Tout part de l’idée que les femmes sont fragiles et les hommes sont forts. A une nuance prêt. Les femmes sont fragiles dans leur humanité. Les hommes sont plus forts, là où il leur est laissé l’occasion de l’être.
A l’inverse, dans leur animalité, les mères sont bien supérieures aux hommes. Le principe féminin qui fait naître les enfants leur permet d’asseoir une domination sans conteste sur leur entourage. Le terme de domination est d’ailleurs bien impropre. Il s’agit plutôt de fusion. Sans pères, fils, filles, mères, femmes et enfants se confondent. Ils travaillent à la perpétuation de la tribu dont la matriarche est le sommet. Religieusement, cette forme d’organisation familiale se traduit par le culte aux déesses mères dont gaïa est une émanation encore actuelle, tout comme le mouvement matricien, mais aussi l’invention du culte à la vierge Marie.
Confondus entre eux, les membres d’une famille ne peuvent s’individuer. Leur pensée n’est pas autonome. Dans le règne animal aussi, le progrès semble émerger d’un principe masculin présent et accepté. La nature tend à créer des polarités opposées desquelles naissent la complexité, ce qui est appelé plus scientifiquement « entropie croissante ». Ces polarités sont masculines et féminines. Au début, les bactéries se reproduisent seules, émergeant pour ainsi dire leur environnement de manière assez étrange. Puis gagnant en complexité, elles finissent par donner des plantes sexuées à l’exception, et des animaux qui le sont presque toujours, l’humain étant au sommet de cette création polarisée.
Au commencement, la nature semble n’être que femme. Mais par un besoin qui a l’air irrépressible, elle se donne une représentation masculine qui la fait évoluer, une sorte de totem divin masculin. La spiritualité la plus évoluée en ces termes, est celle de l’Eglise catholique. Non seulement, un principe divin masculin plutôt Père semble côtoyer un principe plutôt féminin Saint Esprit. Mais le Dieu nous donne un Fils pour nous libérer de nos chaînes. Le tout formant la « famille » trinitaire. L’articulation de l’ensemble, permet à tout être humain d’accéder à une conscience élevée du monde.
Les femmes ne sont pas les dernières à valider la spiritualité catholique, puisqu’au contraire, elles ont maintenu l’Eglise la tête hors de l’eau durant bien des années. Car les femmes se libèrent aussi de la mère par le principe masculin. En vérité, elles y sont peut-être plus attachées que nous car beaucoup plus dépendantes. L’homme qui naît d’une femme, ne voit pas toujours bien qu’elle serait l’utilité d’en sortir, bien au chaud qu’il est dans le sein maternel, ou sauvage et sans attaches. A l’inverse, l’absence de principe masculin fait automatiquement des femmes des esclaves. Nous le voyons de nos jours que la femme s’est « libérée » et qu’elle se rapproche de plus en plus de l’amibe. Plus les femmes se croient toutes puissantes, plus elles deviennent prisonnières des constructions dans lesquelles leurs fils immatures veulent les faire entrer, et qu’elles subissent tout en les favorisant. Ces fils immatures sont issus aujourd’hui et en principal de l’ésotérisme franc-maçon. Mais il en naît à toutes les époques et de toutes les manières. Notre Sainte Eglise en ce moment même, en est remplie. Quand ils gouvernent seuls, il ne reste plus aux femmes qu’à s’autodétruire, aux sociétés à s’autodétruire, à attendre que des fils brutaux mais protecteurs soient remis en place par des mères cyniques, ce dont aujourd’hui l’Islam se charge assez bien.
Le principe féminin vit donc dans une fusion générale duquel un principe masculin peut émerger s’il en a les moyens. Pour qu’un tel principe mâle, forcément fragile, ait une chance de survivre, il lui faut des lieux où il apprenne à se distancier des femmes. Sinon, c’est la perméabilité et la mainmise totale des mères. Et avec les moyens technologiques actuels, c’est la garantie d’une stérilisation forcenée des couples. Je m’explique. L’utilisation récente des découvertes scientifiques modernes nous montre qu’en supprimant la polarité masculin/féminin nous avons créé une agriculture appauvrie, qui loin de rendre grâce à gaïa, la détruit sans cesse. Les clones stériles, modifiés génétiquement, images d’une matrice toute puissante et sans frein avide de se perpétuer, se sont généralisés. Une telle situation se comprend parce qu’en voulant protéger maman et apporter richesse à la société, les garçons immatures ont accompli l’oeuvre pour laquelle leurs mères les avaient envoyés dans la société. Le ridicule le plus complet est atteint quand ces mêmes femmes rejettent brutalement la “domination masculine” que leurs mères ont mis en place pour assouvir leurs désirs. Passons. Or cette logique utopique est en train de se répéter dans les relations humaines. Ainsi deux personnes de même sexe peuvent être considérées comme famille depuis que notre pays a autorisé les unions de duos à pulsions homosexuelles. Et nous le devons encore une fois à ces femmes majoritaires qui poussent à l’indifférenciation, en sous-main. Hier elles voulaient le confort. Aujourd’hui, elles veulent la tolérance niaise. Demain, elles se plaindront du manque d’humanité de notre monde…
Pour bien comprendre comment nous avons pu en arriver là, il faut revenir un peu en arrière et incriminer l’idéologie gauchiste. Par là, je veux dire la vision manichéenne du “dominant” et du “dominé”, ainsi que le socialisme scientiste, religions primitives féministes s’il en est (La veuve et la tribu pourrait-on dire).
Hier, le chevalier maman gauchiste promouvait les lumières du progrès, il voulait rééduquer les civilisations inférieures grâce aux connaissances scientifiques qui lui avaient permis, soit-disant, de se libérer de la tutelle de l’Eglise catholique. De nos jours, il est en train d’accomplir ce travail de destruction dans l’humanité même, en favorisant les unions de duos homosexuels, et plus généralement, tout un travail d’indistinction qui le rend très fier de lui. Son absence de remise en question a entraîné et entraîne le monde à sa perte, ou tout au moins, rend notre terre invivable, hideuse. Depuis peu, il a beau être souvent écologiste, il a oublié que ses idées scientistes sont à l’origine de cet échec cuisant, la preuve étant de son inconscience, sa manière de commettre à nouveau les mêmes erreurs avec l’humain. Quand ce socialiste échoue, il fait venir de plus féminisés que lui au pouvoir, des communistes. Ces derniers, orgueilleux, jaloux et avides d’une indifférenciation égalitariste folle, voudraient en revenir à un ersatz de religion catholique tout en restant matérialistes. Nous n’en sortirons pas si tous ces imbéciles continuent à phagocyter notre mémoire collective. Le gauchiste de demain sera certainement pro-famille, mais il sera trop tard. Dès aujourd’hui, notre Sainte Eglise doit les soumettre idéologiquement.
Pour cela, il faut que les hommes aient accès à des lieux d’où ils puissent naître, loin du regard de la mère. Car la mixité extermine la masculinité, invariablement, ce qui finit par détruire les femmes aussi.
Récemment, le maire d’une petite ville japonaise s’est effondré au milieu d’une arène sumo. Des secouristes femmes sont intervenues sur cette terre considérée comme sacrée mais il leur a été demandé expressément de la quitter. Premier scandale pour nous,féminisés. Le lendemain, effet ruche oblige, une mairesse dénonce fermement l’interdiction qui lui a été faite de prononcer son discours sur le dohyo. Elle argue qu’elle serait un être humain comme les autres (sic).
Voilà plus de 2000 ans que les compétitions de sumos mettent en avant la force masculine. A l’heure actuelle, l’esprit d’indistinction est en train de profaner ce lieu.
Etre humain ne veut pas dire indifférenciation entre hommes et femmes, ce que les femmes malades ont terriblement de mal à comprendre. Si cette femme avait voulu prouver que les femmes pouvaient faire de bonnes mairesses, elle aurait dû applaudir l’exclusion des secouristes femmes la journée précédente. Mais la féminisation entraîne forcément la féminisation totalitaire, et c’est une gageure d’estimer que nous pourrions rester évolués en accueillant les femmes largement dans tous les lieux de pouvoirs sociaux qui doivent rester principalement masculins pour se pérenniser.
Vieux réflexes, les gauchistes de maintenant, complètement féminisés, sont les premiers à relayer la cabale autour de la tradition japonaise. Eux qui se donnent souvent bonne conscience en voulant « protéger les peuples primitifs » et leurs traditions, redeviennent alors d’ardents censeurs. Tout d’un coup, la tradition ne leur convient plus. Ils ne la comprennent pas, et veulent de nouveau apporter la « civilisation » à ceux qui en manquent, sans respecter les gens et leurs croyances.
L’arène de Sumo représente la force sacrée masculine, rare, belle, magnifiée. Que des femmes puissent y pénétrer est une profanation de l’ordre naturel, c’est à dire, une profanation de la création qui peut seule nous donner une chance de pouvoir rencontrer un jour Jésus. Ce retour à l’indifférenciation matriarcale qui veut autoriser les femmes à entrer sur le dohyo de sumo, éloigne toujours plus les Japonais d’une libération par le Fils. Elle le sape à la base car elle oblige les humains à régresser aux premiers stades de l’évolution, c’est à dire, à se stériliser eux-mêmes. Oui, la femme est impure quand elle cherche à être tout, à vouloir tout, quand elle sombre donc dans l’hystérie, partout et nulle part à la fois, démembrée.
Ainsi, pour nous éviter cette régression, à l’image du dohyo de sumo, il faudrait nous réserver des lieux d’où les femmes seraient sévèrement exclues, et tout au moins préserver le peu qui résiste encore. Car en vérité, la civilisation recule partout, et ces endroits ne sont plus si nombreux que cela. Les clubs de foot français croient faire honneur au sport en mélangeant filles et garçons jusqu’à l’adolescence. Idem dans les fédérations, par décision politique. La plupart des confréries d’étudiants sont devenues mixtes, en particulier sous la pression du recrutement massif de femmes. Des quotas de femmes politiques leur permettent d’investir des lieux qui ne les intéressent pas ou pour lesquels elles ne sont pas faites. Dans toutes les entreprises qui dégagent des bénéfices, des femmes occupent des postes élevés dans la hiérarchie alors qu’elles sont incompétentes, parce qu’elles sont femmes. Les conseils d’administration sont féminisés de force. Dans la fonction publique, être nègre, femme, handicapé.e.s, est devenu en peu d’années, un avantage, surtout au sommet de l’échelle et sans égards pour la qualité intrinsèque de la personne ! Et ne parlons pas de l’armée sous peine que mes paroles dépassent ma pensée.
Voilà ce que j’appelle indifférenciation, confusion, régression inadmissible. Bientôt, il est à penser que les organisations exclusivement masculines seront interdites, tandis qu’en parallèle, les réseaux constitués exclusivement de femmes sont promus. Toute cette mécanique arrive à se justifier grâce à des différences minimes de rémunération entre sexes, différences qui devraient être beaucoup plus importantes si l’équité était respectée. Où quand féminisation rime inévitablement avec totalitarisme indifférenciateur, car vous comprenez, « nous sommes tous pareils ». Ces arguments ridicules et fallacieux s’imposent car cette mécanique psychique liée à la mère est puissante. Elle est capable de faire régresser l’homme au stade d’enfant. Et elle flatte les femmes à partir de tous leurs nombreux complexes d’infériorité. Autant dire le tonneau des Danaïdes.
Si nous voulons progresser un peu, il faudra, dans les années à venir, réussir à recréer des lieux non mixtes. La femme est évidemment signe d’impureté dans sa volonté à tout mélanger et à ne voir qu’en termes de domination. Elle est capable de corrompre le fragile esprit masculin et il doit lui être donné des limites, pour son propre bien et pour celui de l’humanité. Une femme aura toujours la tentation de se faire homme pour dépasser toutes ces prérogatives, simplement parce qu’elle aura besoin d’un principe viril pour progresser personnellement. Un homme ne progressera jamais qu’en mettant un peu à l’écart, les femmes de son entourage. C’est dans cette juste distance qu’il faut travailler. Ni en empêchant toute relation entre hommes et femmes, ni en les permettant toutes. Mais en les autorisant selon leur proportion à générer du sens dans nos vies.
Aujourd’hui, l’urgence sociale serait de pouvoir nous retrouver de temps en temps entre hommes, de discriminer, de différencier, de juger, de coopérer, afin de pouvoir à nouveau en revenir à une forme d’émulation collective qui pourrait se transmettre à un niveau social. Les hommes qui abandonnent aux femmes le soin de prendre toutes les décisions au nom de l’égalité, sont des lâches, des menteurs et des irresponsables. Puisse les hommes vouloir encore endosser leurs habits d’hommes et les femmes accepter d’en revenir un peu à la raison, pour le bien de notre pays.
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