Categories: Les avortoirs

Rétablir la peine de mort pour lutter contre les avortements

Pour retrouver un peu de morale chez nos femmes, il va falloir y mettre les moyens. Je crois que nous n’en sommes plus au stade où une gentille loi contraignante pourrait contre-carrer l’hystérie de la femme française. Nous ne sommes pas en Espagne où la société s’est relevée miraculeusement de décennies de folie progressiste mais à qui il a fallu une crise économique sans précédent pour commencer à se poser des questions de cet ordre. Chez nous, le débat médiatique et l’éducation de nos enfants deviennent de plus en plus difficiles à assurer dans de bonnes conditions à cause d’un système corrompu au dernier stade.

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Exemple pour la journée d’hier.

Prenons seulement la journée de manipulation médiatique d’hier. Les journaux ont profité de notre journée de contestation dans la rue contre les infanticides, notre marche pour la vie, pour faire parler les personnes favorables à ces infanticides. Au mieux, ils nous ont ignorés. Au pire, ils se sont servis de notre mouvement, pourtant très majoritaire dans la rue, pour faire passer leurs idées. Les seuls médias qui traitaient un peu objectivement l’information ces derniers mois, BFM TV, les représentations régionales telles que France 3 et certaines chaînes de Radio France, ont été mises au pas depuis. Désormais, il n’y a plus aucun espoir que ce système médiatique joue son rôle. La réflexion est à l’arrêt dans notre pays. Et tandis que « l’évolution » progressiste détruit tout sur son passage, il ne nous est plus permis, ou de moins en moins, de contester ces évolutions. Tout est sous contrôle de la doxa si ce n’est internet. Pour le reste, que nous soyons minoritaires ou majoritaires sur un sujet n’y change rien. Minoritaires, nous ne devrions plus exister pour ces gens au pouvoir. Majoritaires, nous sommes dans l’erreur, et il ne faut donc pas nous donner la parole. La machine tourne à vide. Elle a raison sans écouter plus que cela des arguments qui ne lui conviennent pas. Le niveau de conscience général de notre pays est proche du zéro, sur tous les sujets de société et en particulier, comme on le voit,sur l’infanticide par avortement, crime s’il en est. Nous nous enfonçons sans pouvoir faire le constat de notre échec total masqué par l’illusion de décennies d’une réussite irresponsable basée uniquement sur une manne pétrolière qui nous est tombée du ciel et qui n’était pas le fruit de nos compétences propres. A cause de cette richesse, l’incompétence s’est généralisée dans notre société, si ce n’est parmi les professions libérales, et nous gagnons de l’argent moins par notre intelligence que par notre capacité à oppresser le contribuable ou l’employé.

Le coeur bat 4 semaines après la fécondation

L’échec total sur la question de l’avortement, un exemple significatif de faillite sociale.

Chez nous, les moyens de contraception ne cessent de se développer et en parallèle, les avortements n’ont jamais été aussi nombreux alors même que de nombreux infanticides ne sont plus comptabilisés (pilule du lendemain). Et pourtant personne ne veut faire le bilan de l’échec du progressisme. Personnellement, j’ai toujours été opposé à la peine de mort. Les voyous hommes se font une gloire de mourir à l’échafaud. Mais qu’en est-il du côté des femmes. Depuis quelques jours, je suis en train de comprendre que seuls des moyens drastiques pourront bientôt s’opposer à un tel permis de tuer communautaire. Nous n’y arriverons pas sans y mettre les moyens. Beaucoup trop de nos femmes en sont arrivées à tuer leurs enfants, à faire des lois pour légitimer leur folie criminelle, et surtout empêcher toutes celles à qui il resterait un brin de conscience de pouvoir être éclairées dans leurs prises de décisions. Ainsi, le délit d’entrave à IVG, voté aujourd’hui même (Libération 20 janvier 2014), est maintenant conçu pour que les conditions d’une réflexion et d’une prise de conscience morale soient interdites. Tuer son enfant doit être un droit reconnu par tous. Toute étude scientifique, toute image d’enfant dans le ventre de sa mère, toute prospection de possibilités autres qui s’offriraient à une femme seront bientôt assimilés à un empêchement à avorter. La femme ne doit pas être mise face à la réalité de sa grossesse. Qu’en sera-t-il si une de ces femmes rencontre une de nos manifestations par hasard et décide de porter plainte contre nous à cause de nos affiches ? A mon avis et vu l’expérience du passé, il ne faudra pas quelques années pour que le fait de manifester contre l’IVG puisse être considéré comme un délit d’entrave IVG et sanctionné devant un tribunal.

Le cerveau est là après 5 semaines.

La libération de la femme : une lente évolution vers la tyrannie.

Au début, le droit d’infanticide est conçu de manière exceptionnel dans le cadre d’une « libération de la femme ». Par la suite, il se généralise. Dans un troisième temps, il devient l’unique option. A ce stade, la liberté de la femme n’est plus qu’un lointain souvenir : la femme n’est plus éclairée dans ses choix, les avortements sélectifs des femmes touchent les filles en principal. Il est à prévoir qu’un dernier stade de corruption pourrait être celui, dans des pays très riches, de l’élimination de masse des enfants garçons par ces femmes et de la fabrication sur commande de bébés aux caractéristiques eugénistes particulières (comme cela se fait déjà pour les PMA), voire la fabrication d’oenuques au service de leurs parents.

âgé de 12 semaines, 10 cm de haut, légalement vous pouvez encore vous en débarrasser.

La peine de mort pour infanticide : une solution à envisager désormais.

A tout choisir, en demandant à la loi de tuer une femme meurtrière, certes on tuerait une femme qui pourrait avoir d’autres enfants. Cependant, on empêcherait surtout une femme de se croire tout permis sur sa future progéniture. Des êtres qui sont capables de tuer un enfant, peuvent-elles être de bonnes mères ? Sans prise de conscience de leur part, seront-elles capables de mettre un frein à l’inceste symbolique qu’elles exerceront sur leurs futurs enfants ? J’en doute. Une femme qui avorte sans avoir conscience de son geste, sans avoir conscience de l’horreur de son crime, n’est pas apte à éduquer d’autres enfants. Elle a certainement droit à la rédemption, mais quelques années de prisons avant d’être exécutée devraient suffire.

Deuxième objection : on supprimerait une vie sans pouvoir faire revenir celle qui aurait été éliminée. Oui, mais ça servirait d’exemple pour les autres. Imaginons, que si au lieu de les voir tuer 220 000 enfants par an, on était obligé de condamner à mort seulement 219 999 femmes, parce que seulement une unique femme aurait renoncé à avorter, et bien ce serait toujours un enfant innocent qui aurait été épargné, et une femme qui aurait accepté d’accueillir la vie malgré ses petits fantasmes personnels. Ce serait toujours une victoire.

Dernière objection : 219 999 femmes par an condamnées la peine de mort pour avoir avorté, cela demanderait une logistique énorme. Cependant nos progressistes ont pourvu à tout : ils ont prévu d’euthanasier les personnes âgées dans les hôpitaux en masse. Ils le font déjà dans une certaine mesure. Eh bien, au lieu d’éliminer des personnes innocentes qui ne demandent qu’un peu de soins et d’amour pour vivre, on pourrait sauver ces personnes là, très utiles à notre société, et les remplacer sur leurs lits d’hôpitaux par des femmes infanticides. Une petite injection, on s’endort, il n’y a plus de meurtrières et ni vu, ni connu, on réglerait le massacre en masse de centaines de milliers d’innocents de manière aussi discrète que ces femmes ont été capables d’éliminer plusieurs millions d’enfants sur quelques décennies. On pourrait utiliser aussi les locaux du planning familial. Ce sont déjà de vraies boucheries. Que ces femmes du planning familial tuent des femmes coupables à la place d’enfants innocents, cela risquerait de leur procurer une jouissance inférieure, mais bon sang, c’est tout de même l’extermination de personnes humaines pleines et entières. Elles devraient y trouver leur compte.

Bien entendu, il faudra aussi une loi pour faire condamner pour crime contre l’humanité les hommes et femmes politiques qui ont organisé  ces meurtres de masse. Il faudra les poursuivre dans le monde entier jusqu’à leur mort  et les faire passer devant un tribunal d’exception  militaire comme les nazis eugénistes qu’ils sont.

1 Le site très intéressant duquel j’ai tiré les photos d’enfants : Naître et grandir.com

Léonidas Durandal

Antiféministe français, j'étudie les rapports hommes femmes à travers l'actualité et l'histoire de notre civilisation.

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  • @LeonidasVous feriez bien de laisser tomber cet individu borné, il n'y a rien d'intéressant à tirer de son gloubi boulga, en fait je n'ai rien retenu ni été convaincu de ses petites phrases.

  • Je crois que adrien en plus de son inculture évidente sur la préhistoire - Si encore il avait eu l'honnêteté de dire qu'il était ignorant ce qu'il est bien évidemment - veut lui retourner à l'époque de Staline où tous ceux qui ne "pensent" pas comme lui doivent être euthanasié. La liberté d'opinions consiste à penser ce que l'on veut, on est pas obligé d'être d'accord sur tout les points de vue bien que celà corresponde à son paradigme digne des pires dictatures du 20ème siècle, on reconnaît la frustration de ces individus qui ne supportent pas la contradiction en balançant toute une chiée de loghorrée insensée et inepte. Adrien doit certainement en faire partie. "de même que ce ne sont pas les enfants qui font les parents." Simple question : alors pourquoi faire des enfants ? Car les enfants rappellent la responsabilité des parents. Quand on fait des gosses on assume ou alors on en fait tout simplement pas. Toute ta réthorique n'a servi qu'à brasser de l'air, en d'autres termes ça n'a pas de sens du tout cette phrase. "Car une vie sans amour ne mérite pas d’être vécue" Ah si seulement vous êtiez sorti en dehors de vos quatre murs et de votre télévision à quatre chaînes, vous comprendriez que la vie est tout sauf de l'amour. Que la vie est un combat permanent entre le bien et le mal. " l’on apprend des choses passionnantes, parmi elles l’art de vivre."Pour ma part je n'ai pas besoin de suivre une quelconque futilité pour me faire ma propre expérience, pour ma part je ne me soucierais pas plus de mon cas que de ceux qui vivent d'amour et d'eau fraîche. Plus sérieusement, je ne crois pas que tu ai beaucoup souffert dans ta vie, peut être comprendras tu que dans ce monde, l'amour doit être personnel envers des personnes qui le méritent sincèrement. "je fais preuve de bon sens" Ouais comme quand tu nous a affirmé : " ce ne sont pas les enfants qui font les parents.""qui consiste à dire que le féminisme date de la révolution française" Le féminisme existait déjà au Moyen-Âge banane ! Même les auteurs féministes l'ont évoqué dans certains ouvrages , alors avant de donner des leçons aux autres, balaie un bon coup devant ta porte toute poussiéreuse. "Mais il y a toujours possibilité d’agir : je vous suggère de quitter la
    France, et trouver une peuplade assez rétrograde qui puisse vous
    convenir" Je vous suggère une autre possibilité, tu prends tes cliques toi et tes semblables et tu te tires dans des contrées comme la Norvège. Attention quand même, le Français est plutôt hospitalier par rapport à de nombreux Etats. Et il se pourrait que tu y soit accueilli de façon différente, si tu vois ce que je veux dire. En tout cas tu n'es qu'un charlatan abreuvé à la propagande médiatique, un parfait petit mouton idiot utile à la bien pensance et à la fois inutile à l'humanité. Peut être un jour auras tu une vision un peu plus réaliste de la vie, en attendant tu m'as l'air d'un pauvre petit kapo qui appris sa leçon par coeur. Tu ne donnes pas l'impression d'avoir inventé l'eau chaude.

  • Ces "salopes" comme vous dites, sont des femmes avant tout, et une femme n'est pas une machine à produire des foetus.Je reste sans voix devant tant de haine (en effet) et de stupidité, vouloir tirer un trait sur le fruit de luttes qui ont duré depuis des centaines d'années et qui durent toujours pour donner à la femme la reconnaissance qu'elle mérite, c'est simplement un retour à la préhistoire. Nous savons tous combien vous aimeriez changer le monde à votre image, c'est à dire en primates, retourner vivre dans les arbre en temps que véritables fils de dieu. Car Dieu créa le chimpanzé, et Darwin créa l'homme.Continuez à gesticuler et à blâmer le manque d'expression et la censure médiatique en France, si vous voulez mon avis, le seul fait que de telles conneries soient accessibles de tous est une preuve bien suffisante de la liberté d'expression, voir de diffamation. Je dirais même qu'un peu de censure pour éviter ce genre de choses qui est tout sauf de la "réflexion" (avez vous pensez aux conséquences dramatiques de telles mesures ?) ne ferait pas de mal.La femme a le choix de donner la vie, "sa future progéniture" n'a aucun droit sur elle, de même que ce ne sont pas les enfants qui font les parents. Ah, et gardez votre rédemption pour vous, je ne veux pas de cette disgrâce. Je crois en la vie aussi, mais d'abord je crois en l'amour. Car une vie sans amour ne mérite pas d'être vécue, de même qu'une mère ne pouvant aimer ses enfants ne pourrait être mère.

    • Ces « salopes » comme vous dites, sont des femmes avant tout

      Toute salope est une femme, belle lapalissade. Mais toutes les femmes ne sont pas des salopes et celles qui se comportent mal doivent être nommées pour ce qu'elles sont si on veut qu'elle se remettent en question.

      une femme n’est pas une machine à produire des foetus

      Oui c'est vrai mais, sur ce blog tout le monde en est conscient, c'est plutôt à vos amis les partisans de l'égalité qu'il faudra dire ça (Vous savez ceux qui défendent la GPA au nom de l'égalité des sexes).

      Et si vous voulez tenter de débattre avec ces gens là essayez aussi de leur dire que l'homme ne se réduit pas à une pompe à sperme ou un portefeuille sur patte et là vous comprendrez tout de suite qui est le dominant et qui se fait exploiter.

      le fruit de luttes qui ont duré depuis des centaines d’années

      Vous devriez vous renseigner, le féminisme tel que nous le connaissons a 170 ans et semble être le fruit indirect de la révolution industrielle. Avant ça le combat des humains, hommes comme femme c'était le combat pour survivre.

      donner à la femme la reconnaissance qu’elle mérite

      On croirait entendre une prêtresse du culte de Vénus.
      Il n'y a pas la femme, il y a les femmes. Et si une femme doit recevoir de la reconnaissance pour s’être bien comporté, elle doit aussi être dénoncée quand elle se comporte mal (c'est valable aussi pour les hommes)

      c’est simplement un retour à la préhistoire

      A propos de préhistoire vous devriez vous renseigner sur le culte de la déesse mère qui me paraît être une survalorisation du féminin qu'on retrouve dans le féminisme.

      Nous savons tous combien vous aimeriez changer le monde à votre image

      Les gens qui veulent changer le monde à leur image sont nombreux. Si vous faites le reproche à ce blog sur ce sujet, pour être juste il faudrait que vous fassiez également ce reproche aux pseudo-égalitaristes féministes.

      c’est à dire en primates

      J'ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer mais d'après les théories de l'évolution nous sommes des primates.

      retourner vivre dans les arbre en temps que véritables fils de dieu. Car Dieu créa le chimpanzé, et Darwin créa l’homme.

      Vous devriez lire le livre de la genèse parce que c'est probablement la plus belle inversion que je n'ai jamais entendue.

      Dans le mythe du jardin d'éden, dieu a créé l'homme en tant qu'homme, créature unique et spéciale au milieu de la création, doué de langage et d'intelligence dès sa conception. Au contraire ce sont les darwinistes qui ont commencé par dire que l'homme descend du singe.

      Et au passage dans la catégorie rabaisser l'homme au niveau du chimpanzé, le darwinisme social se défend plutôt pas mal.

      Continuez à gesticuler et à blâmer le manque d’expression et la censure médiatique en France, si vous voulez mon avis, le seul fait que de telles conneries soient accessibles de tous est une preuve bien suffisante de la liberté d’expression, voir de diffamation.

      Belle confusion, leonidas n'aurait jamais pu tenir des propos tels que ceux de sont blog dans les médias classiques. Et c'est pour cela que les gens disent que tous les médias sont censurés sauf internet qui reste le dernier espace de liberté d'expression.

      Et je crois aussi que vous oubliez qu'un des avantages d'internet c'est le droit de réponse. Leonidas a pu publier ce qu'il pense mais vous aussi vous avez pu publier vos critiques sur ce que Léonidas a affirmé. Allez essayer de publier un démenti à une tentative de désinformation venant de TF1. Et si on se met à censurer des gens parce que leur propos ont déplu à certaines personnes alors on censurera votre droit de réponse et le débat ne sera pas possible.

      Du coup je vous retourne votre question: Avez-vous pensé aux conséquences dramatiques sur la société venant des dérives d'un système de censure?

      La femme a le choix de donner la vie, « sa future progéniture » n’a aucun droit sur elle, de même que ce ne sont pas les enfants qui font les parents.

      J'aimerai que vous teniez ces propos à des enfants qui ont été gravement maltraités par leur mère vous verriez leur réponse.

      Les mères maltraitantes sont en général des femmes qui raisonnent comme vous, et qui abandonnent leur enfant ou le détruisent au gré de leurs humeurs. (La majorité des parent qui maltraitent leur enfants sont des femmes).

      Je crois en la vie aussi, mais d’abord je crois en l’amour. Car une vie sans amour ne mérite pas d’être vécue, de même qu’une mère ne pouvant aimer ses enfants ne pourrait être mère.

      Pour pouvoir aimer quelqu'un il faut commencer par prendre conscience que vous avez quelqu'un en face de vous, je doute que ces mère avorteuses aient cette conscience. Et heureusement pour l'enfant la mère n'est pas la seul personne qui l'aimera dans sa vie, il y a aussi le père, la fratrie, les amis, le/la futur(e) conjoint(e). Un enfant peut parfaitement survivre au manque d'amour de sa mère même si c'est difficile.

      Ce qui détruit le plus un enfant c'est quand la société se met à lui dire que les mauvais comportement de sa mère sont tout à fait normaux.

    • La préhistoire, c'était le matriarcat. Essayez encore une fois...
      Les mères qui ne veulent pas garder leur enfant peuvent accoucher sous X en France.
      Quant à la rédemption, elle concerne surtout les femmes dans mon article, à moins que vous ne soyez un de ces bouchers d'avorteurs. Dans ce cas ne riez pas de la rédemption qui serait seule à même de vous sauver.

      Voilà, vous vous montrez inculte en tout point, et en plus vous voudriez faire de la censure. Pour dire à quel point les avorteurs tuent, en même temps les corps que les esprits, tout est culture de mort chez vous.

      • Je préfère avoir une culture de mort qu'une culture de merde.Vous me pensez mal informés ? Il se trouve que j'ai lu la genèse, et que je m'en sert par moments pour expliquer tel ou tel texte littéraire en classe d'hypokhâgne, actuellement la 6ème de France. Aussi je vous conseille de revoir votre définition de lapalissade ("trois heures avant sa mort il était encore en vie" en est une. Le fait de dire qu'une salope est une femme est un pléonasme, dommage).  De plus vous dire qu'une salope est d'abord une femme était une manière d'attirer l'attention sur ce qui vous a sans doute échappé, en parlant d'une extermination de masse de ces "salopes" il m'avait ainsi semblé que vous aviez oublié leur caractère "humain" ou simplement "vivant".Oui tout cela n'a pas grand rapport, mais avant de vouloir diffuser votre projet révolutionnaire de retour à la peine de mort, je vous conseille de faire attention aux termes que vous employez, ils pourraient jouer contre vous (ce qui serait d'ailleurs souhaitable à la réflexion). Aussi je doute que quiconque parmi ceux qui m'ont répondu aient suivi cet enseignement où l'on apprend des choses passionnantes, parmi elles l'art de vivre.Vous pouvez me croire mal informé, en effet je ne suis pas un expert,  mais je fais preuve de bon sens. De plus jamais je n'aurais pu évoquer cette énormité qui consiste à dire que le féminisme date de la révolution française, bourde qui de ce fait discrédite tout votre beau discours de catholique intégriste et réactionnaire. Car ce n'est pas avec votre haine et votre frustration que vous arrangerez les choses, encore moins en proclamant que vous croyez en la vie, vous qui voulez réinstaurer la peine de mort. Mais il y a toujours possibilité d'agir : je vous suggère de quitter la France, et trouver une peuplade assez rétrograde qui puisse vous convenir. Malheureusement je doute qu'une telle chose existe.   Ensuite il était inutile de reprendre ma précédente publication point par point (qui ressemble plus à une liste exhaustive de tout ce qu'un esprit de contradiction pourrait trouver, qu'à une argumentation) si c'était pour répondre à côté de la plaque. Certes si vous cherchez la petite bête et le détail fâcheux vous les trouverez, (on en trouve toujours et je pourrais bien faire la même chose, mais ce serait une perte de temps). Votre dernière phrase témoigne ainsi de votre incapacité à assimiler ce que l'on vous dit. Un enfant ne doit pas survivre, il doit vivre. Bien sûr que sans l'amour d'une mère il pourrait vivre, mais à quoi bon ? De plus vous oubliez qu'à ce stade de foetus, un enfant n'a pas même conscience d'être en vie. J'attache plus d'importance à la vie d'une femme consciente qu'elle ne veut pas garder un enfant, qu'à celui d'un enfant qui, de toute façon se suiciderait rien qu'à vous entendre.J'aurais aimé continuer à parler avec vous, mais j'ai une dissertation sur la question de la femme au XIXème siècle justement à rendre pour demain. En attendant je vous absous, Dieu s'il existe, comprendra que vous n'avez pas vraiment eu le choix d'échapper au lavage de cerveau que  vous transmettez comme unique héritage cérébral à vos enfants, qui, quelle chance, ne se sont pas fait avorter. Vous ne devriez pas aller en enfer pour votre ignorance. Remerciez le donc!

        • Vous êtes piqué parce que les gens ici ont plus de culture et d'expérience que vous. Mais il ne faut pas. Votre maman vous a entretenue dans l'idée que vous étiez formidable, et vous l'êtes certainement, mais vous ne connaissez rien de ce qui fait un homme : sa capacité à se relever des échecs et des épreuves. Pour l'instant, vous êtes un poussin encore dans son oeuf.
          Il y a longtemps que je cherchais une phrase qui résume aussi bien la psychologie de ces gamins (parfois de plus de 50 ans) qui défendent les femmes à tout prix et qui ne se sont pas encore individués de leur mère. Et bon sang, vous venez de me la donner. Une phrase miraculeuse en vérité. Parce que votre cerveau sait réfléchir même s'il est encore dans le ventre d'une femme :

          Un enfant ne doit pas survivre, il doit vivre. Bien sûr que sans l’amour d’une mère il pourrait vivre, mais à quoi bon ?

          A quoi bon vivre sans l'amour d'une mère alors ?
          Et bien, tous, nous sommes appelés à devenir orphelins. Vous perdrez votre mère, comme nous la perdrons tous. Il n'y a rien de plus naturel. De srucroît, on peut très bien vivre cette séparation. Je dirais même pire : il n'y a rien de meilleur que de vivre cette séparation et qui fait d'un homme, un être libre. Mon Dieu si vous saviez le bonheur de vivre sans l'amour de sa mère !
          Voilà donc le problème que je rencontre depuis plusieurs mois et que je n'arrivais pas à expliciter : les personnes comme vous qui sont pour l'avortement n'imaginent pas vivre sans l'amour de leur mère. "Les bateaux sont en sécurité dans le port, mais ils ne sont pas faits pour y rester." Il y a des voyages fantastiques. Larguez les amarres. Vous n'êtes pas encore conscient, mais personne ne vous avortera pour autant parce que des personnes comme moi sont garantes que rien de tel ne se fera dans notre pays et que l'innocence sera protégée. Vous avez été un foetus, vous l'êtes encore en quelque sorte. Mais ce foetus a le droit de vivre, de grandir et même de ne pas grandir et de mourir. L'humain ne peut se résumer à une vision utilitariste dans le monde. Conscient il servirait et on pourrait le conserver. Inconscient, il faudrait l'éliminer. Et moi, me jugez-vous conscient ou pas ? Que décidez-vous de moi qui suis inconscient des réalités que vous avancez : désirez-vous qu'on puisse m'avorter ?

          • Ma mère est morte du cancer quand j'avais 6 ans, je ne me rappelle presque pas d'elle. Ce que je sais, c'est que je donnerais très cher pour pouvoir lui parler, et je n'imagine pas pouvoir vivre sans savoir qui est ma mère. Et peut-être que si celle-ci avait avorté, j'aurais moins souffert, même si je ne regrette pas de vivre, entendons-nous bien !Quoi qu'il en soit, cela me révolte de voir des gens comme vous cracher sur la vie de femmes qui auraient pu être mes mères. Vous n'imaginez pas un seul instant combien son absence me pèse, combien j'aurais aimé qu'elle vienne me chercher en sortant de l'école. Vous entendre parler d'expérience, de culture et d'ordre naturel des choses est déconcertant : vous êtes pour la vie mais vous ne l'avez pas comprise, vous vous pensez échus d'une mission divine sur terre mais vous ne vivez pas sur terre. Vous avez des connaissances historiques très mauvaises et vous me pensez piqué. Ce n'est pas bien de reporter ses propres émotions sur l'autre, la vérité est que vous êtes sans doute trop bornés pour être piqué de ne pas avoir autant de sagesse qu'un gosse de 17 ans qui n'a pas pu compter sur l'éducation d'une mère.Mais de grâce occupez-vous de vos affaires et arrêtons là cette discussion. Nos éducations respectives sont trop fondamentalement opposées pour que nous puissions nous entendre.J'aimerais effectivement vous faire avorter pour ce que vous venez de dire, mais la question se pose-t-elle ? A moins que vous n'admettiez à l'instant que votre quotient intellectuel est comparable à celui d'un foetus.

          • J'admets que mon quotient intellectuel est équivalent à celui d'un foetus tête de noeuds. Et maintenant, je répète ma question, décidez vous de m'avorter ?

  • Evidemment faut toujours qu'on tombe sur des neuneus caricaturaux mais toujours pas de contradictions à l'horizons

  • voilà longtemps que je n'avais eu l'occasion de lire autant d'inepties en si peu de temps.Évidemment la peine de mort est formidable pour ceux qui défendent la vie fœtale à tous prix. C'est dans la logique religieuse, la femme doit rester en soumission et son corps appartient aux hommes donc à la société.Quelle violence dans ces propos! Quelles sont les dérives éducatives qui vous ont conduit à être aussi haineux.Car c'est de haine dont il s'agit, il vous manque quelque chose de fondamental dans votre système neuronal, cela s'appelle l'empathie, la compassion, le désir que l'autre ait une VIE décente, correcte. Que ferez-vous des enfants quand ils seront grands et ne correspondront pas à vos normes médiévales? Vous les soumettrez à la guillotine?

    • Je leur donne la vie parce que je crois en la vie. Par contre, vous qui n'y croyez pas, vous désirez les tuer. Vous tuerez ceux-là comme vous tuerez les autres. Autant pour vous ne plus avoir d'enfants avec des idées pareil.

  • Rassurez-moi, c'est une blague ?si la mort d'un fœtus vous émeut autant mais que par ailleurs vous êtes prêt à condamner à mort une femme en détresse, vous devez être sacrément illuminé.

    • Je le répète, pour être bien clair : je préfère la vie d'un seul enfant innocent à celle d'une salope (qui d'ailleurs est forcément le genre de personne par nature en détresse).

  • Je pense que vous ne devriez pas tenir un tel discours.

    Si la peine de mort est rétablie pour les infanticides, elle le sera aussi de manière insidueuse pour tous les opposants politiques du système pour de faux prétextes.

    Vu le climat politique dans lequel nous baignons je pense que la conséquence serait surtout une porte ouverte vers la suppression violente de tout ceux qui contestent le régime peu importe la raison.

    De plus comme d'habitude ce seront des hommes qui se feront condamner à mort.

    Les femmes trouveront un homme idiot pour faire le sale travail à leur place et se faire condamner à leur place comme elles l'ont toujours fait jusqu'à aujourd'hui (ce qui au pire les enverra en prison mais rarement sur l'échafaud)

    Si on se contentait de condamner effectivement les femme et vraiment les envoyer en prison au lieu de leur donner du sursis les choses changerait.

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