En dehors de l’orchestration et de la dramatisation, voici en photos ce que toutes ces femmes reprochent à Harvey Weinstein (vous pourrez vérifier vous-même dans cet article du Dailymail, déclaration de Laure Adler, déclaration d’Eva Green, déclaration de Mélanie Laurent). De leur aveu même : rien. Les fausses accusations vont continuer à avoir une très grande légitimité devant les tribunaux, à cause de cette chasse sanglante. Et il va être toujours plus difficile de distinguer le faux du vrai. En réaction, ces mêmes femmes reprocheront aux tribunaux de ne pas toujours trancher en leur faveur. En dernière instance, elles finiront par obtenir comme c’est le cas dans certains pays, la condamnation automatique de tous les hommes accusés par une femme (présomption de culpabilité).
Ces affaires qui relèvent de l’atteinte à la pudeur, au pire, sont requalifiées ainsi par les féministes de harcèlement sexuel, agressions sexuelles, voire viols… Mais pourquoi agissent-elles comme tel ?
En fait, s’il fallait condamner certains hommes comme Harvey Weinstein pour cette seule raison, les féministes savent très bien qu’il faudrait condamner presque toutes les femmes occidentales. En effet, c’est comme si un homme voyant une femme dénudée dans la rue, parlait de viol. S’il y a bien atteinte à la pudeur, le reste n’est qu’exagérations violentes et coupables. Pour éviter un retour de boomerang brutal qui toucherait beaucoup plus de femmes que d’hommes en nommant réellement les faits, les féministes évacuent la notion « d’atteinte à la pudeur » et peuvent défendre la seule cause des femmes en grossissant leurs attaques. Les femmes employant de tels procédés grâce à un effet ruche assez impressionnant ici, peuvent alors se servir des hommes comme de boucs émissaires sans qu’elles-mêmes n’en soient victimes.
Le fait que ce soit un homme riche et puissant n’est pas un hasard. Ces femmes les contrôlent d’autant qu’elles en ont peur, et qu’elles envient leur pouvoir. Plus un homme monte dans la hiérarchie, plus il est observé par la ruche… Aujourd’hui, sur de simples allégations, comme Dominique Strass Kahn, celui-ci a déjà tout perdu, et ceci avant le moindre procès.
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"Ridley Scott efface Kevin Spacey du film qu'il avait déjà tourné", Le Point du 09/11/2017.
Plus que la criminalisation, il s'agit ici d'effacer l'existence même du type.
"L'acteur Steven Seagal et l'humoriste Louis C.K. accusés d'agressions sexuelles", L'Obs du 10/11/2017.
Cette chasse aux hommes n'en finit pas.
"Dans "La Nature des choses", la romancière australienne imagine un monde dans lequel dix femmes sont réduites en esclavage pour avoir dénoncé des scandales sexuels. ", L'Obs du 31/10/2017.
Quel retournement accusatoire incroyable au moment où la chasse aux hommes bat son plein.
Ce n'est pas un retournement accusatoire c'est un fantasme sexuel.
L'un n'excluant pas l'autre.
"Harcèlement sexuel: plus de 200 femmes accusent le réalisateur James Toback", L'Express du 28/10/2017.
Les plaisanteries les plus courtes étant les meilleures, celles là devient franchement glauque.
Le méchant monsieur aurait dragué des femmes plus ou moins en leur mentant. Incroyable.
"Harcèlement de rue: un numéro anti "relous" à donner aux dragueurs insistants", Express du 27/10/2017.
Il est peut-être temps de replacer le débat à un juste niveau : celui d'une rééducation des femmes.
"Une deuxième femme accuse Tariq Ramadan de viol", L'Express du 27/10/2017.
Est-ce que tout l'Islam va être aussi mis sur la sellette comme c'est le cas avec l'Eglise catholique quand il s'agit d'un curé ? Pas sûr que nos progressistes aillent jusqu'à un tel amalgame, cette fois seulement.
"Agression sexuelle et menaces de mort : l'actrice Selma Blair accuse le réalisateur James Toback", L'Obs du 27/10/2017.
L'épuration se poursuit.
""Il a regardé sous ma jupe" : comment apprendre à ses enfants le consentement", L'Obs du 24/10/2017.
La rééducation en marche.
"#Balancetonporc. Le coup de gueule de Charlotte d’Ornellas", Breizh du 23/10/2017.
Comme d'habitude, la défense des hommes passe par les femmes.
Pendant ce temps, les femmes qui expliquent aux femmes qu'elles doivent apprendre à se défendre et comment, sont stigmatisées par les féministes :
"Juliette Binoche : avec Harvey Weinstein, "je sentais qui j’avais en face"", L'Obs du 233/10/2017.
L'histoire du cinéma est aussi revisitée grâce à des anachronisme effrayants mais aussi en ne tenant ni compte du message porté par le film, ni de l'ambiguïté des relations hommes femmes :
"Sexisme, agression, harcèlement sexuel... quand nos héros dérapent au cinéma", L' Obs du 23/10/2017.
Du côté des hommes, le débat avance un peu et prudemment :
"De Mai 68 à Harvey Weinstein", Homme libre du 24/10/2017.
(Vidéo) "Bérénice Levet craint un féminisme qui ne vive que "de la criminalisation des hommes"", BFMTV du 20/10/2017.