Nicolas est ce français moyen sensé payer pour les autres.
En réalité, c’est la petite pute du système qui voudrait seulement que son mac lui en laisse un peu plus. Mais le mac sait très bien comment gérer le petit personnel. Deux claques et tu retournes au tapin mon Nicolas malgré ton mème. Je t’aime Nicolas. Tout le monde aime Nicolas d’ailleurs, mais les 4 fers en l’air, au boulot, à faire du fric, le maximum possible, et à croire que cela suffit pour être représenté politiquement parlant. Pour le reste, Nicolas tu n’es pas de taille.
Nicolas le bon travailleur, est la meilleure petite pute du système. Il aime se faire traire parce ce que sinon, il aurait les mamelles trop pleines, et serait perdu. Au moins l’état français lui donne-t-il un but dans la vie, et même plusieurs : se sacrifier pour l’état, tout en pouvant passer sa vie à râler de manière complètement contre productive. S’il ne travaillait pas bêtement, nous ne saurions pas quoi en faire. Lui non plus.
Avant Nicolas avait une femme. Maintenant, il a l’état et sa femme. Mais tout comme avant, sans sa partenaire, il est perdu. Je veux dire sans l’état, car désormais il aspire à se passer de sa femme si elle a vieilli. Il a donc régressé. Bien entendu il couine comme un porc qu’on égorge, mais ça ne change rien. Et c’est même à ça qu’on le reconnaît. Est-ce que vous croyez qu’un homme couinerait toujours comme ça, et qu’il n’arrêterait pas de se plaindre pour agir ? Lui, il gagne un petit billet en plus pour nourrir bobonne et ses deux enfants, et le voilà satisfait de lui, ce brave citoyen. Parfois il paye une pension. Qu’importe. Tant que cela le motive à travailler encore plus.
D’ailleurs, il suffit d’acheter Nicolas pour le faire taire. L’état ne s’en prive pas. Il a acheté les Nicolas du bâtiment, les Nicolas fonctionnaires, les Nicolas élus et tous les autres Nicolas, qui se croient particuliers et qui ne le sont pas, car ils ne vivent que de leur petite vie misérable et matérialiste en ignorant le reste du monde. Nous sommes tous des profiteurs en france, mais la caricature de Nicolas veut s’imaginer qu’il est le seul à être exploité. Ca va pas faire avancer le schimilibilick.
Reste le Nicolas cohérent avec lui-même, qui part à l’étranger et qui devient le pire des Nicolas, apatride, sans culture, sans racines, expulsé par plus fort que lui, inutile à son pays, tant et si bien qu’il finit souvent par revenir la queue entre les jambes, plus dépité que jamais, et silencieux. C’est quand même bien la france ! Ouaih, c’était surtout bien quand t’étais pas là.
Il suffit de le faire travailler et il t’aime mon Nicolas, ou il s’aime, mais ça revient au même pour lui. Il voudrait seulement pouvoir en profiter un peu plus et régner d’autant plus avec son fric qu’il ne pense que par ça. La vie est tellement compliquée en dehors de faire du fric. Va-t-on le laisser vivre simplement ? Non ? Seulement l’état sachant qu’il est sa petite pute, en profite d’autant plus qu’il est facile à berner. Et Nicolas en retour, en redemande. Car il ne voit que par les conditions matérielles qui le contraignent et qui l’empêchent pourtant d’agir. Vous comprenez, quoi qu’il arrive il aura toujours plus à perdre qu’à gagner dans la contestation. Voilà ce que c’est, que de prétendre vouloir appartenir à la bourgeoisie. Il ne faut donc pas s’attendre à le voir faire des étincelles. Par exemple, quand il voit tout ce temps que cela lui coûterait de s’occuper d’autre chose que de faire du fric, sans parler de sacrifier sa vie, il renonce par avance. Après il ne comprend pas comment cela se fait-il que le système ne change pas, que c’est tous des pourris, qu’il est gouverné par des socialistes, de droite comme de gauche, qui n’ont qu’à lui dire ce qu’il aime entendre.
Il est manipulé par des milliardaires qui le dupent, mais qui lui ressemblent tant finalement. Incapable de vrai sacrifice, attendant que l’argent lui donne l’occasion de décider pour le reste de la société, il s’imagine que tout va aller mieux comme par magie lorsqu’on saura l’écouter. Nicolas, le monde entier ne cesse de t’écouter. Et il te méprise. En retour, Nicolas couine, avant de retourner le plus vite possible au travail, au boulot, je veux dire celui qui rapporte. Car celui qui ne rapporte pas, ce n’est pas du boulot évidemment. C’est du loisir de fainéant de gauchiste, qui se tritouillent la nouille sur son compte. Qui est le plus con en l’occurrence, l’imbécile qui paye ou celui qui est payé pour faire l’imbécile ?
Le vrai fainéant, c’est pourtant lui, qui ne fait toujours que ce qu’il aime et jamais ce qu’il doit. Nicolas se croit courageux tandis qu’il n’est qu’un lâche. Il suit son bon plaisir de travailler qui ne lui coûte aucun effort réel tandis qu’il essaie de se faire mousser dans son entourage grâce à sa situation sociale, en particulier devant les femmes, trop contentes de pouvoir le manipuler à si bon compte. Et il est terrifié à l’idée de changer. Il ne comprend pas les autres qui ne font pas comme lui. C’est dire l’enfermement.
L’enfermement de Nicolas, c’est la valeur argent. Et comme il ne voit que par l’argent, il est l’esclave des socialistes qui ne voient eux-mêmes que par l’argent, mais l’argent des autres qu’ils manipulent bien mieux que les Nicolas.
Rien ne changera grâce à Nicolas, car Nicolas est le problème. Il est l’image en miroir de cette société matérialiste qui ne voit que par le matériel et qui voudrait que toute la société s’organise pour et par le matériel. Mais c’est ce matériel qui le confine à la lâcheté et à la fainéantise morale. C’est ce confort qu’il convoite et qui fait de lui un esclave. L’antifa moyen tebê aura toujours plus d’influence politique qu’il n’en aura jamais. Pauvre Nicolas, cette petite femme qui ne se distingue pas bien des vraies femmes, excepté par la possession d’une grosse voiture et qui voudrait voir la justice vaincre en ce monde.
Il attend la retraite pour changer le monde Nicolas. En attendant, il râle. Nous avons déjà une armée de retraités pas contents, mais qui ne changeront rien au monde. Mémère les a trop bien éduqués. Comme eux, Nicolas a le droit de se révolter quand les enfants seront élevés, quand la carrière sera terminée, et que la maison sera payée. Arrivé à la retraite, Nicolas restera sous la surveillance étroite de mémère, comme son père l’a été. Ne restera qu’une maladie mortelle pour espérer le voir brailler juste avant de mourir quelques paroles que le public oubliera très vite, d’autant plus qu’elles auront été inutilement violentes, trop tard.
Nicolas dénonce ainsi le boomer sans comprendre qu’il est son digne héritier. Comme lui, il a cru que le monde allait changer quand il arriverait dans la place. Et ô mince, on nous aurait menti ? Il faudrait donc écouter les vieux ! Parce que sinon l’erreur se répéterait ? Eh bien oui. Il faut écouter les vieux, les plus intelligents que soi, et arrêter de faire son Nicolas. Car le Nicolas est passé de Cohen Bendit à Bardella, sans que la différence ne soit bien évidente. Il faudrait qu’il ait une culture pour le comprendre. Il faudrait avoir renoncé à utiliser google et son téléphone portable. On me crie dans l’oreillette que j’exagère là. Non pas google, pas le portable, c’est trop violent. Fasciste. On va les utiliser ces outils et les retourner contre leurs créateurs. Fouillouillou.
D’ailleurs, ce mème avec mon Nicolas, n’est-il pas emblématique de la lutte désespérée qu’il mène, la tête entre les main à chouiner. Voilà à quelle représentation le droitard s’est identifié. Une caricature, et une caricature de victime. Sans parler du reste de la caricature qui ne fait pas avancer le problème d’une once. Oubliés les bougnoules amenés par le grand patronat, ceux qui payent plus que Nicolas en proportion de leurs revenus pour habiter des lieux insalubres. Oubliés que ces boomers sont surtout ses parents et que même si ce sont des crevards finis, qui ne sont pas respectables en tant que personne, il doit respecter leur statut. Et surtout éviter la pusillanime jalousie. Oublié qu’il n’aime même plus son travail et qu’il agit sous la contrainte tel un esclave, et ceci pour s’être cru meilleur que les autres. Oublié qu’il est responsable de sa vie, qu’il joue à un concours de pleurniche qui est le seul type de révolte que mémère acceptera.
Nicolas, quand je te vois ainsi, la tête entre les mains, j’ai envie de finir le boulot et de te fracasser la tête. Le gauchiste va dénoncer ce mème et à la fin, il va avoir raison et tu sais pourquoi : parce que c’est un mème de merde qui appelle à une guerre civile que tu n’es même pas capable d’assumer. Et le gauchiste le sait. La victoire va être facile avec toi. La victoire est toujours facile avec toi.
Nicolas, s’il te plaît, continue à bosser et surtout ferme-là. Ne t’occupe pas de politique parce que tu n’en as ni l’envie, ni le temps, ni le courage, ni les compétences, ni le cerveau. Nicolas, tu te crois intelligent et tu n’es qu’un fat. Les gens se révolteront quand ils n’auront plus rien dans leur gamelle et ce jour n’arrivera jamais parce que même au fin fond de la brousse, avec des familles nombreuses, tout le monde a désormais quelque chose dans la gamelle. Tu vies 250 ans en arrière au temps de l’ancien régime. Depuis, le monde a évolué, et tu vas finir par disparaître pour ne pas t’en être aperçu. Tu crois qu’on a besoin de toi, de ta servilité, de ton manque de couilles. Mais non, un autre que toi, un clone viendra te remplacer pour que le monde continue à tourner comme il a toujours tourné, grâce à des imbéciles de ton espèce.
Nicolas, tu n’es pas fais pour la démocratie et tu le sais bien. Toi, tu veux juste travailler. Et ce dictateur que tu appelles de tous tes vœux, il viendra peut-être, mais il te traira encore plus fort que les autres, parce que c’est ton destin de pleurnicheur servile de l’être.
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