Depuis votre plus tendre enfance, vous avez été programmés pour aimer le féminisme, au pire pour le tolérer.
C’était et c’est peut-être toujours une évidence pour vous. Subrepticement, vos mères, vos grands-mères, vos tantes, ont distillé leur message, et comme vous les aimiez, et que vous les aimez toujours (j’espère), vous y avez cru, vous n’avez pas voulu remettre en cause ce qui leur semblait évident. Elles-mêmes croyaient faire oeuvre de charité en vous rendant moins brutal, en vous éduquant aux attentes d’une femme, en vous soumettant autant dans la famille que sur le marché du travail (chose nouvelle en ce qui concerne le marché du travail).
Et pour appuyer leur message, elles ont pu rajouter une pointe de culpabilisation. Si elles ne l’ont pas fait, les médias, eux, s’en sont bien chargés.Vous avez alors accepté ce révisionnisme historique : vos aïeux étaient mauvais, ils n’aimaient pas leurs femmes ou leurs filles, ils étaient violents et intraitables, ils dominaient de pauvres femmes sans défense. Seulement ils ne l’étaient pas plus que vous.
En agissant ainsi, vos mères, vos tantes, vos grands-mères, vos femmes ont alors réussi à imposer leur vision totalitaire de la société, pas dans un mouvement bien conscient, certes, mais qui a fini par écraser toute tentative de contestation. Elles n’imaginaient pas être les premières victimes de leur idéologie, elles étaient persuadées de la supériorité des femmes sur les hommes, elles percevaient les hommes comme un contre-pouvoir dangereux face aux enfants, des êtres sans sensibilité, sans émotion, incomplets. Elles imaginaient que les affaires publiques seraient mieux administrées sous leurs ordres, car dans la famille, elles se sentaient supérieures. Malheureusement elles ont provoqué une dégénérescence masculine et en engendrant des sous-hommes, elles n’ont pas gagné l’harmonie qu’elles attendaient.
Au contraire toute la société a périclité et elles-mêmes sont entrées dans une phase de dégénérescence. Aujourd’hui la machine s’est emballée, nous n’avons pas le droit de critiquer le féminisme car ce serait critiquer les femmes. Aujourd’hui, vouloir dénoncer le féminisme, c’est passer pour le plus grand réac que la terre ait porté. L’antiféminisme serait a priori un mal absolu. L’antiféminisme serait une atteinte au droit des femmes. On oublie facilement que le féminisme a été le premier mouvement politique à s’opposer à un autre sexe, qu’il a été le premier mouvement politique à revendiquer la domination d’un sexe sur l’autre. On oublie qu’avant le féminisme, hommes et femmes étaient complémentaires dans la société, pas opposés.
Après le féminisme, hommes et femmes se sont retrouvés en guerre, et ils ont trouvé cette guerre naturelle, et ils ont pensé que cette guerre avait toujours existé et pire, qu’elle était le moteur de l’histoire. Cette guerre n’est pas naturelle, elle n’est pas le moteur de l’histoire. Le moteur de l’histoire c’est l’amour. Cette lutte pour imposer la domination d’un sexe sur l’autre, le féminisme, est la pire des idéologies car elle est source de tensions avec ceux qui vous sont les plus chers, vos femmes, vos filles, vos grands-mères, vos tantes. Vous voudriez échapper à cette lutte, mais croyez-vous avoir le choix ? En fait ce n’est pas contre vos femmes, vos filles ou vos grands-mères que nous vous proposons de vous battre, mais contre cette idéologie crasse, qu’elles ou certains chevaliers-maman continuent à colporter. N’oubliez pas que cette idéologie est à la source des pires catastrophes sociales : avortements de millions d’enfants, déstructuration des familles, mise à la rue de millions d’hommes à travers le monde, et de nombreuses autres à venir : infériorisation des hommes dans la plupart des métiers, accaparation du capital. Alors qui a le droit de vous interdire de critiquer le féminisme ? Pourquoi le féminisme serait le seul mouvement politique pour lequel il n’y aurait pas d’examen de conscience possible ? Je vais vous donner la réponse : si les hommes demandaient aux féministes d’assumer leur échec, c’est toute l’idéologie féministe qui s’effondrerait. Alors pour éviter qu’un tel mouvement se produise, les féministes ont trouvé la parade : le féminisme serait une idéologie intouchable et ceux qui la contesterait seraient d’affreux réacs. Allez-vous continuer à croire tous ces mensonges, à vivre et à propager le mensonge.
Libérez-vous de tout ce qu’on vous a appris, de tout ce qui vous semblait évident. Et à travers ce brouillard vous finirez par distinguer le visage hideux d’un mouvement totalitaire, séparatiste et révisionniste. Cet écran de fumée, nous vous proposons de le dissiper dans le groupe antiféministe. Allez plus loin que la simple sympathie pour notre mouvement et commencez à militer en diffusant la mauvaise parole. Rejoignez notre groupe sur facebook, consultez www.aimeles.fr L’antiféminisme est le plus bel acte d’amour que vous puissiez donné à vos femmes.
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