Les représentants de la loi, se substituent aux pères en tout. Ici, à la gendarmerie, on ne voit que ça sur les affiches. Comme si le bourrage de mou à l’extérieur (1) n’était pas suffisant. Et comme si des lois républicaines pouvaient remplacer une bonne éducation paternelle… Au contraire :
Le bon père de famille attaqué symboliquement en jouant sur l’émotionnel :
Slogan basé sur la psychose :
Numéro départemental faisant doublon avec le 3919. Les personnes qui se nourrissent de la misère de ce petit monde sont peut-être plus nombreuses que les victimes réelles :
Au lieu de multiplier les affiches, les slogans provocateurs, les numéros coûteux, l’Etat pourrait utiliser un numéro unique et verser dans la sobriété (cela ferait beaucoup plus sérieux d’ailleurs)(3). Cependant, cette forme de bon sens semble loin. On contrôle les moutons par l’émotionnel et on gaspille en même temps, leurs impôts. Quant aux femmes battues, ce n’est pas ce genre de clichés vendeurs qui va faire avancer leur cause. La réalité qu’elles vivent en est bien éloignée (2).
1 « Les femmes battues, un phénomène anecdotique« , Aimeles 24/11/2012.
2 « Il l’a battue toute la nuit :« Tous les couples s’engueulent ». », Rue89 12/02/2014.
3 « Loi égalité hommes-femmes : faillite au féminin. », aimeles 08/02/2014.
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