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Infanticides par avortement, divorces à la place des séparations de corps, unions des duos et vente d’enfants, nous devons ces grands « progrès » de l’humanité à la Franc-maçonnerie. Cette institution est le bras armé victorieux de la féminisation occidentale et de sa dégénérescence depuis que l’Eglise catholique s’est entièrement vidée de ses hommes. Bizarrement cette institution fascinée par les femmes reste rétive à les accueillir. Et quand elle le fait, c’est dans des conditions rocambolesques et irréfléchies. Tout un symbole. Pourtant, le mouvement est lancé. Les nouvelles soeurs ne comprennent pas le culte du secret, ce jeu de garçons un peu immatures. Ce faisant, elles sapent les fondements d’une institution essentiellement fondée sur la mascarade ésotérique, tout en s’en réappropriant le pouvoir et c’est là le drame. « Les femmes qui exercent le pouvoir ont toujours un air ridicule », aurait dit Christine de Suède, lesbienne et « Roi » de son pays au début du 17ème siècle. Si cela pouvait se limiter à cela. L’état des lieux d’une féminisation en cours de la société par la maçonnerie et à l’intérieur de la maçonnerie : ou quand le bourreau devient la victime.
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