Lien direct en cas de problème : http://rutube.ru/video/98b9334f85dcac38ed1e51db0f652b88/
Si vous me visitez de l’étranger, ou si vous utilisez un proxy qui vous identifie de l’étranger, vous pourrez peut-être la voir sur Dailymotion :
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“VIDEO. Frédéric Lopez a fait son coming out sur France 2”, L’Express du 07/11/2016.
Violenté par son père, il tente de rester pudique sur ses “pratiques sexuelles” à l’âge adulte. Je ne sais pas si c’est une réussite.
“À 93 ans, Raymond a décidé de briser le silence sur des actes de pédophilie dont il a été victime voilà 76 années, alors qu’il n’avait que 17 ans.”, Le Point du 28/10/2016.
Pédophilie avec un jeune homme de 17 ans… on parle bien de la même chose ? C’est plutôt un viol de la part d’homosexuels infiltrés à l’intérieur de l’Eglise !
“le frère Dieudonné bat l’enfant”… et pourquoi pas l’abbé Alain Soral tant qu’on y est ?
J’espère que le type s’est bien poilé à écrire l’article.
Quand on parle de pédophilie dans l’église catholique, surtout aussi vieux, ayez le réflexe de faire une recherche pour voir si une autre communauté ne serait pas elle aussi secoué par un scandale de pédophilie.
“Jean-Marie Le Pen lie homosexualité et pédophilie” Figaro du 18/03/2016.
J’ai plutôt l’impression que le rapport de cause à conséquence est inverse.
“Villemoisson-sur-Orge : le professeur pédophile avoue « des pulsions homosexuelles »”, NDF du 20/02/2016. en référence à l’article du Figaro “Essonne : le professeur mis en examen pour agression sexuelle, déjà condamné en Angleterre”
http://www.limpartial-andelys.fr/2015/12/29/pont-saint-pierre-interview-pedophilie-a-la-piscine-andelle-natation-accuse-le-coup/ et dire que c’était mon maître-nageur. Et il est également homosexuel
“USA : les personnes qui pratiquent l’homosexualité peuvent désormais devenir chef scouts”, Figaro étudiant du 28/07/2015.
A noter l’assimilation entre Eglise Catholique et église Mormon…
“Spectacle pédophile à la gay pride”, NDF du 30/06/2015.
Et pendant ce temps, un peu plus loin, une pauvre enfant envoyée par d’horribles lesbiennes pour faire leur propagande, essaie maladroitement de nouer un contact avec la civilisation :
“Une petite Américaine tient tête aux opposants au mariage gay”, Figaro du 01*07/2015.
Léonidas, je n’arrive pas à ouvrir votre vidéo, je vais donc en rester au titre. “Le lien ténu” n’existe t-il pas dans toutes les formes de sexualité quel que soit l’orientation de leurs contempteurs ? Est-il inexact de penser que l’abus perpétré par un violeur, quel(le) qu’il soit, n’est rien d’autre que l’expression d’un désir s’exprimant viol-emment pour avoir été brimé dans l’excès. A contrario, vous avez des sociétés où le viol n’existe pas. Vous le savez et vous en connaissez les raisons je suppose.
J’ai essayé d’améliorer l’efficacité des liens dans l’article.
Pour le fond, vous avez raison en tous points. Le péché n’est jamais loin, pulsions homosexuelles ou pas. Quant aux sociétés où le viol n’existe pas, je ne crois pas qu’elles soient très nombreuses. Le viol est un tabou intemporel dans nos sociétés judéo-chrétiennes. Dans certaines sociétés asiatiques, le viol est considéré comme une forme de sexualité normale, il a donc un statut qu’il nous est difficile d’appréhender ici. Cependant, je peux avancer sans risquer de me tromper que toutes les sociétés ont leurs moyens traditionnels de gérer la pulsion sexuelle pour éviter d’en arriver à des pratiques perverses. Chez les catholiques l’institution du mariage et de la monogamie ont permis à un maximum d’hommes et de femmes d’accéder à une sexualité normale pour un maximum de membres de ces sociétés. Au contraire à l’époque romaine, la perversion était bien plus répandue, tellement que certains historiens en ont fait le récit détaillé pour leurs monarques. Etaient-ils brimés par leurs mères, peut-être bien dans une société où les femmes avaient beaucoup (trop) de place. Maintenant il est difficile de nier la spécificité de la pulsion homosexuelle en termes de violence, sa force déstabilisatrice pour l’être qui s’y soumet, l’immaturité latente chez certains homos qui à toutes époques, les a poussés vers de jeunes garçons peu formés. Le pléonasme de “jeunes” Ephèbes” pour nommer les mignons très jeunes d’hommes plus âgés, décrit avec ironie ce désir. Il y a une longue tradition pédophile dans le milieu homosexuel jusqu’à récemment assumée. Il n’y a que depuis la proscription ferme de la pédophilie à cause des dégâts occasionnés qu’il est devenu de bon ton de dire que ces deux pulsions sont entièrement étanches. Je ne crois pas qu’elles le soient. Et j’en ai même la preuve : http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/chiffres-scientifiques-sur-les-50780 Si 20% des filles ont subi des abus sexuels et si 10% des garçons sont dans le même cas, à supposer que ces agressions soient très majoritairement le fait d’hommes et tandis que 95% des hommes n’ont pas de pratiques homosexuels, 5% d’entre eux provoqueraient la moitié moins d’abus sexuels sur les garçons. Pour m’exprimer plus clairement : 5% d’homos provoqueraient 33% de tous les abus, et 95% d’hétéros le reste sur les petites filles soit 66%. A imaginer que les chiffres des féministes ne soient pas exagérés envers les filles, et j’en doute, l’enquête citée nous montre une situation où les agressions sexuelles sur les enfants de la part de la communauté homosexuelle seraient 6 à 7 fois plus nombreuses que chez les personnes à pulsions sexuelles alternes stables. Même si on retenait l’hypothèse basse des féministes de 5% de petits garçons agressés sexuellement, on en arriverait tout de même à 4 fois plus d’agressions dans la communauté homo. Des personnes comme Philippe Arino en parlent depuis longtemps. Mais il n’y a personne pour soutenir officiellement cette position. C’est tout simplement mensonger.
Je n’aime pas ce mot : Pédophile » qui est un fourre-tout popularisé en 1969 et à dessein dans la droite ligne de la libération de la femme et de sa jouissance. Il veut dire « Amour pour l’enfant » ce qui est un non sens considérant ce qu’il dénonce.
« Pédoclaste » voulant dire « qui maltraite l’enfant » devrait lui être préféré.
Par ailleurs, dans l’antiquité, il s’agissait de pédérastie, laquelle tirait sa légitimité du Dieu Eros donnant en conséquence sémantique l’Eraste et l’Eromène. Je me demande d’ailleurs si il y a un lien entre St Eraste, disciple de St Paul, et l’Eraste de la culture Grecque.
Quoiqu’il en soit, l’Eraste faisait exactement avec les jeunes gens ce que les prostituées des maisons de tolérance feront plus tard avec eux en procédant à leur initiation à la sexualité autour de leurs 16/17 ans. L’église ne les combattra pas à ma connaissance. Nos aïeux y emmenaient leurs fils pour les déniaiser.
Combattre la « mauvaise sexualité », c’est à dire celle qui soustrait aux femmes le monopole du plaisir charnel qu’elle seraient seules en droit de dispenser est une soumission à son genre, en effet voulue par cette femme/mère qu’est l’église.
Je ne suis pas un expert pour ce qui est de la pratique de la sexualité dans l’antiquité mais il me semble que viols et adultères étaient très sévèrement réprimés, bordels et esclaves (Hommes femmes et enfants) en défouloir..
Autres temps, autres mœurs…
Maintenant si on veut réellement lutter con,tre ces déviances, acceptons le principe du matriarcat, lequel donne la majorité à 13 ans à ses enfants, qu’elle soit sexuelle ou « civile ». Ce sont les hommes qui élèvent les enfants et il paraît qu’il n’y a ni agression sexuelle, ni viol, ni pervers, ni prison… En revanche, l’lhomosexualité de certains de ses membres ne semble poser aucun problème.
Qu’en pensez-vous ?
Si on pouvait tenir le discours que vous tenez en 68, ce n’est plus le cas aujourd’hui : le laisser faire en matière de sexualité est en train d’aboutir à une société de la pornographie, qui sexualise non seulement les rapports avec des enfants en position effective d’être manipulés, mais aussi tous les rapports sociaux. Devant sa télé, l’homme, l’enfant, la femme, sont réduits à leurs pulsions et infantilisés. L’infantilisation engendrant l’immaturité. L’immaturité engendrant la perversion et la souffrance dans les rapports humains. La libération sexuelle, homosexuelle ou pas, n’a pas apporté le bonheur. Elle a enfermé les êtres dans des rapports réellement pervers. Tout tend vers la baise, plus rien ne s’envisage en dehors de quelques coups de queues donnés de ci de là. La pulsion sexuelle est un bien assez puissant moteur de la nature humaine sans encore en rajouter une couche. La sexualité se domine, elle ne s’exerce pas “en toute liberté” sans esclavager l’être. En dehors d’un couple homme femme pour la vie, et pour la fécondité, elle n’aboutit souvent qu’à une dégradation de l’être. Utiliser le terme de “pédophilie” de manière caricaturale, ne me dérange pas non plus : cela permet d’instituer un tabou nécessaire. Tant pis, pour une fois, si le langage et la réalité sont un peu écornés.
Récemment, il y avait cet article du Figaro sur ces couples fidèles l’un à l’autre, mais qui se trompent sexuellement, et les dangers que cela peut comporter. Ca, je peux le concevoir, à la limite, même si c’est un jeu bien dangereux, un peu ridicule. Pour le reste, ce n’est souvent que dégradation de l’être, honte, faiblesse. Les hommes qui trompent leur partenaire habituel, reviennent souvent la queue entre les jambe, honteux. Ils sortent des putes en baissant le regard. Instinctivement, ils sentent combien ils agissent de manière médiocre. Et leur manière de parfois plastronner en public n’y change rien. Elle n’est que l’inverse d’une même médaille faite de honte à l’endroit et de fierté mal placée à l’envers.
C’est vrai, il y a le problème du déniaisage. Il faudrait des hommes expérimentés et chastes en même temps. Et sûrs de leur stature face aux femmes. Difficile quadrature du cercle. Je réfléchis beaucoup à cela en ce moment. Pour qu’il n’y ait plus ce genre de cathos niais et immatures qui me censurent par exemple dans certains groupes facebook parce que ma parole trouble leurs certitudes tandis que je suis plus proche de Dieu qu’ils ne l’ont jamais été. Je remarque d’ailleurs qu’il y a peu de cathos à participer à des échanges ici, et que beaucoup de personnes moins pratiquantes sont plus ouvertes. C’est très grave. Mes frères catholiques ont de grosses remises en question à mener, dans leur manière de choisir leur élite notamment. Nous ne pouvons rester un peuple de bourgeois collaborateurs qui s’interroge moins que la moyenne parce que nous aurions reçu la très sainte Foi catholique. La Foi est une grâce. C’est aussi une responsabilité face au monde.
Ce n’est pas parce qu’il y a une perversion mariale dans notre Eglise, que le culte marial est faux, ou qu’il ne s’agit ici que de contrôle. Nous pouvons rendre grâce à notre altérité aussi, à nos différences, tout en sachant comment le désir totalitaire de certaines femmes traverse toutes les institutions (mais aussi le désir totalitaire de leurs fils). Il est d’ailleurs étonnant de voir les personnes qui ont des pulsions homosexuelles, idolâtrer leur mère, puis être prêts à la détruire et à la combattre symboliquement. La GPA en est le meilleur exemple.
la majorité sexuelle à 13 ans pour lutter contre la pédophilie ? vous savez que c’est une des revendications des pro pédophile? parce que 13 ans cela fait d’un gosse un partenaire sexuelle fiable ?et sans oublié que c’est une solution qui ne combat pas le mal mais au contraire le satisfait =>pour combattre le mal on va lui donner ce qui veux un gosse !!!! et de quelle Sté matriarcales vous parlez? quand à cette Grèce antique de merde je vous mets une citation d’un philosophe grec qui montre d’où vient la pratique de la pédérastie =>la haine de la femme .
Vvoila la citation d’Eschyle auteur grec du Ve av JC
« quel besoin a -t -on des femmes , quand l’esclave est là pour les travaux ménager et l’adolescent désirable pour les ébats amoureux »
La pédophilie , la pédérastie et l’hébéphilie est un abus de pouvoir fonder sur la perversion d’adultes qui trouve la possibilité d’exercer leur pouvoir sur des êtres en constructions .un homme un vrai avec une vrai paire de c*****e et une femme une vrai ne seront jamais attiré par un(e) mineur(e). Et les cultures qui tolèrent ce genre d’union sont des cultures de raté (d’ailleurs Rome et sa sœur Athènes ont fini par disparaitre)
quand au bordel vous oublier de cité qu’elle type de population s’y trouver en majorité =>les enfants des pauvres (fille et parfois garçon ) et qui y aller faire la fête avec leur fils =>les riches
Vous avez raison. Mais je tiens à vous faire remarquer que l’âge de la puberté étant passé de 15 à 10 ans et même moins avec notre société hyper sexualisée, nous nous retrouvons avec des filles qui sont formées depuis longtemps pour beaucoup d’entre elles à 13 ans. Ce qui était défini comme de la pédophilie quand un homme avait des relations sexuelles avec une fille de 15 ans, voire même 16 ou 17 ans selon sa maturité physique, ne l’est plus du tout du seul point de vue physique. Or l’homme calcule beaucoup par rapport au physique. Il sépare plus facilement le sexe de la vie affective, et peut donc très bien imaginer faire l’amour avec une femme formée sans se concevoir comme pédophile alors même que la fille est mineure.
Ce que vous dites est donc valable uniquement dans une société où le mariage, la stabilité, sont la norme. Dans la nôtre qui se définit par rapport à la sexualité, seule la maturité biologique peut faire norme.
La sexualité emportant tout sur son passage, et sans parler de pédophilie, beaucoup d’hommes ne voient plus que par le corps. Or comme vous le soulignez effectivement, il est bien souvent impossible de séparer l’âge d’une personne et sa maturité psychique. Ce genre de relation sexuelles entre jeunes et plus vieux, se fait donc soit sur un quiproquo, soit sur une relation pédophile, soit à cause d’une forme d’avidité sexuelle mal contrôlée.
Si ces relations ne sont pas souhaitables, elles ne peuvent pas toutes être placées toutes sur le même plan, et bien malin qui pourrait dire ce qui s’est réellement passé dans la tête d’un adulte qui a eu une relation sexuelle avec un(e) mineure qui possédait tous les attraits sexuels d’un(e) adulte.
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