Je ne voudrais pas parler ainsi de Brigitte Auzière (Macron). Cependant.
Et si un homme d’âge très mûr, père de trois enfants avait couché avec une de ses élèves mineures. Et s’il avait divorcé de sa femme pour s’unir à la dite élève, attendant quelques années qu’elle soit majeure, imposant sa nouvelle relation à son ancienne famille. Enfin s’il avait gardé son emprise assez longtemps pour que cette élève, talentueuse et bien guidée, accède à un très haut poste politique. Vous douteriez à juste titre de l’indépendance de cette femme. Vous vous inquiéterez peut-être de savoir qui vous avez élu, cette femme ou cet homme. Sans parler de détournement de mineure, de manipulation, voire de pédophilie, de questions légales quoi, vous vous interrogeriez sur la relation qu’entretient celle qui va gouverner avec son « mentor ».
Alors, j’entends déjà le Français moyen proclamer qu’il ne veut pas entendre parler de police des braguettes concernant Emmanuel Macron. Soit. Cela n’empêche pas de nous interroger sur les personnes que nous élisons, mais aussi sur notre refus collectif de voir, ce même refus qui a autorisé que l’inadmissible se produise au sein d’une petite ville de province identique à beaucoup d’autres, dans le meilleur des milieux dit catholique, en vérité corrompu de partout, surtout dans sa bourgeoisie.
Ce n’est pas tant le crime le problème. Cette relation qui ne choque personne, nous renvoie surtout l’image d’un peuple qui accepterait facilement la pédophilie féminine tandis qu’elle serait intraitable avec celle des hommes. L’image d’un peuple qui accepterait qu’une femme ait une emprise totale, comme une mère avec son jeune enfant, sur le président de la République.
Dans cette pièce de théâtre aux relents de fin de civilisation, la femme qui a placé son rejeton, élu par une grande majorité de femmes, a écrasé à plat de couture la pionne placée par un homme qui était vraiment son père, lui. Ainsi, deux visions de la complémentarité se sont combattues après le premier tour de notre présidentielle. Seulement entre les deux, l’une était encore saine. Elle a perdu dans l’inefficience. L’autre était malsaine. Elle a gagné en bénéficiant de la culture masculine. L’histoire semble se répéter. Le gouvernement des femmes par hommes interposés, plutôt que la modernité dégénérée. La France catholique écrase le protestantisme, encore une fois, tandis qu’aujourd’hui, les hérétiques se réclament de Jeanne d’Arc, et les traditionalistes se sont faits libéraux. Dans un monde entièrement féminisé, la confusion n’a plus de limites.
Nous traînons notre impuissance comme un boulet à la patte. Une France incapable de concevoir des relations entre hommes et femmes saines et fructueuses depuis quelques centaines d’années, depuis qu’elle faiblit, choisit la maladie plutôt que l’inefficience, croyant ainsi se sauver. Nous verrons bien. Le président pervers a fait sombrer la France. Le président amoral l’a éteinte. Le président désabusé, l’a laissée choir. Le président de façade a entretenu son délire. Le président normal lui a fait honte. Qui sait ce que le président sous emprise fera ? Car de l’emprise, nous ne connaissons rien, ou presque, si ce n’est qu’elle est pouvoir totalitaire qui n’accepte pas d’être contredit, surtout par les faits.
En tout état de cause, l’élection d’Emmanuel Macron nous prouve que nous sommes bien malades, pas lui, pas seulement de nos choix politiques, mais dans les tréfonds de nos rapports à l’autre sexe. Bien entendu, l’histoire de l’empire romain est truffée d’empereurs et d’impératrices malades ; voire complètement fous. Cela ne l’a pas empêché de perdurer. La dysharmonie a mis longtemps à se généraliser. Cependant, elle a fini par vaincre. A travers notre histoire, nous pouvons voir un tel mouvement se dessiner. Les soubresauts que nous connaissons n’y changent rien. Notre niveau de moralité chute abaissant toujours plus notre puissance qui ne survit que des sacrifices de générations passées, dons qui nous ne renouvelons pas toujours envers la génération suivante.
Il suffirait pourtant de tant et de si peu, que nous prenions conscience de notre état, et que nous rejetions loin de nous le mal féministe, pour pouvoir commencer à avancer. Seulement dans un monde où les mères épousent leur fils, ce genre de prise de conscience est bien difficile, la vue de l’enfant étant irrémédiablement entravée par les affects de celle qui est tout pour lui, plus encore qu’une mère.
Nous sommes pourtant dans un tel monde. Dans celui-ci, sacrifier les enfants sur l’autel des désirs féminins est une gloire. Epouser son fils s’appelle amour. Le silence est noble parce qu’il a étouffé la honte qui divertit les coeurs ennuyés ou lâches. Dans ce monde, point besoin d’écrire des pièces de théâtre qui s’écrivent toutes seules, à ciel ouvert. Le pire est en train de se réaliser sous nos yeux.
Une nouvelle fois, les Français vont avoir ce qu’ils veulent. Ils l’auront cette richesse, mais je gage qu’elle ne leur apportera pas le bonheur. Au contraire, je parie que cette montagne de bon sens qui va nous apporter tant d’argent risque de nous achever. Et personne ne l’aura vu venir parce que pas une fois, nous ne nous serons interrogés sur la légitimité de nos désirs.
Emmanuel et Brigitte singent cette France qui veut encore croire que le travail seul la libérera, que la liberté d’entreprendre résoudra toutes ses questions existentielles, qu’une union stérile ne marque pas un manque de respect total entre les êtres qui la contractent. Elle sera encore déçue cette France. Il lui faudra du temps pour comprendre et Dieu seul sait vers qui ou quoi elle se tournera après, mais elle sera déçue. Le vrai amour nécessite un effort. Or, tandis qu’il nous faudrait nous tourner vers cette dialectique, nous la rejetons, et nous rejetons même les moyens de nous tourner vers elle, et qui nous sont donnés par le Christ.
Un vrai chef ne devrait jamais affirmer qu’il nous servira avec amour. C’est déplacé. Il devra toujours promettre du sang, des larmes et de la sueur à ses subordonnés, car il n’y a de vrai bonheur qu’une fois les épreuves dépassées. Les peuples qui sèment dans la joie, récoltent les pleurs. Les peuples qui sèment dans les pleurs, récoltent la joie. Un peuple immature et féminisé écoute celui qui lui promet de jouir toujours plus d’une consommation effrénée. Un peuple grand et noble se méfie comme du diable des situations d’opulence. Tel est l’écart qui sépare notre France de sa vraie grandeur. Le fossé est gigantesque, mais Dieu peut le combler d’un souffle. Si nous le demandons, nous aurons l’occasion de grandir. En attendant, place à la désillusion de l’enfant qui entre dans le monde.
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"Un professeur de collège jugé pour une relation avec une élève de 14 ans", L'Express du 15/11/2017.
Mais où est l'égalité bon sang ?
"Âge du consentement sexuel : ce qu'il faut savoir", Le Point du 14/11/2017.
En résumé, les lois en France sont totalement bafouées, et les féministes veulent en rajouter une couche. Comme cela l'hypocrisie sera totale quand un homme sera condamné.
"Consentement sexuel : pourquoi il est compliqué d'établir un âge minimum", L'Obs du 14/11/2017.
Si la loi définit le consentement à 15 ans, Brigitte Macron est officiellement passible d'une condamnation pour viol. C'est bizarre comme le gouvernement ne semble pas vouloir pousser l'hypocrisie jusque là et prône une limite à 13 ans...
Comme exemple ces deux cas de femmes professeurs couchant avec leur élève garçon âgé de 11 ans pour l'une et de 12 ans pour l'autre. Verdict pour chacune : 6 mois de prison. Ah la belle égalité réclamée par les féministes, où est-elle ? Un prof homme serait viré, avec 20 ans de prison et non 6 mois !
Brigitte Auzière, une truie qui soutient "balance ton porc".
http://www.purepeople.com/article/joan-collins-brigitte-et-emmanuel-macron-c-est-une-histoire-fabuleuse_a241471/1
Ou quand la pédophilie féminine est tolérée (la masculine aussi mais pas de façon mainstream, seulement ceux qui ont le fric et le pouvoir) ... Pour ceux qui en doutait encore, Sodome et Gomorrhe 2.0 se situe bien à Hollywood.
"Bordeaux : un professeur de lycée condamné pour une relation avec une élève", Europe 1 du 03/02/2017.
** évidemment
Ça serait bien de pouvoir corriger ses messages après l'envoi comme sur Youtube...
Ceci dit, très bon article...
On peut pas comparer Johnny Hallyday à Brigitte Macron car il y a effectivement une subordination de prof à élève dans le cas Macron... Et ce dernier avait 15 ans au moment de leur union alors que Laetitia était majeure elle...
Serge Charnay emprisonné, Jacqueline Sauvage libérée...
David Hamilton suicidé, Brigitte Macron présidentialisée...
Sur fond de lutte contre l'oppression que subisse les femmes évidemment...
Et je parle même pas du mariage pour tous, de la PMA et de la GPA sinon je vomis...
Ni du risque dérisoire que représente la violence conjugale et le viol pour l'espérance de vie d'une femme comparé à l'alcool, le tabac, la malbouffe, la pollution de l'air et le manque de sommeil, sinon je vais m'étouffer de rire dans mon vomi...
Amen.
Fogiel, Paris-Match, Gala (et probablement d'autres média ) osent carrément écrire qu'Emmanuel Macron est le grand-père des petits-enfants de sa femme, que ce sont les sept petits-enfants de Macron !!! Photo double page dans Match du 18 mai : l'usurpateur avec une des petite-filles ( âgée de 5 ans, donc il aurait été grand-père à 34 ans ! ). Aucune mention du vrai père et grand-père, mr Authiaire (j'ai oublié son nom exact), il est ÉLIMINÉ, exactement comme nombre de pères divorcés ÉLIMINÉS au profit du nouveau compagnon de Madame, usurpateur qui se fait appeler "papa" (aliénation parentale).
Venant de Fogiel, c'est logique, lui qui a truqué la filiation de ses deux filles obtenues grâce à des mères porteuses ...
Oui, la confusion se propage.
"Québécoise emprisonnée aux Bahamas pour agression sexuelle sur mineur de 15 ans", JDM du 18/01/2017.
"Un site chrétien compare Emmanuel Macron à un "péché sexuel" L'Express du 12/05/2017.
Je n'ai pas mis en lien l'article original qui semble avoir disparu et qui a été remplacé par "Ils sont choqués d’apprendre que l’homosexualité est un péché"