article vous dites : "Sans prise de conscience de leur part, seront-elles capables de mettre un frein à l’inceste symbolique qu’elles exerceront sur leurs futurs enfants ?". Comment avoir cette prise de conscience si on les tue avant ?

             

            Par ailleurs, je crois que nous sommes tous responsables dans ces affaires de société. Mes enfants sont chez leur grand-parents aujourd'hui, ce qui me permet de vous écrire et de vous parlez. La semaine dernière, je gardais mes neveux pendant que leur mère faisait des démarches en ville. Nous n'avions pas prévu d'avoir des jumeaux, évidemment, je n'ai pas décidé d'en balancer un à la poubelle, mon mari à chercher à faire plus d'argent, mes anciennes amies m'ont donné les  anciens habits de leurs fils. Ma cousine est tombée enceinte à 23 ans, sa mère l'a chassée de la maison, mais son compagnon a pris ses responsabilités et sa mère s'occupe beaucoup de ses petits enfants.

            Quand je raconte ça on me dit que notre famille "a de la chance". Et c'est vrai. Mais avant, c'était la norme. Où sont passé l'entraide entre femmes ? Les hommes responsables ? Les mamies gâteau ? Les voisins amis ? Les grand-pères un peu grincheux qui s'adoucisse à la vue de leurs petits enfants ?  Les communautés en somme. Elles ont disparu quand nous avons cessé d'être catholique. 
             

            Nous avons créé une société où personne ou presque ne voit où est le mal là-dedans. Si toutes les autorités autour de vous (parents, école, juridiction) la culture (films, livres etc) cautionnent l'acte, que par ailleurs vous n'avez aucune croyance en Dieu, il est évident que les gens seront inconscients. Regardez donc ce témoignage en bas... aucune conscience, pas de regret parce qu'elle ne le voit même pas comme un bébé. 

            "les femmes ont eu beau jeu de se faire faire des enfants un peu partout au cours de l’histoire et de favoriser un certain hasard.'

            Pour le plus grand bonheur des hommes et de l'humanité. 

            Nous sommes une société, nous sommes tous responsables. 

          • Lou,

            "Que voulez-vous dire ? Quel est le lien avec la violence envers leur garçon ?"
            Les violeurs infligent aux femmes les mauvais traitements qu'ils ont subi de la part de leur mère. Le viol est une histoire qui ne concerne que les femmes.

            Il y aurait effectivement 5% de femmes qui auraient un orgasme durant leur viol. Et le violeur doit jouir particulièrement des sentiments contradictoires qu'il inflige à sa victime. Mais j'en reviens au fond, à l'article qui a fait explosé le site voilà quelques années de cela, "le féminisme est un appel au viol". Pour tout dire, je n'ai pas pu aller jusqu'au fond de ma pensée. Je savais que ça allait remuer, même si j'ai été surpris par l'ampleur de la réaction. Et pour cause... j'ai fini par comprendre ce que j'avais senti seulement d'instinct et que je n'osais m'avouer, et que la réaction de ces femmes m'a permis d'intégrer pleinement. Si le féminisme est un défaut de la femme, le viol qui est le fond du féminisme n'est pas qu'un défaut des féministes à proprement parler, mais des femmes en général. Et ici, je dois mettre une aparté légale pour pouvoir continuer. Tout ce qui va suivre ne doit surtout pas être interprété comme une incitation au viol de ma part. Ceci étant dit, ce n'est pas que le féminisme qui est un appel désespéré au viol. Je crois que le fond féminin, c'est le viol, c'est leur pouvoir ultime de contrôle sur les hommes. Pourquoi ne pouvons nous pas bander s'il y a accord explicite et pourquoi les féministes cherchent à tout prix cet accord explicite dans les relations hommes femmes : parce qu'elles veulent chasser cet amour du viol que toute femme bien constitué possède en elle. Le viol c'est comme l'abus sur les enfants par le conjoint, que j'ai développé dans un autre article, cela permet un contrôle total de la femme sur l'homme. Chaque acte sexuel est une simulation de viol en fait (pour la femme, mais pas pour l'homme). Vous avez évoqué le fantasme du jeune riche et beau qui violerait une de ces demoiselles très excitée. Mais en vérité, tout acte sexuel reproduit ce schéma pour une femme. La femme qui accepte de se faire pénétrer fait semblant de ne pas le vouloir, mais elle considère celui qui la pénètre comme assez valeureux pour le faire, alors elle se laisse faire (je vous passe les détails). C'est un scénario de viol. L'homme ne le voit pas du tout comme ça (il conquiert un trophée, comme à la chasse).

            Allez, dépassons maintenant toutes les bornes du politiquement correct. Il n'y a pas de meilleures baiseuses que des femmes qui ont été violées dans un inceste pendant leur enfance. Toutes ne vont pas le vivre de la même manière, certaines vont grossir, s'enlaidir, se masculiniser, pour échapper à leur prédateur, mais d'autres vont développer une féminité exacerbée. Comme dit notre "observateur" youtuber dans une autre de ses vidéos, "pas sûr que je choisirais une de ces bonnes baiseuses pour être la mère de ma progéniture". Cependant, les filles qui ont été violées, piétinées durant leur jeunesse sont aussi les meilleurs coups, et parfois même très jolies (dommage qu'elles nous infligent désormais la vue de tatouages hideux). Je veux dire par là que le viol n'est pas si antinomique de la féminité, ni de la sexualité féminine en tout cas. Le viol incestueux du père va briser les transmissions nécessaires que la petite fille devrait recevoir de sa mère, mais il ne va pas briser sa sexualité avec les hommes. Il va la rendre désordonnée. S'il brise la sexualité des filles adultes et accomplies qui le subissent tard et de la part d'un étranger, c'est parce qu'il va s'attaquer à l'image de l'autre, et non du même. Dans l'image du même, il y aura le désir, l'attirance que l'on aura suscité, un pouvoir de femme qui ne devrait pas échoir à une petite fille. Mais tout cela pourra faire sexualité. Au contraire, la femme violée dans la rue (beaucoup plus rare en définitif), devra gérer son image de l'autre, la peur de l'autre, de sa violence, et en même temps savoir si inconsciemment, elle ne l'a pas voulu, avec pour réponse : oui, une part d'elle l'a voulu, parce que le viol, c'est un fond de la sexualité féminine. Regardez, même dans les scénarios sado mado où la femme domine, le viol est aussi simulé mais d'une autre manière. L'homme a accès à la pénétration, s'il se comporte comme un caniche. La sadique n'est qu'une femme normale qui émet des conditions délirantes pour pouvoir prendre son plaisir à être violée (jusqu'à vouloir au préalable, le viol de son compagnon par d'autres hommes). Et à l'inverse, la masochiste, elle vit un viol perpétuel qui alimente son plaisir, sans condition que celle d'endosser, pour l'homme, le rôle d'abuseur (très facile d'appuyer sur la volonté de domination de l'humain dans ce cas). Mais dans les deux cas, il y a viol. Tout comme dans un acte sexuel normal, parce qu'un des invariants féminin, c'est le plaisir par le viol (même s'il n'y a pas que ça).

            Eh bien passons du pire au meilleur sans transition :

            "Où sont passé l'entraide entre femmes ? Les hommes responsables ? Les mamies gâteau ? Les voisins amis ? Les grand-pères un peu grincheux qui s'adoucisse à la vue de leurs petits enfants ? Les communautés en somme. Elles ont disparu quand nous avons cessé d'être catholique. "

            Vraiment belle cette phrase et rien à rajouter, juste le plaisir de la lire et de la faire lire encore une fois.Nous ne devons pas être des prophètes de malheur dit le dernier article sur l'institut des libertés. Cette phrase nous y fait échapper.

            "Nous sommes une société, nous sommes tous responsables. "

            (Provocation de votre part) Vous savez bien que nous ne sommes pas égaux devant la procréation et en matière de sexualité. Une femme qui fait élever un enfant d'un autre homme par son mari, est bien plus coupable qu'un homme qui cède à la tentation sexuelle avec une femme, et à l'extrême, une seule fois et dans un moment d'égarement.

            M.D

  • J'ai avorté parce que je ne voulais  être lié au père de l'enfant à naître, qui était violent physiquement et verbalement. J'avais enfin réussi à trouver la force de partir et j'ai découvert 2 semaines après a grossesse. Il n'était pas question de retomber dans le cycle de relation toxique  . Aujourd'hui, j'ai un mari et 4 enfants . Je ne suis pas fière d'avoir mis fin à la grossesse mais c'était un mal nécessaire.

    • Laissons là le passé.
      Qui dans votre famille actuelle est sacrifié pour que votre famille puisse continuer à vivre à peu près sereinement ?

      • Dans ce cas, allez vous plaindre chez mon mari et mon père. Mes enfants ont eux-même des enfants. Je ne m'inquiète pas pour leur stérilité.

        Il ne voulait pas assumer ses responsabilités. Il voulait maintenir le contrôle. Il a dit comme vous qu'il ne voulait pas "tuer un bébé" mais pour moi c'était hors de question de me remettre avec lui. Je lui ai proposé d'accoucher sous X et de le laisser reconnaître l'enfant. Il m'a dit qu'il ne voulait pas s'en occuper seul. J'ai dit dans ce cas que l'enfant pourrait être adopté par une famille. Il n'a pas voulu non plus et m'a dit " dans ce cas balance le même dans les toilettes, ça m'est égal". 

        Peut-être, mais plein de graines ne germent pas. Pour les fausses couches, personne n'organise de deuil par exemple. Des fois on s'en rend même pas compte. 

        • Bonjour madame,

          Toutes vos propositions auraient pu être prises comme des provocations pour un homme qui vous aimait.

          " Pour les fausses couches, personne n'organise de deuil par exemple. Des fois on s'en rend même pas compte. "

          Bien entendu qu'il y a des femmes qui organisent le deuil après une fausse couche. Vous semblez faire parti de ces nombreuses femmes qui vivent à côté de leur corps. La plupart des femmes ne découvrent leur corps qu'à travers les mains d'un homme.

          M.D

          • Et c'est moi qui en ai plein sur la patate.

            J'aurais eu une volonté de contrôler avant ce compagnon mais en même temps cette volonté de contrôle que j'aurais, elle me viendrait de lui. Si cela peut vous rassurer quant à l'influence que vos camarades losers ont sur le monde...

            Vous regrettez qu'elles ne composent pas avec vous, mais vous ne pouvez composer avec personne. Ni avoir la sagesse de vous mettre avec quelqu'un qui accepterait une personne orgueilleuse et tyrannique dans votre genre. Pourtant, des femmes soumises, il y en a plein.

            Pour le reste : outre la manière caricaturale de reprendre mes propos, c'était très ennuyeux à lire, vous vous répétez un peu. Merci pour cette distrayante conversation, je retourne à ma famille et ma vie en communauté.  Votre Jésus me les reprendra peut-être, mais j'aurais eu une trentaine d'années de vie comblée. Trente de plus que vous.

          • La vérité c'est que les relations sexuelles régulières  entre personnes fertiles, finissent sur une grossesse dans la majorité des cas, qu'il y ait "désir de grossesse" ou pas. Mais vous voulez utiliser les quelques pourcentages de femmes qui n'arrivent pas à avoir des enfants pour des raisons psychologiques pour me faire croire que toutes les grossesses sont désirées. 

            Oui, on se "soumet" chacun à l'autre,  c'est comme cela que l'on fait des familles stables. Il n'aurait jamais pu taper assez fort car j'étais bien plus forte que lui mentalement et il ne pouvait le supporter, raison pour laquelle il était violent. Il aurait  dû accepter  sa faiblesse au lieu de jouer les gros bras et de venir ensuite pleurer tous les soirs pour que je le reprenne. Pathétique. Comme je l'ai dit, il n'a jamais pu se stabiliser et a frappé toutes les autres après moi parce que son problème de faiblesse, il n'a jamais pu le régler. Je n'allais pas enchainer ma vie à 20 ans, pour une amourette de 6 mois, ça n'a aucun sens. S'il était vraiment contre l'avortement, il n'avait qu'à accepter l'accouchement sous X. Mais il ne s'agissait pas de ça, il voulait tenter de manipuler la situation. 

            Mon mari n'a assassiné personne et est 1000 fois plus accompli que vous. Qu'allez vous laisser au monde ? Deux trois écrits qui tomberont dans l'oubli, un enfant qui a été élevé sans vous, une vie professionnelle ratée, une vie dans sa grande majorité amorale selon les principes de votre religion. Occupez-vous donc de votre stérilité qui est complète sur tout les plans au lieu de vous occupez de celle des autres. Vous utilisez le catholicisme pour justifier vos désirs tyranniques de changer le monde, voir d'en devenir le maître parce que vous seriez plus  compétent que la moyenne mais vous êtes incapables d'appliquer les tenants fondamentales de votre 'foi". L'humilité, la remise en question, la poutre dans votre oeil... D'ailleurs, vous avez tellement un problème  que vous vous êtes choisi une religion de bonne femme, pour ensuite vous plaindre de la place des femmes dedans. Vous voudriez remettre en cause la virginité de Marie...Autant être athée. Il faut tout réarranger selon votre goût . C'est la faute de "la société", votre "salope de maman" , de "votre père absent". 

            Cela fait sens que vous défendiez les hommes violents. Les hommes orgueilleux et tyrannique comme vous, vous devenez antiféministes parce que vous n'avez aucune compétence interpersonnelle, vous ne savez pas vous entendre avec les autres.  Et encore moins avec les femmes. Et vous regrettez l'époque où les femmes étaient contraintes de composer  avec votre sale caractère pour ne pas crever de faim. C'est tout. 

          • Bonjour madame,

            Eh bien, vous en avez gros sur la patate. Je crois que finalement, vous m'avez convaincu que j'avais tort. Vous êtes très forte, monstrueusement forte, à tel point que je dois m'avouer vaincu. Je me soumets. Heureusement qu'il y a des femmes comme vous pour remettre la paix dans le monde de par votre force de votre caractère, et vos idées pour le moins bien senties, profondes, et consensuelles, qui favorisent la paix et le progrès des peuples.

            Donc dès qu'une belle bite se présente à l'entrée d'un utérus, une femme tombe enceinte. Celle-ci connaît si bien son corps... Ensuite, elle a le droit de vie et de mort sur cet enfant qui n'en est pas un. En matière d'amourette, il est à se demander pourquoi elle a donné son corps si facilement. Oui, parce qu'elle est jeune et innocente. Pas par désir de contrôler de bout en bout une relation par le sexe. Ce genre de femmes ne joue pas les provocatrices non plus, auprès de son ancien compagnon notamment, pour se justifier de son assassinat et mettre tout sur son compte, en lui faisant endosser une responsabilité qui n'est plus la sienne, parce qu'elle aurait eu honte d'échouer dans son couple et de vivre en fille mère. Et puis ce genre de femmes quitte l'homme qui la vaut bien, non pour pouvoir satisfaire son désir de contrôle, mais pour quitter le mâle, le mal. C'est pourquoi elle jette son dévolu sur des hommes qui sont d'accords avec les femmes, soumis, pour faire comme la société, en pleine réussite, le demande, et pouvoir tuer les petits n'enfants sans cas de conscience, parce qu'il le faut bien, parfois, pour perpétuer la vie. Vos 4 enfants doivent leur vie à la mort d'un autre. Mais tout va bien se passer, parce que c'est comme ça qu'on fait en matière de fécondité. Ca n'a pas de conséquences, le mensonge, jamais. Qui sera le prochain sur la liste ? Ah oui, Jésus évidemment, auquel vous ne croyez pas, mais dont vous connaissez mieux les préceptes que moi, qui y croit. Heureusement que vous êtes de "culture" chrétienne, assez pour justifier d'un avortement en tout cas, au nom de Jésus. Ah cette religion catholique ! Immuable, qui ne bouge pas, et qui ne devrait surtout pas bouger, une religion de bonnes femmes comme vous dîtes où un homme, surtout comme moi, qui pense différemment parfois, n'aurait pas sa place. Je l'aurais choisie cette religion, parce que dans votre idée, nous choisissons même Dieu. Ce n'est pas Lui qui nous choisit. Certainement pas, puisque ce serait perdre la maîtrise, le contrôle, ce contrôle, cette manière de penser qui ressemble tellement à celle de votre ancien compagnon. Allez, faites-lui bonnes grâces, car il vit encore à travers vous. Il les a eu ces 4 enfants, sans avoir à les élever, un peu comme moi avec le mien. Cependant en matière de leg, je vous invite tout de même à vous méfier. Nous ne sommes pas réellement dépositaires de ce que nous réussissons à transmettre. Que vont devenir vos enfants avec un tel bagage, que vont devenir mes écrits ? Bien entendu, dans un monde tel que vous y croyez, vos enfants vont vivre et vont se perpétuer. Et mes écrits vont rester sous le boisseau, à jamais. Mais j'insiste, je vous invite à ne pas insulter les plans de Dieu qui vous sont inconnus. Je ne veux pas parler à Sa très sainte place, ni instiller la terreur là où Il cherche l'amour par la rédemption, mais j'imagine, avec la conscience qu'Il m'a donnée, qu'Il pourrait le prendre comme une provocation. Si vous avez besoin de malheur pour réfléchir, vous menez une vie bien risquée. Le monde qu'Il a établi châtie ce genre d'impudence, de préférence, au dernier moment. Et le diable s'en délecte à ce moment là, quand les gens se sont bien enfoncés dans leurs certitudes.

            Pour en terminer avec votre intervention, oui, je regrette cette époque où les femmes étaient contraintes de composer avec nous. Vous le dîtes mieux que moi, à chaque fois, vous exprimez mieux la tyrannie que je ne saurais le faire. Je rêve d'un monde où des femmes, humaines, seraient forcées de "composer".

            M.D

          • Ces femmes sont minoritaires.

            S'il y avait eu un désir, j'aurais poursuivi la grossesse. D'ailleurs, je n'étais qu'à 4 semaines, qui vous dit que je n'aurais pas fait une fausse couche plus tard ? 

            Vous faites de la psychologie des bas étage et avez tendance à penser que vous comprenez mieux les autres qu'ils ne se comprennent eux-mêmes. Votre orgueil vous empêche de dialoguer avec les autres.  Ce qui rend le débat impossible.  Et vous traitez "d'homme vagin" un homme que vous ne connaissez pas, parce qu'il ne pense pas comme vous. C'est un homme bon, travailleur et fidèle. Aussi, je ne vous permets pas de parler de mon époux de la sorte. C'est complètement déplacé et irrespectueux. 

            La soumission d'une femme se mérite et j'ai décidé de donner la mienne à quelqu'un qui mettait les intérêts de la famille et son épouse en premier. Pas un égoïste qui se croyait permis de posséder de l'autre et de lui manquer de respect.  Et qui selon vous, a accepté de que "son enfant soit tué" parce qu'il a été piqué dans son orgueil. D'ailleurs, il n'a jamais eu ni femme ni enfant. 

          • "Ces femmes sont minoritaires."
            Et quand bien même vous seriez la seule à avoir conscience de votre corps, la vérité n'est-elle pas la vérité ? Non dans votre esprit de femme autocentrée et mariée à un homme vagin.

            "D'ailleurs, je n'étais qu'à 4 semaines, qui vous dit que je n'aurais pas fait une fausse couche plus tard ? "
            Nous mourrons tous. C'est cet espace de vie qui est important, et comment nous le vivons. Entre le temps de votre infanticide et la fausse couche, l'enfant aurait vécu sa vie, la vie que Dieu lui avait donnée.

            "C'est un homme bon, travailleur et fidèle."

            Et un assassin d'enfant en puissance.

            " j'ai décidé de donner la mienne à quelqu'un qui mettait les intérêts de la famille et son épouse en premier. "
            Vous vous êtes soumise à celui qui se soumettait à vous. J'avais bien compris depuis le début. Votre ex n'a pas tapé assez fort. Allez, à votre décharge, vos deux immaturités se sont rencontrées, et vous avez décidé de faire vaincre la vôtre. Vous n'auriez pas dû.

          • Oui et je m'y tiens lorsqu'il s'agit des décisions me concernant. Qu'il m'ait aimée ou pas d'ailleurs, cela a très peu d'importance, surtout une trentaine d'année après les faits. Il n'était pas le type d'homme avec qui je voulais faire une famille, avoir dans mon entourage ou fréquenter de quelque manière que ce soit après avoir pris ma décision de le quitter. 

            C'est un peu bête comme question, lorsqu'un homme et une femme fertile ont des rapports sans protection, la femme tombe enceinte et si l'embryon n'a pas de problème dans son code génétique, il reste. D'où l'utilisation de la contraception de la majorité des gens en France, une grossesse est très vite arrivée lorsqu'on est jeune. 

             

          • Bonjour madame,

            Beaucoup de femmes n'arrivent pas à tomber enceinte pour des raisons, notamment psychologiques, jeunes ou pas. Vous n'êtes pas des mécaniques. Le désir de grossesse est un désir de grossesse. Votre corps le voulait, tout comme votre esprit, ce qui se comprend de votre échange avec votre ex. En vérité, vous n'avez pas voulu vous soumettre à lui. Vous avez choisi un homme vagin, tout comme l'esprit du temps le voulait. Et vous avez le niveau de conscience qui correspond à un tel homme.

            M.D

          • Et vous vous trompé. J'ai toujours très bien connu mon corps, c'est pour ça que j'ai pressenti très tôt toutes mes grossesses. 

          • Arrêtez d'être narcissique. Je ne parlais pas spécialement de vous. C'était un propos général sur ces femmes dont vous m'affirmiez qu'elles ne sentaient même pas leur grossesse. Vous, vous avez dissociez votre corps et votre conscience, c'est encore différent. Mais comme pour le corps, cette conscience vient souvent des hommes pour une femme, hommes qui ont échoué à travers vous. D'ailleurs, comment se fait-il que votre corps n'ait pas rejeté son sperme et n'ait pas avorté naturellement, si vous étiez tellement opposée à cette grossesse ?

            M.D

      • Personne (mon mari et moi mettons les intérêts de nos enfants en premier mais je trouve le mot "sacrifice" trop fort)

        • Question posée différemment puisque vous ne voyez toujours pas : pour régler vos problèmes, vous avez sacrifié un enfant. Comment vous avez fait pour arrêter d'utiliser ce moyen avec votre nouvelle famille ? Comment vous êtes certaine que cette façon d'agir radicale, de régler vos problèmes, vous ne l'avez pas transmise depuis ? (surtout que vous n'avez pas pleinement conscience du sacrifice qui a été effectué apparemment)

          • Mon père n'était pas au courant. L 'ex compagnon, avec qui je n'étais pas mariée a d'abord voulu le garder et j'ai considéré la chose mais j'ai refusé. Mon père n'était pas au courant  mais il n'est pas contre l'avortement. D'ailleurs, quand ma grande soeur avait choisi de garder son enfant alors qu'elle n'était pas mariée, il lui a demandé pourquoi elle n'avait pas avorté. Mon mari, comme la majorité des hommes n'a aucun problème avec l'avortement. La seule personne de mon entourage qui est vraiment contre, c'est ma mère. 

            La loi dit que l'avortement est autorisé. Tuer implique qu'il y avait un être vivant. Ce n'est pas le cas. Si j'enlève une graine d'un plan de terre, j'ai pas coupé un arbre. 

            Vous ne me connaissez pas et votre étude "psychologique" ne repose sur rien. 

          • Bonjour madame,

            Donc comme dans de nombreuses familles françaises en bout de course, votre mère est la dernière à se souvenir de la loi. Car quand je parle de loi, je ne parle pas de loi française évidemment. Aucune loi au monde ne peut autoriser l'assassinat de masse. C'est un non sens. J'aurais peut-être dû mettre un "L" à loi pour mieux me faire comprendre.

            J'insiste, mais à cause des manques de votre père, vous n'avez pas intégré la Loi. Et vous avez choisi un mari, qui comme vous le soulignez, adopte la même position que votre père ou que beaucoup d'hommes français, c'est à dire valide une non-loi, celle des infanticides par avortement. Pour ce faire, vous avez rejeté celui qui par ses valeurs, refusait l'avortement, et voulait assumer ses responsabilités. Par soumission à la société, vous avez reproduit l'infamie et l'infamie est stérile, vous le comprendrez peut-être avant votre mort. J'ai vu trop de familles nombreuses qui étaient mortes sans le savoir. Et vous, vous n'avez eu que 4 enfants.

            "Si j'enlève une graine d'un plan de terre, j'ai pas coupé un arbre. "

            Vous avez regardé le coeur battre, vous avez vu l'échographie, et vous avez jugé que "ce" n'était pas vivant. Comment ? L'être humain recèle de mystères tout de même. Tout arbre est une graine qui a germé. Tout être humain, dont vous, avez été à ce stade. Vous n'avez pas été au stade d'un spermatozoïde ou d'un ovule, non, mais d'un ovule fécondé par un spermatozoïde. Depuis 50 ans que la science nous a montré les échographies, depuis que la science a progressé, nous le savons, nous en sommes certain, un humain est en germe à ce stade. Mais c'est à ce moment là que l'humain s'est dit : "Moi qui suis un être ultra matérialiste, je refuse les preuves matérielles". Trop dur pour l'humain de se soumettre à la vraie loi. Alors l'humain est châtié. Il oscille désormais entre souffrance et inconscience pour s'en sortir. Affreux. Pitoyable petit être humain, minuscule, qui se croit plus grand qu'un embryon, alors qu'il sera à jamais plus petit que celui-ci.

            M.D

          • Pour régler mes problèmes, j'ai mis fin à un début de grossesse, l'embryon avait quatre semaines et je ne le vois pas comme l'assassinat d'un enfant. Je me suis forcée à voir l'échographie et à écouter les battements de "coeur"  pour être sure de mon choix. Je me disais qu'au pire, si j'avais le sentiment que c'était un enfant, je le ferai adopter. Mais, c'était tout petit et ne ressemblait pas tellement à un bébé, du coup, je n'ai pas eu plus  envie de le garder. Pour moi, ce n'est pas la même chose, ma famille est constituée de véritable personnes pas d'embryons. Et puis, je trouvais ça idiot de rester enceinte neuf mois pour abandonner le bébé à sa naissance. C'était soit je le gardais et c'est moi qui m'en occuperais, soit il ne resterait pas. 

            Je n'ai pas une "nouvelle famille". Je n'en ai qu'une. Je sais qu'aucun n'a été sacrifié car ils sont tous bien portants, en bonne santé, heureux et en couple. Les situations difficiles demandent des solutions radicales. Après, justement pour éviter certaines situations difficiles, j'ai dit à mes enfants de ne pas coucher avec des gens avec qui ils ne veulent pas d'enfant. 

          • Bonjour madame,

            Tout ce que je vois, c'est un ressenti. Typiquement féminin. Mais où était votre père ? Il ne vous a donc rien appris ? Qu'il n'y avait pas que du ressenti dans la vie, mais des vérités ? Où était votre mari d'ailleurs, le nouveau, l'ancien ? Tous ceux-là sont ailleurs, absents de votre discours. Donc pour ce que ça vaut : la loi est la loi. On ne tue pas. Vous pouvez vous donner toutes les excuses du monde, vous avez franchi toutes les limites acceptables. Et comme vous avez voulu refouler, vous ne savez même pas ce que vous avez transmis réellement à vos enfants. Vous dîtes que vous avez fait ce choix en toute conscience. Je soutiens au contraire, que vous avez choisi ce jour là l'inconscience, et que depuis, elle ne vous a pas lâchée. Vous n'auriez pas entamé une conversation sur ce site si tel n'était pas le cas d'ailleurs. Bienheureuse démarche.

            M.D

  • (Vidéo) "Quand des FEMINISTES assassinaient des enfants trisomiques au nom du progrès" la Chronique politique du 26/09/2020.

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