Bouffez de la viande autant que vous pouvez, si vous êtes un homme

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En tant que mâle blanc hétérosexuel, dîtes-le vous bien, vous êtes un descendant de viandard. Vos ancêtres néandertals n’ont réussi à passer l’hiver qu’à force de croquer de la chair saignante à pleine bouffe. Ils s’en sont gavés jusqu’au trognon et du coup, vous avez hérité de leurs gênes. Vous avez besoin de viande, vous avez besoin de manger de la viande sans compter, de la faire griller si vous avez les intestins fragiles, ou de la manger crue si vous êtes encore gaillards. La viande est essentielle à l’existence de l’homme. Elle vous donnera de jolis muscles et la taille athlétique sans même avoir à remuer le petit doigt. Les femmes vous tomberont dans la pogne car elles verront en vous un mâle dominant, vigoureux, capable de se payer de bons morceaux, aimé et bien nourri par sa maman. Ne nous racontons pas des salades, votre force assumée grâce à un tel régime a le pouvoir de réveiller chez la femelle ses cellules souches. Rempli de viande, à votre vue, elles répondront presque toutes à l’appel de la forêt auquel elles sont plus que jamais soumises.

J’entends déjà les fiottes gauchistes chialer que c’est pas bon pour la santé, que ça détruit la nature, que c’est pas beau, que c’est pas responsable. Alors dîtes-moi, pourquoi leurs femmes ne veulent baiser qu’avec des nègres musculeux ? La névrose, je vous raconte pas.

En vérité, de tous les régimes de type mono diète, celui tout en viande est le seul supportable pour un être humain. L’homme ne peut pas vivre que de légumes ou que de fruits sans avaler des compléments. L’homme ne peut pas vivre que de gras, ni que de sucre sans crever assez rapidement. Par contre, l’homme peut très bien bouffer toute sa vie durant, de la bonne viande, et vivre très longtemps.

Tout converge à ce que nous mangions de la viande, en quantité. Même spirituellement. L’homme qui mange de la viande assume sa nature de prédateur, contrairement à la fiotte végane. Le végétalide poireauté est un autre de ces salopards de puritain qui nous pourrissent notre monde moderne.

Il ne veut pas tuer en mangeant tandis que sa bouche est un véritable holocauste à herbes. Ce salopard s’en prend à de pauvres petites plantes innocentes et ils se croit pourtant meilleur. S’il se croit meilleur, il ne l’est pas. Il est simplement terrifié à l’idée de mourir. La viande lui rappelle trop l’évidence de sa propre fin. Et en attendant de faire enfin quelque chose de sa vie, d’avoir enfin conscience de sa propre existence, il cultive sa névrose en assassinant des brocolis. Et il se pare de tous les atours philosophique du mondialiste larmoyant pour nous crotter les repas. La viande devient alors chez lui la projection du diable dont la consommation est responsable et symbole de tous les péchés de l’humanité. Et il essaie de nous convaincre de ses fadaises.

« Si l’humanité continue à augmenter, nous ne pourrons nourrir la population mondiale »

Mais qu’en sait-il d’abord que l’humanité va augmenter. Et puis pourquoi l’humanité n’aurait plus le droit de vivre pour espérer vivre un jour. Et enfin, comment peut-il croire que l’humanité ne sait pas défendre ses intérêts, elle qui ne pense qu’à ça depuis l’aube des temps. Et puis de quoi je me mêle, enfin merde.

« La viande ça donne le cancer ».

Les brocolis aussi.

« L’abatage des animaux est scandaleux »

Un point pour le suceur de racines. Dans une société civilisée, l’abatage est ritualisé. Dans la nôtre, cet abatage nous rapproche des machines. Mais là encore, notre manière déplorable de dégueulasser la terre n’est pas propre à l’industrie carnassière. La manière que nous avons de cultiver nos plantes est tout aussi déplorable. Et il n’y a pas pour autant de mouvement qui milite pour l’interdiction de la consommation de légumes. En suivant ce genre de principe, nous ne pourrions rien manger, et le problème serait réglé puisque nous serions tous morts. Un peu de nostalgie.  Avant, la viande mais aussi les récoltes, mais aussi les enfants, étaient reçus comme autant de grâces. Mais le gauchiste d’hier a voulu tout maîtriser. Il croyait que sa science et ses machines régleraient tous les problèmes de l’humanité. Il a détruit ce lien qui nous unissait à la nature. Et comble de la turpitude, ses enfants veulent maintenant faire de nous des herbivores pour rétablir le lien coupé ! Sous une apparente opposition, c’est le même extrémisme. Les uns croyaient que l’humain était tout. Les autres croient aujourd’hui qu’il n’est rien. Une seule et unique cause à cette folie qui ne met jamais l’humain à sa juste place : l’idée que Dieu n’existe pas. Pour parfaire l’éducation de ces nouveaux extrémistes, je suis d’avis qu’il faudrait les forcer à manger de la viande. Un Etat sain devrait vérifier que tous ses concitoyens n’appartiennent pas à une secte tribale ésotérique et à ce point ridicule. La vérification prendrait peu de temps mais elle serait facile à faire, en usant de quelques attaches.

« La viande, c’est l’avidité et la prédation » :

ça c’est le discours typique de celui qui s’est fait féminiser la cervelle. Bien culpabilisé, la consommation de viande symbolise pour lui ce gaspillage des ressources, cet abus commis sur la nature, cette attitude immature en somme de tétage de mamelles à l’excès. Le diable abuse de ce monde tel un enfant mal sevré qui ignore son prochain et le pur se veut parfait sans avoir à assumer sa condition d’homme. En fait, il s’exerce à l’anorexie, marche à côté de sa vie, et passe de l’enfant à la vierge sans jamais porter sa croix. 

Loin de détruire l’écosystème, en mangeant de la bonne viande, vous ralentissez ce mouvement de décomposition de l’humanité qui cherche à étendre son nombre telle une vermine. Plus que les plantes, la viande nous oblige à envisager le monde de manière qualitative car elle nécessite une bonne gestion des ressources naturelles, et une bonne gestion de nos environnements. Manger moins de viande ne nous fera pas échapper à l’ensauvagement. Au contraire, nous continuerions dans cette course folle à la rentabilité. Car en abandonnant la consommation de viande, nous n’améliorerions pas pour autant la qualité de notre alimentation. Pourquoi le ferions-nous d’ailleurs quand nous n’en avons pas été capable avec nos animaux domestiques ? Logiquement, nous en arriverions à payer moins cher des produits de qualité toujours plus médiocre pour finir par nourrir une population toujours plus nombreuses, comme cela se passe actuellement. Entre temps, nous aurions perdu en diversité alimentaire jusqu’au jour où le lien serait définitivement coupé entre nourriture et plaisir, et où l’humanité disparaîtrait. Elle suit déjà cette voie en occident si nous songeons combien chez nous, la relation d’avec nos mères oscille entre abandon et attitude malsaine, relation qui fait écho à la prédation des uns, et au puritanisme des autres.

La viande est bonne pour l’humanité, et si j’étais plus riche, je m’en achèterais tous les jours, à profusion, de la bonne, comme tous mes ancêtres l’ont fait avant moi. Mais contrairement à eux, je ne le peux pas. Et je ne suis pas le seul. J’ai bien l’impression que tout ce discours herbivore cache surtout la misère de nos conditions modernes d’existence. Pourquoi je n’ai pas les moyens de me payer de l’aussi bonne bouffe que mes grands-parents ? Pourquoi je dois rationner la viande à l’extrême, si bien que je pourrais être confondu pratiquement avec un végétalide ? Pourquoi la viande que je mange, quand je vais chez des personnes soit-disant riches, c’est de la fiente putride ? En vérité, le discours de modération ambiant nous conditionne à accepter un niveau de vie inférieur à celui de nos ancêtres, tout en nous offrant l’illusion de pouvoir échapper au péché. Alors certes, nos aïeux connurent des famines, mais si nous avions vécu autant de guerres qu’eux, notre situation serait pire. Seule la paix nous a permis de continuer à vivre de nos illusions en matière alimentaire. Nous mangeons de la daube depuis pas mal de temps, il faut l’admettre. Le prix de notre panier alimentaire devrait au moins tripler si nous voulions manger aussi bien que nos grands-parents. Et si nous nous exécutions, nous verrions alors combien le calcul de notre production de richesse est un modèle illusoire.

Or, au lieu de se poser des questions sur ce monde tel que les progressistes l’ont construit, j’entends désormais une masse de riches crétins nous dire qu’en plus de manger des saloperies, nous ne devrions plus manger de viande, ou en manger moins ! Ces crétins qui ont souvent la bonne conscience de voter à gauche, auront encore la possibilité, qu’ils en usent ou pas, d’acheter leurs victuailles chez les meilleurs bouchers, les meilleurs légumes dans les magasins bios. Serait-ce trop de mansuétude de leur demander qu’au minimum, ils s’appliquent les leçons dont ils obligent les autres ?  

S’il  reste des hommes dans ce pays, ils doivent refuser une telle situation. Un mâle doit continuer à manger de la viande pour rester un homme. Il doit faire subir sa férule sur les autres espèces, femmes comprises, gouverner, dominer, sans abuser, et donc organiser la nature au mieux, certainement pas renoncer à ses responsabilités d’humain en devenant antispéciste, ou bien pourrir la nature dans une avidité orale des plus ridicules. Ni vierge, ni putain. Telle devrait être son slogan. Quant aux femmes, qu’elles continuent à manger des salades. Chacun à sa place et tout ira pour le mieux dans le meilleur des mondes. 

PS : en faisant des recherches sur internet, je suis tombé sur ce très bon site anti-végan qui vous détaillera par le menu à quel point végans, végétariens, sans parler des anti-glutens, sont des personnes fragiles qui ont eu une enfance malheureuse

58 réponses à “Bouffez de la viande autant que vous pouvez, si vous êtes un homme”


  1. Avatar de Cyrus
    Cyrus

    Bonjour M. Durandal, bonjour à tous,

    J'espère que vous allez tous bien. Que vos familles vont bien. Ce message ne m'est guère facile à écrire, car il s'annonce triste.

    C'est avec une grande lourdeur de coeur que je vous annonce officiellement mon retrait du site. Pourquoi ? Car je suis épuisé, pire exténué. Comme des milliards d'êtres humains dans le monde, l'année 2023 fut une année éprouvante pour moi. À tout point de vue. Ce n'est que vers la fin de l'année que quelques affaires seulement ont commencé à se replacer…quelque peu. Pas complètement, mais quelque peu. Le processus prendra du temps. Mais, je me rends compte que j'ai de moins en moins envie d'écrire sur le net et de moins en moins envie de contribuer à la réflexion. J'ai de moins en moins d'énergie à mettre là-dedans.

    L'année 2023 fut aussi une année de censure record sur ce blogue. Je n'ai jamais été autant censuré que sur ce blogue. Ce n'est pas un reproche, seulement un constat. N'étant pas contre le principe de la censure, je ne peux m'y opposer chez les autres. 

    Inconsciemment, je pense qu'on m'a un peu poussé vers la sortie. 

    Surtout, je note que depuis 2021, je stagne sur ce blogue. De 2016 à 2021, mes contributions à ce site étaient nombreuses et originales. Mieux, phénoménales. Je suis à jamais sur ce blogue le deuxième meilleur contributeur intellectuel, derrière bien entendu Léonidas Durandal lui-même. Ce sera à jamais mon honneur d'y avoir contribué et ma seule contribution substantielle sur le net, moi qui suis plutôt discret en ligne.

    Cependant, depuis 2021, je me répète beaucoup. De la redite. Beaucoup de redite. Beaucoup trop de redite. Cela signifie que normalement, le temps est venu de passer à autre chose. D'une certaine manière, je suis en train de m'accorder avec moi-même, de m'aligner sur ma propre personne plutôt que de penser que j'ai encore beaucoup à dire alors que j'ai dit tout ce que j'avais déjà à dire. 

    Depuis 2021, mes contributions pertinentes sont devenues beaucoup plus sporadiques, comme des '' flashs '' momentanés.

    Au fond, j'ai fais le tour.

    Cela étant, je vous demande pardon, car il y a quelques semaines encore, je disais sur ce blogue que je serais là encore longtemps, mais durant les dernières semaines, je me suis rendu compte à quel point j'étais fatigué, que je n'y arrivais plus. 

    Il y a autre chose aussi.

    Je dois absolument, mais progressivement, m'éloigner de la politique afin de me refaire une santé, surtout sur le plan psychologique. Pour cela, ce blogue, mais aussi le Cercle Aristote, doivent '' passer à la trappe ''. 

    La situation en France n'évolue pas, ou plutôt, évolue, mais toujours dans la même direction, c'est-à-dire toujours plus mauvaise, toujours plus loin vers les abysses. 

    Je vais vous faire une confession. Je pensais que si Macron était réélu, la mauvaiseté de ses politiques publiques ferait tellement souffrir les Français, que ceux-ci, n'en pouvant plus, le retireraient physiquement de l'Élysée et donc du pouvoir, d'ici à la fin du mois de février 2024. 

    Je vous fais là une confession, qui relève plus du souhait que de la réalité. Je pense que réalistement, le 29 février 2024, M. Macron sera encore le Président légal et donc, légitime, de la République française. Les Français '' n'iront pas le chercher '' et le laisseront continuer à gouverner le pays. 

    La rigueur intellectuelle sur ce blogue, le réalisme, la précision et l'acuité de vue sont sans égal dans le marché des idées. Cependant, je ne reproche bien entendu nullement à M. Durandal d'être réaliste dans ses analyses. Il faut être réaliste. Je reproche plutôt à la réalité française (qu'il analyse avec brio) de ne JAMAIS évoluer dans le bon sens, et surtout, de ne même pas laisser entrevoir ne serait-ce qu'un minuscule rayon de lumière d'espoir. Il n'y a strictement rien depuis mes 10 années de fidèle suivi de ce blogue qui laisse entrevoir le début d'un renversement de la situation. Car oui, en 2023, cela fait 10 ans que je suis fidèlement ce blogue et les contributions de M. Durandal et des autres. 10 années merveilleuses de ce point de vue, mais où ma vie fut souvent plus insupportable à vivre qu'autre chose. 

    Je suis fatigué, crevé, exténué, éprouvé et tanné (en bon québécois). Fatigué profondément de ce monde, du monde, de l'espèce humaine.

    Est-ce un choix définitif ? Je ne sais pas. Est-ce un choix temporaire ? Je ne sais pas. Si vous voyez que je ne reviens pas, c'est que vraiment, je ne reviens pas. Si vous voyez que je reviens, c'est que je republierais un commentaire sur ce site.

    Contrairement à M. Kasimar, je tenais au moins à dire au revoir, sinon adieu, avant de quitter. 

    En cette période de Noël, je vous souhaite à tous ainsi qu'à vos proches un très joyeux Noël et une excellente année 2024, pleine de santé, d'amour, de joie et de prospérité et de liberté, aussi.

    M. Durandal, que dire, à part MERCI. Merci pour tout, en fait. Pour votre patience, votre mentorat '' paternel '', pour votre rigueur, votre gentillesse, votre drôlerie tellement française, votre courage et votre lucidité. Vous êtes le grand manitou de ce site et votre contribution intellectuelle est exceptionnelle sur Internet et dans l'histoire de France. 

    Je ne sais si l'on se rencontrera un jour, mais si c'est le cas, je vous ferais un gros câlin à vous étouffer d'amour. 

    Merci pour ces 10 années extraordinaires sur le plan intellectuel et ces 7 années d'échanges denses, de très haut niveau, comme il ne s'en fait plus de nos jours ni sur les blogues ni sur YouTube. 

    J'espère avoir pu ne serait-ce qu'un tout petit peu avoir été utile à ce blogue, mais surtout à vous et aux autres. Si mes réflexions pouvaient influencer les Français un tant soi peu dans leur libération nationale, j'en serais très honoré. Autrement, cela restera dans le cosmos comme un écho de plus d'une âme passionnée. 

    Mme Manuela, merci pour votre amitié et drôlerie en ligne que je n'oublierais jamais. Vous êtes Portugaise, mais je vous pardonne. cheeky Pour vous reprendre, vous avez le poulet piri-piri, les paysages naturels phénoménaux du Portugal, Antonio de Oliveira Salazar et le roi Manuel. C'est '' muy bien '', '' muy bien '', '' muy bien ''. 

    Mme Lou, vous êtes à croquer et je veux bien vous manger. Comme Mme Manuela, vous êtes adorable et votre mari a sûrement beaucoup de chance de vous avoir. Merci de tous les échanges, de votre pertinence, de votre acuité de vue et aussi, de cette capacité de réponse rapide que j'aime tant chez vous, que les Anglo-Saxons appellent '' wit ''. 

    Mme Marie, vous êtes direct et il le faut. Vous m'avez fait du '' rentre dedans '', parfois…pour mon plus grand bien. Je tiens à vous remercier de votre honnêteté et de votre caractère direct. Cela vous rapproche des Néerlandais qui sont réputés être direct. 

    À tous les autres, contributeurs occasionnels ou uniques, merci d'être passé et d'avoir ajouté votre grain de sel à cette grand oeuvre de l'esprit et surtout, de l'âme, qu'est '' Aimeles ''.

    M. Durandal, merci de votre soutien à la cause palestinienne et merci de votre combat pour la France, les Français, et surtout, surtout, pour la Vérité, dans la Foi, par Jésus.

    Votre ami iranien vous salue et vous souhaite le meilleur dans la vie en tout. Il vous aime, ne vous oubliera jamais et demande à Dieu de répondre à vos prières si et seulement si vous renforcez toujours plus votre foi en Jésus sur le chemin éprouvant de la Vie. 

    Prenez bien soin de vous, faites attention à vous, croyez en Jésus et priez Dieu, soyez proche de vos proches et vive la France.

    Cordialement et peut-être pour la dernière fois,

    Cyrus


    1. Avatar de Léonidas Durandal

      Bonjour M Cyrus,

      Ce n’est pas la première fois que vous prenez de la distance. Et cette période est particulièrement éprouvante. Nous n’avançons plus, pas seulement vous. Je partage aussi ce constat. Les dissolutions, les censures politiques, la corruption, semblent avoir gagné. Vous avez raison de me souhaiter la foi. Cela me tient. Je n’ai plus que cela pour ainsi dire. Et peut-être faut-il qu’il en soit ainsi. Par contre, dès que vous irez mieux, dès que vos questionnements se seront affrontés à la réalité et auront produit une nouvelle forme de pensée, ou tout simplement dès que vous en aurez envie, vous serez cordialement accueilli sur ce site. J’ai été exigeant avec vous en essayant de distinguer les contributions que vous apportiez au site, des simples désirs d’entretenir des relations, en acceptant ces premières et en rejetant ces dernières. Et je suis fier que vous ayez progressé sur ce chemin. Rappelez vous, au début, chaque propos de ma part était perçu comme une possible offense à votre encontre. Mais vous ne vous êtes pas arrêté là. Et vous avez même accepté de respecter les règles que j’avais fixées ici jusqu’à accepter d’être censuré (acceptation faite pour de mauvaises raison, mais c’est un autre débat). Je suis fier de vous. Vos contributions sont probablement aussi anecdotiques que les miennes. Que retiendra l’histoire ? Peut-être rien. Par contre Dieu saura retenir que vous avez su vous dépasser, ici même. C’est ma plus grande joie. Eloignez vous de la politique, reposez vous, mais revenez plus fort, ici ou ailleurs. Pour paraphraser Abd El Malik, personne n’échappe à l’abysse de la quête de sens. Elle ne trouve sa réponse qu’en Dieu Père, Fils et Esprit Saint. Chez vous, je perçois un peu de cet appel, et même de cette lumière. Votre héritage d’iran ? Peut-être bien.

      J’en terminerais par ceci : je n’ai pas voulu de relations plus personnelles dans un monde où la politique est devenue un jeu de relations personnelles, et non plus philosophiques, et encore moins spirituelles. Cela n’empêche que je vous estime de manière particulière même si je n’ai pas les moyens de vous montrer mon attachement. Vous élevez le niveau M Cyrus. Ce n’est pas voulu par beaucoup. Tâchez de rester sur cette ligne et d’être fidèle à vous même. Je sais combien la situation est dure. Plions mais ne rompons pas. Et si Dieu le veut, nous aurons bien l’occasion de nous serrer dans les bras l’un de l’autre, ici, ou dans l’autre monde. A bas satan. Vive Jésus !

      M.D


  2. Avatar de Léonidas Durandal

    (Vidéo) "Critique du bio : la ferme qui libère les pratiques paysannes" Pierr Girard de 2020.


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