Cette vidéo a pour support un extrait de l’émission « C Politique » du 12/11/2017 où un académicien s’est affronté à un professeur de lettre signataire avec 300 de ses collègues d’un manifeste pour que « le masculin ne l’emporte plus sur le féminin » dans l’enseignement du français. Ce débat est à replacé dans un cadre plus large de revendication concernant l’écriture inclusive (qui tend à féminiser tous les neutres qui se confondent aujourd’hui avec le masculin. Par exemple interlocuteur doit être écrit interlocuteur.rice si le nom est employé comme fonction). Pour de plus amples explications voir les articles « La régression grammaticale féministe » et « Rapport du HCE : la grammaire politique des féministes » écrit en 2015.
Mon propos n’est pas ici de lancer une énième alerte contre la régression féministe, mais de m’intéresser à ces femmes qui supportent ces idées, à leur influence dans la sphère sociale, et surtout comment elles sont capables de faire admettre des revendications qui vont contre le plus simple bon sens et qui constituent une régression dans l’ordre logique, et donc une régression sociale dans son ensemble.
Pour ce faire, nous avons ici un débat caricatural à l’extrême : un mâle blanc de plus de 50 ans à qui il est reproché de vouloir perpétuer une forme de domination patriarcale, et tout un plateau télévision contre lui qui soutient pourtant que les hommes dominent dans la société… La réforme est elle-même portée par une femme jeune, encouragée par de nombreuses collègues dans un métier hyper féminisé (effet ruche) qui travaille contre le savoir qu’elle doit enseigner.
Voici l’exemple éloquent d’une perte d’autorité des hommes dans notre société démocratique où le nombre gagne sur l’intelligence, phénomène synonyme de faillite complète.
Intelligence féminine et décadence sociale от Léonidas Durandal на Rutube.
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