Alors comme cela, il y aurait des surveillantes dans les établissements scolaires avec des garçons. Un fou, qui est-il ?, aurait donné à des femmes une représentation sociale d’autorité. Et des femmes se seraient crues aptes à exercer ce genre de profession. L’armée de professeuses ayant sabordé l’instruction publique, de jugesses ayant transformé le tribunal en cloaque émotionnel, de policières faisant de la médiation, d’assistantes maternelles, ne suffisaient plus. Les garçons ne voyaient pas assez de femelles jusqu’à la maison de retraite pour les maltraiter. Ou bien, il n’y a plus d’hommes en france. Ou bien, un recrutement égalitaire aurait privilégié des petites filles sages et mauvaises, mesquines, qui se défendent à coups de manigances et de mauvaises paroles. Nous en serions là ?
Les établissements scolaires seraient donc devenus à l’image de notre société. Personne n’aurait cru bon d’y résister plus qu’ailleurs. Le marasme serait complet et l’opinion publique s’y serait habitué. Ces petites putes stériles, sous prétexte de ramener de l’argent à la maison, auraient le droit d’exercer n’importe quelle profession. A ce point que les commentateurs s’étonnent sur le profil familial de celui qui a tué une surveillante à Nogent. Mon Dieu, sa mère travaillerait, signe évident de stabilité émotionnelle, confondu avec une intégration sociale. J’aurais plutôt tendance à soupçonner la maltraitance dans ce genre de cas. Pourquoi n’était-elle pas à s’occuper de sa famille ?
Mais il y a pire. Une femme auprès de ses enfants, ça ne serait plus gage d’équilibre psychique. Non. Au contraire. Une mère équilibrée ne s’occuperait plus de son foyer peuchère. Pour peu que cette mère soit salariée dans un milieu qui s’est féminisé, et je crois plutôt qu’il ne faudrait pas aller chercher beaucoup plus loin les racines de l’assassinat. Il n’y a qu’à voir l’ambiance au travail depuis que les femelles y font régner la terreur.
En bonnes égocentriques, elles ne s’aperçoivent même plus des dégâts qu’elles font, ou bien, elles s’en moquent. Ce fait divers nous apprend qu’elles fouillent donc les sacs des collégiens, à l’entrée. Plus d’intimité, plus d’individualité à un âge où l’enfant cherche justement les moyens des son émancipation. Aucune intuition psychologique, elles qu’on dit si fines en la matière. Pourquoi ? De mon expérience, ces femmes n’ont pas une once d’idée de ce que pourrait être un début d’autorité. Dans leur imaginaire, il faut contrôler les gens et empêcher le moindre dérapage. Voilà ce qu’elles appellent autorité. La psychologie d’une mère appliquée à un milieu professionnel, avec tout ce qui ne va pas.
La réaction du gouvernement face à cet assassinat, est similaire à celle des surveillantes : contrôler. Il faudrait interdire la vente de couteaux aux mineurs, ouvrir des portiques de sécurité. La blague. Nous sommes bien dans un pays féminisé. Amusons le public. Nous devons en avoir pour notre argent. C’est gratuit, c’est l’état qui paye aurait malicieusement rajouté François Hollande. Dois-je rappeler à l’élite de notre nation, que les couteaux se trouvent ailleurs que dans les magasins, qu’il nous arrive de manger avec, que s’ils étaient proscrits des collèges, ils pourraient passer à un autre endroit que par les portiques, et qu’enfin avec une telle mesure, les racailles auront un avantage décisif pour agresser les gentils cons d’élèves sans défense à la sortie du collège ? Notre personnel politique n’a-t-il pas d’autres outils en poche que celui d’un contrôle totalitaire qui a justement provoqué le drame ?
Nos décideurs flasques et féminisés, accompagnent les « évolutions sociales » chez nous. Ils ne s’y opposent pas ou si peu. Quand un drame survient, et qu’il contredit cette fable, ils font semblant d’intervenir pour éviter d’avoir à rendre des comptes. Ce genre de drames est pourtant le résultat direct de leurs choix antérieurs. Au contraire veulent-ils légiférer, pas pour s’attaquer aux causes qui nous ont menées là, ni pour se remettre en question, mais pour favoriser toujours plus leur contrôle, et toujours plus de féminisation, ce même contrôle et cette même féminisation qui sont en train de rendre fou de plus en plus de garçons, et toute une société à vraie dire. Et si finalement, ce garçon était juste plus sain que la moyenne ?
Mais revenons sur l’incident lui-même. A Nogent, il a été déclenché par une surveillante qui s’était permise de faire une remarque à l’adolescent sur le baiser qu’il avait donné à sa copine. Comme pour ces fouilles de sacs, les femmes ne comprennent pas la violence symbolique à l’oeuvre quand elles interviennent. Elles croient pouvoir jouer à l’homme. Mais ce qui est légitime de la part d’un homme ne l’est pas pour une femme. Et à vouloir tout confondre, la violence en est redoublée chez un adolescent. Puisqu’il faut l’expliquer : la surveillante qui interdit un baiser représente la mère qui ne veut pas que son fils s’émancipe, à un âge où l’enfant a furieusement envie de grandir. A l’inverse, un homme qui fera cette remarque, pourra être perçu comme voulant faire évoluer ce garçon en lui donnant un cadre social. Voilà qui n’est pas évoqué par les personnes les plus compétentes en poste dans les collèges.
Bien entendu, je ne cherche pas à excuser l’assassin, non certainement pas. Parce que dans un pays féminisé, vous noterez qu’il faut s’excuser de ses propos, pour qu’ils ne soient pas compris mal à propos. Alors non, vraiment, je ne cherche pas à excuser. Quant à dire que ça devait tomber sur la gueule d’une surveillante, que ce sentiment est si partagé que déjà, de nombreuses menaces avec couteau se sont produites depuis, non, non je ne cherche pas à excuser un élève qui vous averti que votre système va droit dans le mur. Il y va. Et si les conditions deviennent de plus en plus difficiles dans les milieux féminisés gauchistes, je vais même peut-être lâcher une larme qui sait ?
Sérieusement, il y a quelques chose qui me dérange beaucoup plus. Je veux dire par là le climat dans lequel sont élevés tous ces jeunes garçons, l’impossibilité chronique à devenir un homme dans un tel contexte, et la finalité talibane que les femmes ne voient pas arriver mais qu’elles auront un million de fois mérité. Ne vous trompez pas sur mon propos. Je ne dis pas cela pour faire peur ou pour me venger. Je ne crois pas en la peur, et la réalité me vengerait amplement si j’étais animé d’un tel sentiment. Je vois juste la catastrophe prendre de l’ampleur. Voilà plus de 10 ans que j’ai parlé de ce qui allait arrivé, de tous les signes avant coureurs. Des hommes se sont suicidés avant que leurs garçons ne deviennent de assassins. Mais personne ne l’a pris au sérieux par misandrie.
Et ne croyez pas que non plus je regrette la société talibane par rapport à la nôtre. Je regrette que l’alternative catholique ne soit pas mieux mise en valeur. Et je m’interroge : quelle va être la prochaine étape de cette implosion ? Serait-il possible que les hommes retrouvent un peu de respect dans notre société ? Peu probable sans un changement de civilisation au vu de la niaiserie des commentaires et des propositions politiques qui ont suivi ce drame.
Laisser un commentaire