Les saintes innocentes de l’intimité deviennent de petites princesses meurtrières dans le milieu professionnel. A quoi songeaient-ils ces pères égalitaristes et maternants, hommes féministes, politiques et militants syndicaux démagogues, producteurs de fiction vendus, poètes hystériques lorsqu’ils ont encouragé ce mouvement ? La femme serait l’avenir de l’homme. Changer la société en la faisant devenir femme, réglerait tous nos problèmes. Evidemment…
Si je dois juger notre société par la différence entre les bénéfices qu’elle a obtenus et les objectifs qu’elle s’était donnée, le résultat est cinglant. D’accord, la richesse, de moins en moins, pour toujours moins de personnes, de plus en plus pauvres. Mais tout va bien madame la marquise selon les chiffres officiels de l’insee grossièrement torturés. Joli résultat que l’entrée des femmes sur le marché du travail, ou que l’arrivée des immigrés. Tout s’est déroulé comme prévu, mal. Nous en sommes à connaître un recul du Qi. Difficile à contester la baisse du Qi. Sans parler de stérilité (plus de morts que de naissances l’année dernière), d’achats outranciers et de pollution qui va avec, et désormais d’assassinats institutionnels, tous commis par de ces femmes qui ont peur d’avoir des enfants au milieu de leur société riche, qui surconsomment vêtements, voitures et logements, surtout après un divorce, surtout des logements sociaux, surtout dans leur affinité aux immigrés qui leur servent d’esclaves politique, dans le couple ou dans le travail et qui alimentent eux-mêmes une surconsommation folle dont ils sont les victimes.
« Assassinats institutionnels » ? Vous douterez peut-être, j’exagère ? Tout cela et même plus, les hommes l’ont fait pour elles. Ils le font toujours pour elles d’ailleurs. Même quand ils ne sont pas féminisés, ils y sont obligés. Ils tuent, ils pillent et ils violent à l’étranger pour elles, pour qu’elles puissent mieux leur reprocher leur nature sauvage par la suite. Mais les crimes de ces dames ne sont pas seulement indirectes. Désormais, bien assises le cul sur une chaise à des postes qu’elles ne méritent pas, mais d’où personne ne pourra jamais les déloger, esprit fonctionnarisé oblige, elles tuent aussi directement. Ceci n’est-il qu’un fait divers ? Ceci sera l’objet de mon article :
Cet homme âgé de 36 ans appelle l samu pour une douleur à la poitrine …
La standardiste fait mine de ne pas comprendre ce qui lui arrive et lui pose
Des questions qui n’ont rien à voir …Il décédera quel quelques instants plus tard pic.twitter.com/GKN5EUZUkj
— Gay patriote 🇮🇹🇫🇷 (@platinium230) August 6, 2025
Autour de moi, rien qu’autour de moi, dans mon entourage très restreint (je ressemble de plus en plus à un moine, de ceux que saint Benoît détestait), j’en connais déjà 3 avec une psychologie exactement identique. Des criminelles ou des criminelles en puissance, qui ne songent jamais aux conséquences de leurs actes. Des femmes vicieuses et froides dans leur méchanceté, à des postes bien payés, et qui survolent de leur incompétence le monde professionnel, sans toutefois être remises en cause par personne.
L’incompétence de ces trois là est flagrante. Elle ne laisse place à aucun doute. Mais elles jouissent d’un passe droit à cause d’un système corruptif qui n’en a que faire de la compétence, dont les dents arrières baignent dans le pétrole et qui a donc perdu pied avec la réalité. La main d’oeuvre est devenue rare depuis que les boomers sont partis à la retraite. Elles en ont profité à l’excès.
Vous contesterez, le chômage s’est envolé malgré tout. C’est vrai, mais ce n’est pas incompatible. Plus diplômées, les femmes ont assis leur domination morale dans les milieux professionnels. Elle s’est accompagnée d’une mentalité régressive tribale qui voit l’économie comme un gâteau à s’approprier, pas une équipe à émuler. Elles ont donc pris les postes, et comme les boomers, fait naître un désert derrière elles. Elles sont tout autant le signe d’une société décadente que la décadence elle-même. Elles naviguent à coups de putes, la plus méchante d’entre elles étant promue, et ayant une finesse monumentale dans l’art de manipuler leur entourage, maintenant professionnel, sans jamais s’en référer à une morale autre que leur propre intérêt. Les hommes qui survivent dans de tels milieux leur ressemblent. Et parmi elles, la crème de la crème, les femmes assassins donc.
L’une dont je parle est infirmière dans une maison de retraite. Grâce à son travail contre productif, elle a accroché à son tableau de chasse plusieurs résidents. Vous comprenez, ces résidents souffraient, ils devaient être soulagés au plus vite par de bons médicaments qui résolvent tous les problèmes, comme c’est connu et comme les familles l’admettent assez facilement. Notez combien elle a su profiter de l’air du temps pour tuer des vieux sans en avoir l’air, en ne retenant que les observations médicales qui alimentaient son vice. Qui lui reprochera d’avoir soulagé la douleur de personnalités récalcitrantes d’ailleurs, ou de plaintifs, à une époque où l’euthanasie est en passe d’être légalisée ?
Celle-là est aussi protégée par tout un système qui n’a pas intérêt à ce que l’on mette le nez dans ses affaires. Elle peut donc abuser sans avoir à s’en faire. C’est aussi ça l’incompétence : des personnes malveillantes qui peuvent compter sur d’autres incompétentes, avec une image faussée de l’exercice du pouvoir, et qui ne s’en réfèrent qu’à elles-mêmes pour prendre des décisions, sans aucun contrôle, ou qui font tout pour y échapper (en inventant des comités et des réunions théodules), parce qu’elles jugent ne pas pouvoir commettre d’erreurs. Toutes, veillent à faire scrupuleusement ce que la société leur demande. Voilà sur quoi elles entendent être jugées, sur leur capacité à se comporter telles de petites filles sages comme à l’école. Pas si sages en vérité.
Vraiment, les discours sur les nazis me lassent de plus en plus… Ils sont toujours le fait de névrosés (détournez votre regard d’israël svp) qui ne voient pas qu’ils parlent d’eux-mêmes. Ils obéissent tous, ils se vaccinent tous et voudraient aussi forcer les autres à se vacciner, ils légitiment tout à partir du moment où c’est dans l’air du temps et validé par la puissance étatique fasciste, mais eux, c’est pour le bien je m’entends ! Comme s’il y avait eu une quelconque volonté de nuire chez les nazis allemands de la seconde guerre mondiale. C’est bien mal connaître l’humanité. Chez nos contemporains, comme chez les nazis d’hier, et de toujours, le mal se propage sur le lit des bonnes intentions. Nos modernes, comme les nazis d’hier, n’ont pas les moyens spirituels de le comprendre. Centrés sur eux-mêmes, ils sont bons, eux. Ils sont nazis et antifascistes à la fois. Leurs contorsions intellectuelles sont sans limites.
Notre infirmière donc, n’aurait pas départi dans un camp de concentration à torturer des prisonniers ou à les « euthanasier » comme Irma Grese l’a fait. Seulement les temps ont changé. Il n’y a plus de camps de concentration et il faut s’adapter. Il y a des maisons de retraite comme autant de symptômes évidents de la décomposition sociale de notre civilisation. Fait surprenant, elle, comme les deux autres auxquelles je pense, comme ce kapo allemand, ont la même allure, habillement inclus. En léger surpoids, les cheveux longs, en pantalon et bottines (la robe était obligatoire pour Irma), leur visage semble inexpressif. Je parierais (je donnerais cher pour connaître les détails de leur enfance), que leur père n’était rien. Tous leurs raisonnements tendent à exclure avec férocité, toute logique masculine. Comprenant toutefois les hommes, elles éprouvent une sorte de sadisme à leur imposer des raisonnements féminins complètement inadaptés dans un milieu professionnel, comme si elles voulaient nous faire payer de ne plus être femmes au foyer.
La seconde que je connais est notaire. Vous me direz, une notaire, ça peut tuer moins de gens qu’une infirmière. Vous n’avez pas tort. Mais enfin, c’est aussi un poste stratégique pour mettre la pagaille dans des dossiers et par voix de conséquence, dans les familles. Malgré tout, je pense qu’elle est tombée là par hasard. Comme l’autre. Elles ne doivent pas avoir choisi leur métier par conviction, car leurs convictions ne sont que des paravents à une forme de sociopathie. Je crois plutôt que leur parcours personnel les a conduites là et qu’elles ne se sont pas trop posées de questions. D’ailleurs, il faut le souligner, en général, elles ne s’en posent pas tellement sauf pour nuire.
Enfin la dernière est greffière et administre les dossiers des quémandeurs avec la même férocité que cette femme médecin a tué, en direct, un père de famille. Il faut la comprendre, le monde est pourri, l’abus est partout, et le patriarcat est à l’oeuvre…
Réécoutez bien cette dernière qui a tué un jeune père de famille. Nous avons là un document exceptionnel. Si vous ne croyez pas mon témoignage pour les 3 autres, vous pouvez au moins écouter celui-là qui ne souffre d’aucune contestation. Elle respecte la procédure avec zèle et osons l’adjectif, avec vice. La banalité du mal en audio. Elle veut jouir de son statut de médecin, elle veut faire attendre le moribond. Toute ressemblance avec certaines secrétaires au téléphone n’est pas fortuit. Et persuadée de pouvoir jouir d’une impunité complète, elle n’envisage même pas le risque que cet homme puisse mourir et que cela puisse lui retomber dessus. Pourtant, elle se sait enregistrée.
A aucun moment donc, elle ne s’imagine pouvoir être punie pour ses écarts, et elle ne prend rien en compte de ce que lui a dit son interlocuteur, même lorsqu’il sombre dans l’inconscience. Il a surtout blasphémé en refusant de répondre à ses questions administratives, il ne s’est pas soumis à son autorité, ce mâle blanc patriarcal. Vous imaginez le complexe d’infériorité/supériorité que sous-tend une telle attitude. Alors qu’il est en train de mourir, c’est à ce père de famille de faire des efforts pour se mettre à son niveau.
Oh et puis, si caractéristique, ce ton de maîtresse d’école complètement inadapté à l’adresse d’adultes, de clients ou de patients. Il est en position de faiblesse, c’est un homme, c’est le bon moment pour lui appuyer sur la tête. Il faut souligner là combien toute l’idéologie féministe a légitimé un tel assassinat en combattant la « masculinité toxique », le « patriarcat » et en fabriquant de toute pièce tous ces épouvantails. Ainsi, les féministes donnent un chèque en blanc aux femmes qui voudraient commettre de tels crimes. Quoiqu’elles puissent faire, elles ne feront que se défendre contre un individu forcément coupable. Pour le féminisme historique, chaque homme pris individuellement jouit d’un privilège parce qu’il est homme et aussi parce qu’il est blanc, et il doit être détruit, excusez-moi, déconstruit, pour laisser le manche à d’autres, venus de l’étranger et qui n’ont rien de déconstruit, pas encore.
Cette vidéo parle encore d’incompétence institutionnelle. Comment a-t-elle pu avoir son diplôme ? Pour elle, malgré toutes les observations qui lui ont été transmises par le patient et par les ambulanciers, il n’y aucun signe de gravité. La patient est jugé menteur et manipulateur (« il a vu un médecin alors il nous cache quelque chose cet homme » tandis que le médecin qu’il a vu, c’est elle !). Est-ce sa responsabilité de médecin de sonder les reins de ce patient alors qu’elle n’est même pas capable d’entendre ce qu’il lui dit en clair ? Il faut le croire.
Ce sont des ambulanciers qui rappelons-le, n’ont aucune formation médicale sérieuse, qui tentent de lui faire comprendre la gravité de la situation. Chez eux, deux sentiments s’opposent : une femme cheffe ne peut pas avoir tort. L’homme aime la hiérarchie. A l’inverse, ils font des observations de terrain qui les inquiètent et contraires à son diagnostic médical (mains froides, respiration saccadée du patient…).
En vérité, la simulation dont ce médecin femme accuse son patient, ne provient pas de lui, mais d’elle qui prend des décisions d’autorité sans autre fondement que ses propres fantasmes (« l’homme serait menteur et aurait quelque chose à cacher », on voit bien là tout l’arrière plan psychologique paranoïaque de cette femme tueuse). Elle est tellement directive, à distance, que les ambulanciers sont tentés de se laisser convaincre de ses affabulations. Cette attitude se retrouve souvent chez toutes les folles qui ont une conception fantasmatique de l’autorité, imaginant qu’une décision se justifie sur le seul critère que celui qui l’a prise, est plus haut placée que ses subalternes. La responsabilité n’existe pas chez les féminisés, seul le statut existe, et l’idée qu’ils se font d’une autorité omnisciente de droit divin. Les ambulanciers qui restent des hommes commencent eux, à faire de l’huile, car ils pensent qu’ils vont être jugés sur leur responsabilité.
A cela se rajoute que ces ambulanciers ne veulent pas lui parler mal à cause de son sexe (vous devez vous adresser « doucement » à une femme sous peine d’être accusé de violence, de machisme et de misogynie). Même le commentateur de la vidéo se laisse influencer par le sexe du médecin : il met au même niveau l’absence de massage cardiaque de la part des ambulanciers hommes, et l’absence de décision de massage cardiaque de la part de cette femme médecin qui doit pourtant être responsable des décisions prises dans une telle situation.
La femme est au commande et les hommes sont à son service, ce qui illustre parfaitement ce qu’est devenu notre société.
Mais ne chargeons pas que cette femme tueuse. Le malade n’est pas exempt de reproches. Il est en position de faiblesse certes, mais il s’exprime aussi tel un homme de caractère faible. S’il avait eu une once de masculinité en lui, il aurait immédiatement compris à qui il avait affaire, et il aurait opté pour une autre stratégie que de remettre sa vie entre les mains d’une désaxée, du genre que nous croisons souvent dans notre société. Il aurait aussi évité de vouloir être rassuré (« j’suis angoissé » s’exprimant ici tel un enfant face à sa mère au lieu de décrire ses symptômes de manière rationnelle). Le genre d’homme pacifié pour qui les femmes sont encore l’avenir de l’homme donc. Il n’a plus d’avenir du tout celui-là, comme notre société qui s’entête dans la glorification de sa propre féminisation. Mais passons.
Les tueuses n’épargnent pas forcément les hommes féminisés comme se l’imaginent ceux-là. Elles ne veulent pas toujours, que leur soumission. Elles veulent parfois leur destruction, ou leur propre mise au pas, parce que les femmes, peut-être plus que les hommes (de ma seule expérience), sont traversées par des pulsions destructrices fortes, qu’elles externalisent facilement sur l’extérieur, même sur ces faibles que sont devenus les hommes français modernes. L’individu mâle est alors vu comme une femme mais qui devrait les prendre en charge affectivement, quand bien même elles se seraient mises en tête de ne pas leur obéir. Avec celles-là, chaque homme qui lui tombe sous la main sera possiblement maltraité.
Quand ces femmes n’accusent pas les hommes de leurs échecs, elles dénoncent le manque de moyens. Dans ce cas, il va être difficile à ce médecin de se dédouaner de ses responsabilités grâce à un tel argument. C’est elle qui a refusé les moyens de survivre à cet homme. Mais je gage qu’elle sortira de son sac à malices une autre excuse, et qu’elle n’ira pas en prison où elle devrait pourtant se retrouver pour de nombreuses années. L’institution saura également être miséricordieuse avec l’un se ses membres qui a si bien compris que les administrés devaient répondre aux questions du cerfa avant d’espérer obtenir le droit de vivre.
En matière d’exactions sociales, la période covidesque en a rajouté une couche en matière de passe-droits. Les criminelles ont compris, comme certains de nos gouvernants, l’étendue de l’emprise qu’elles pouvaient avoir dans un environnement corrompu tel que le nôtre. L’infirmière à laquelle je pense, ne s’imaginent même plus que faire remonter des effets secondaires médicamenteux, pourrait faire partie de son travail…
Reste une question en suspens : a-t-on ici affaire à un fait divers ou à un fait de société ? Plusieurs éléments penchent pour le fait de société.
Tout d’abord, ce médecin savait que même si elle commettait une erreur, même si cette erreur était enregistrée, elle ne serait jamais sanctionnée. Elle a agi comme si elle était détentrice d’une sorte de permis de tuer. Une personne qui a passé le concours de médecin ne peut pas être bête au point de l’ignorer.
Plus encore que la question de l’erreur chez elle, pas la moindre trace perceptible de peur de commettre un crime. Aucune expression de surmoi chez cette femme. Aucun garde fou social ne semble l’avoir retenue. A partir du moment où elle a respecté la procédure, elle juge avoir bien agi. Son surmoi n’est pas personnel, il est social, ce qui suggère une absence de père, mais une absence de père qui ne portera pas tort à l’individu social. C’est si étrange que le père est justement celui qui doit normalement faire intégrer à l’enfant les règles sociales. Dans son esprit le père n’existe donc plus et il est confondu avec la société, une société maternelle qui demande, non pas de la performance, ou de la bonté, mais de respecter ses règles (tel un enfant avec sa mère je veux dire, non pas comme un adulte responsable). Et jusque là, elle a très bien pu vivre ainsi publiquement.
Vous pouvez observer chez cette femme un cas de sociopathie exposé aux yeux de tous, mais qui ne provoquera pas de soulèvement, car cette femme est aussi l’expression d’une société particulière tentée par un retour officiel aux sacrifices. Si vous trouvez que j’exagère, vous faites encore partie du problème. Car je suis persuadé que voilà 50 ans de cela, si un tel enregistrement avait été rendu public, toute la société aurait réagi extrêmement violemment, contre cette femme, contre l’administration. C’était tout simplement inimaginable. J’ai bien peur que rien de tel ne se produise de nos jours. La sociopathie est en train de gagner pourrait-on dire, comme nous l’avons constaté durant la période du covid.
Pour résumer, ce cas ne relève pas du fait divers, par contre, il a toutes les caractéristiques pour être tu. Nous ne sommes plus dans un système de responsabilisation, il n’y aura donc aucune statistique sur la performance de ces femmes à leur poste de travail. Et quand il y en a en provenance de l’étranger, elles sont ignorées (car il y a déjà des statistiques pour montrer que les femmes sont expulsées des milieux concurrentiels qui exigent une bonne rentabilité). Les femmes organisées en ruche, ont une culture très efficace de l’opacité et de la solidarité criminelle. Elles sauront également se trouver des excuses si cela ne suffit pas. Le milieu de la santé, comme celui de la justice, comme celui de l’enseignement, où elles règnent en maître, s’effondrent, mais ce doit être un hasard, et un tel enregistrement, une exception qui n’explique en rien cet effondrement, tout au moins pour les féminisés. Dormez braves hommes, les sociopathes parmi elles, ne vous achèveront pas si vous tombez entre leurs mains dans un moment de faiblesse.


J'y t'envoie une lettrinfo par saison
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