Cassandre et Houria, la responsabilité des féministes dans la mort et le viol des deux jeunes françaises.

Article écrit par

le

dans la catégorie


Cassandre et Houria, jeunes élites intellectuelles de notre pays féminisé, sont mortes loin de leur pays, en « excursion touristique », l’une sauvagement violée et l’autre agressée sexuellement avant d’être toutes les deux, achevées sans pitié par un groupe d’hommes et la complicité de femmes d’un pays dit civilisé.

 

http://www.rfi.fr/ameriques/20110803-argentine-enquete-assassinat-deux-francaises-salta-semble-pietiner

 

Quelle est la responsabilité des féministes me direz-vous ?

Elle est pourtant évidente. Depuis des années celles-ci font comme si hommes et femmes étaient égaux. Selon les féministes, les femmes ont le droit de circuler dans la rue, à l’identique des hommes, et les viols dans les caves, en voyage, ou ailleurs, ne devraient jamais exister. Malheureusement la violence persiste et quand des femmes sont mises en face de la responsabilité de cette égalité, et qu’elles se font violenter ou qu’elles échouent, une question implicite nous est posé : à qui la responsabilité ? De cette question implicite que nous pose les féministes, faisons-en une question explicite. Alors : POURQUOI LA VIOLENCE PERDURE ET QUI EN EST RESPONSABLE ?

 

Dans le cas qui nous intéresse, il est évident que les féministes ont instillé une réponse subliminale à nos cerveaux. Vous savez quand une jeune fille en banlieue se fait agresser, ce n’est pas de la faute de tous les hommes bien entendu, mais de barbares garçons qui ont une image « décalée » des femmes. Il faut manifester pour lutter contre « certains problèmes de société ». A la fin, la généralisation est si effective que nous assimilons viol, et non seulement garçons de banlieues, mais également hommes (l’affaire DSK devait nous révéler que presque toutes les filles de France étaient violées, soit 75 000 par an!), raison pour laquelle, dans la vie de tous les jours, il nous arrive, il vous est arrivé en tant qu’homme, d’être accusé plus ou moins directement de faire partie d’une sous-classe capable de tout, et en particulier du viol des femmes. Eh oui, vous savez bien, ce sont toujours des hommes qui violent des femmes !

En adoptant une position égalitaire, les féministes nous disent « ce sont les hommes qui sont responsables ». Implicitement, il nous est suggéré que ce sont les hommes, dans leur ensemble, qui les empêche de vivre cette égalité.

 

A l’inverse des féministes, je ne crois pas que les hommes soient responsables, en tant qu’hommes, et de manière généralisée, d’empêcher les femmes de vivre cette égalité, et ceci pour la simple et bonne raison que cette égalité n’existe pas. Les féministes ont créé un problème en le posant mal ou de la manière qui les arrangeait pour pouvoir ensuite y apporter leurs réponses, et étendre leur pouvoir sans fin en entretenant une guerre impossible à mener à bout. Avec des phrases comme « les femmes peuvent faire les mêmes métiers que les hommes » (policiers, militaires), « peuvent être comme les hommes », « peuvent agir comme les hommes », les féministes ont tenté de faire passer une revendication absolue d’égalité entre hommes et femmes. Or, à l’évidence hommes et femmes ne sont pas égaux, en particulier quand il s’agit de force physique, ou de situations risquées, comme lors de certains voyages. Et encore plus, égaux, ils ne le seront jamais. En niant les différences entre hommes et femmes, en créant le mythe d’une égalité sécurisante, les féministes ont envoyé toutes les femmes qui les ont crues au casse-pipe, que ce soit dans la rue, ou dans le monde du travail. Et, manquant d’amour pour nos femmes, nous les avons laissées faire.

 

 

Les féministes ont donc tenté de faire vivre nos femmes dans une illusion de sécurité égalitaire, ou en ont appelé à cet idéal.

Mais pourquoi ? Notre lâcheté d’homme, elle, nous est bien connue. Elle vient de deux guerres mondiales où nous avons cru nous faire honte. Elle provient des scrupules dont nous nous sommes chargés idéologiquement et progressivement en occident. Mais la volonté autodestructrice des femmes, d’où vient-elle ? Ont-elles seulement été déçue de notre propre faiblesse ? Certes, comme nous venons de le dire, l’utopie égalitaire leur a permis de mener la société par le bout du nez en poursuivant un but impossible à atteindre, cherchant la virilité d’hommes qui les fuyaient. Mais ont-elles été seulement avides de pouvoir et de sécurité ? Pas seulement. Ce serait les dédouaner trop rapidement. Derrière tout cela, il y a aussi l’idée de vouloir devenir identique aux hommes. Ce fantasme homosexuel, ne se réalise jamais dans la vraie vie. Ainsi vivent-elles en pensant n’avoir jamais besoin d’hommes pour les protéger. Et pire, elles tentent de le faire croire aux autres femmes encore saines. Fantasmant de pouvoir se passer d’hommes, ou d’être des hommes (les deux pôles homosexuels féminins), pour différentes raisons psychologiquement proches de la maladie, elles font passer tous les hommes pour des violeurs potentiels. Elles ne distinguent pas les malades des autres (surtout quand, elles-mêmes ont été victimes d’un homme). Elles nient la violence réalisée de la violence potentielle. Ainsi englobent-elles tous les hommes dans le même sac, et si des pervers sévissent, tous les hommes en sont donc responsables. Ils les empêchent d’assouvir ce fantasme d’être des hommes, et en cela tous les hommes en sont coupables, car ils sont tous susceptibles, chacun pris individuellement, de les remettre à leur place de femme, que ce soit par la violence ou même par leur seule façon d’exister.

 

En ce qui concerne Cassandre Bouvier et Houria Mouni, il est temps de poser le problème, non plus dans le sens égalitaire, mais au contraire, inégalitaire.Mais que faisaient deux femmes, à voyager seules, sans homme pour les protéger, à l’autre bout du monde ? Que faisaient-elles si ce n’est prendre un risque disproportionné dont elles n’avaient même pas conscience ? Et qui leur a fait vivre dans cette illusion de sécurité, si ce n’est une société entièrement féminisée française qui croit que la violence n’existera plus quand tous les hommes auront été domptés et qui travaille avec acharnement à ce lavage de cerveau ? Qui leur a fait croire à de telles chimères ? La violence, la perversité, la maladie feront toujours parti de ce monde, même à supprimer tous les hommes de cette planète, et surtout à les féminiser.

cassandre-houria

 

Il est vrai, l’homme, en tant qu’homme, exerce une violence potentielle sur les femmes qui pourrait apparaître comme une forme de totalitarisme au premier abord si elle n’agissait pas au sein d’un équilibre plus grand, et justement au sein de relation de protection et d’interdépendance. Cette violence potentielle, nous avons appris à la canaliser au sein de sociétés traditionnelles, sociétés dont les féministes ont pris consciencieusement le contre-pieds, en détruisant méticuleusement la place dévolue aux hommes dans la famille et dans la vie publique, n’y voyant qu’un détail et croyant pouvoir s’approprier tous les pouvoirs là où il y avait auparavant un équilibre entre les deux sexes. Par là, on voit qu’il y a un pire totalitarisme que celui de certains hommes qui violent des femmes, il y a le totalitarisme de certaines femmes qui sous-entendent que le monde serait plus pacifique sans une moitié de l’humanité, et qui ont déjà commencé à vivre comme si la moitié de l’humanité n’existait plus. Il y a aussi le totalitarisme de ces hommes qui ne veulent plus protéger leurs femmes en faisant comme si elles pouvaient nous être égales.

 

 

La vérité est hideuse. Cassandre et Houria, d’occident et d’orient, nous envoient un message d’outre-tombe que nous ne voulons pas entendre, qui nous fait mal et que nos oreilles abhorrent : la violence et le mal feront toujours partie de ce monde.

En fuyant leurs responsabilités, refusant de faire face à leurs femmes, de leur opposer une force réfléchie, les hommes occidentaux sont coupables de génocide. Ils laissent place à la violence d’autres hommes, et à celle des gorgones féministes. Ils ignorent à quel point les femmes ont besoin de vrais partenaires dans le couple. Comment les féministes pourraient faire confiance à des hommes aussi immatures ? L’éradication des hommes ne résoudra en rien le problème, il le démultipliera. Les hommes ne peuvent souscrire, pour bien des raisons morales, à leur propre annihilation. Celle-ci donnerait libre cours à une violence bien plus grande que celle que nous avons connu dans nos sociétés traditionnelles.

Notre société déchristianisée s’effondre, elle vit au-dessus de ses moyens émotionnels, elle ignore la réalité des rapports humains. Nous voulons ignorer nos manques et derrière nos hautes murailles, les cris des victimes retentissent au loin et ne suffisent même plus à éveiller notre spiritualité, ni notre virilité d’hommes protecteurs. Nous voyons le règne de l’amour et du sexe en appeler à la terreur, l’utopie nous rendre faible, et tandis que le reste du monde n’a pas cessé d’ignorer la violence propre à la nature humaine tout en s’en accommodant, nos femmes françaises et en particulier nos féministes, jouissent d’une effronterie bien ridicule à proportion de leur faiblesse.

75 réponses à “Cassandre et Houria, la responsabilité des féministes dans la mort et le viol des deux jeunes françaises.”


  1. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    « Le président de la cour d’assises : « Virginie était-elle une fille facile ? » »

    En fait, le type a préféré la tuer parce que le viol est devenu le tabou des tabous dans notre société, justement à cause des féministes. Il a placé le meurtre au même niveau que le viol. Il l’a tuée à cause de ça,et sans les féministes, elle serait encore vivante.


  2. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

  3. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    « Les bus publics raccompagneront les femmes chez elles après 22heures », Figaro du 28/11/2014

    Une bonne mesure, mais payée par nos impôts…


  4. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    Les objets de lutte contre le viol seraient néfastes car, selon nos féministes, ils renforceraient les « stéréotypes » hommes-femmes :

    « Les gadgets anti-viols risqueraient de renforcer la suspicion généralisée » Figaro Madame du 28/08/2014


  5. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    Une skieuse sort hémiplégique des Jeux olympiques de Sochi :

    Figaro du 05/03/2014


  6. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    Portaient-ils le deuil du féminisme tous ceux-là qui ont assisté à l’enterrement des deux gendarmettes ?


    http://www.lepoint.fr/societe/debut-de-l-hommage-national-aux-deux-gendarmes-tuees-dans-le-var-22-06-2012-1476401_23.php


  7. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    Exécution de deux gendarmette parties seules en intervention (?!!!!) pour interpeller un homme :

     

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/06/18/01016-20120618ARTFIG00464-deux-femmes-gendarmes-abattues-dans-le-var.php


  8. Avatar de kasimar
    kasimar

    82a678c4f5b823e9022740ba1ffee730

    Bon j’ai vu rapidement l’entrée en scène du bouffon des reines féministes j’ai nommé pierre

     

    1) Voir les femmes qui meurent en France, battues à mort par l’homme censé les aimer ! Quel paradoxe.

    Merci pour cette énième propagande à la solde du féminisme.

    Je réponds en te filant un lien histoire de t’éclaircir un peu les idées.

    http://www.lapresrupture.qc.ca/04_03_2011_parcours.pdf

    Bref comment être plus crédible ?

    2)Votre accusation des féministes est une fois de plus absurde et insultante. C’est comme si je disais « les deux femmes sont mortes à cause de la personne qui a inventé les armes à feu ».

    De la même façon que votre intervention est insultante et provocante, pire même pas crédible pour un sou. Oui les féministes sont responsables, ont détruit l’harmonie qui règne au sein d’un couple vis à vis des enfants, de la société. Si je devais énumérer les coups durs subis par le féminisme j’en aurais pas fini.

    Les féministes ne disent pas que ce sont les hommes qui sont responsables mais le patriarcat, un système oppressif. Elles ne sont pas misandres, contrairement à ce qu’on lit souvent chez les antiféministes haineux.

    Bah écoute, tu vois j’ai fait le tour des forums et je vois bien que le féminisme est plutôt haineux envers les hommes. Et la société elle-même joue le jeu un peu comme tu le fais par ta légère intervention :/

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2010/09/16/violence-domestique-et-misandrie-1.html

    http://www.terrafemina.com/vie-privee/sexo/articles/5099-l-osez-le-clito–r–30-des-femmes-se-masturbent-souvent.html

    Si ça n’est pas de la misandrie c’est un égo féministe démeusuré. Imagine un peu que les hommes fassent pareil. Ah mais non c’est trop macho et vieux jeu, dans les petites têtes des féminards

    Pour en revenir au fait qu’il est dangereux pour les femmes d’être dans la rue la nuit, que faire alors des femmes travaillant en horaire décalé, comme les infirmières ? Si l’une d’elles se fait agresser en rentrant chez elle, accuserez-vous aussi les féministes qui poussent les femmes à travailler alors que pour vous, une femme = une personne qui reste à la maison pendant que monsieur va au boulot ? Comme au bon vieux temps ?

    Alors pour vous une femme doit obligatoirement travailler et ne surtout pas rester à la maison même si c’est son choix personnel ?? J’ai encore les yeux qui grattent. Donc selon toi et le féminisme une femme qui est au foyer c’est contraint par son époux, c’est pas du tout son choix personnel ?C’est marrant parce que je lisais justement une news à ce sujet

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2011/08/18/les-nouveaux-tabous-de-la-modernite-intellectuelle.html#more

    En fait le monde moderne tel que tu l’entends n’est qu’une variante du bon vieux temps comme tu dis. Enfin bref, c’est vrai que ça crains de laisser les gens vivre librement
    Dans ce contexte, on va se retrouver comme en Afghanistan : les femmes n’ont pas d’autonomie, elles doivent toujours être accompagnées d’un homme quand elles sortent : leur père quand elles sont enfants, leur frère ou leur mari plus tard. C’est ce modèle-là dont vous rêvez ? Un assistanat pour protéger les femmes des « méchants », qui ne sont que le pur produit du patriarcat.

    Et alors ??? chacun voit midi à sa porte non ? y en a bien qui se font protéger par leurs soeurs, mères, femmes, petites amies sans que ça émeut qui que ce soit ? Tu voudrait quoi qu’on se fasse protéger nos fesses par les femmes sans que ce soit réciproque ? ben mon vieux tu peux te gratter .

    Si un homme protège une femme c’est parce que il l’aime ou tient à elle, c’est pas pour la dévaloriser, l’assister ou bien l’enfanter. Le patriarcat n’existe que dans votre imagination fantaisiste marquée par une relation avec les féministes. Enfin bon si tu ne voit pas le matriarcat qui se construit actuellement je ne peux rien pour toi : imposition des quotas dans les entreprises/écoles, justice, patronyme ou matronyme, qui s’occupe de la maison/des enfants, qui conduit la voiture familiale … Comme tu peux le constater le féminisme pose une impasse dans la vie de famille, car soit on impose un patriarcat ou un matriarcat. Si t’arrive à ne pas trouver un critère de domination c’est que je peux rien pour toi. Ah et , savais-tu que critiquer la façon de se vêtir de son épouse est considéré comme une violence du conjoint ?

    C’est en éradiquant le patriarcat qu’on résoudra tous les problèmes touchant les femmes et les hommes.

    C’est en éradiquant le féminisme et en éliminant socialement des gens qui « pensent » comme toi qu’on arrivera à détruire le matriarcat que j’ai cité plus haut. Nous vivons dans une société très favorable aux femmes excluant jusqu’aux hommes que ce soit judiciaire ou autres et toi à travers tes oeillères tu y vois du patriarcat. Il y a encore pas mal de boulot pour éradiquer la propagande fallacieuse du féminisme. J’ai vraiment pitié de toi pierre, tu devrais arrêter de fréquenter des féministes. Ta mère ne t’a jamais dit d’avoir de meilleures fréquentationq ???

    Les femmes ont le droit de circuler où et quand elles veulent. Que cela déplaise à certaines personnes passéistes et réactionnaires, cela n’a rien d’étonnant. Ce n’est que le vieux fantasme patriarcal qui fait de chaque femme un être assisté, par son mari/son père. Ce monde est révolu dans nos démocraties.

    Ah et donc pour toi vouloir protéger les siens est passéiste ? et une femme qui protège son mari/frère c’est futuriste ? C’est pas parce que une femme est protégée qu’elle est assistée


  9. Avatar de Pierre

    5a86d0b20c09df0b25b4c471045a15b5

    Monsieur veut des chiffres, les voici

    http://www.cfcv.asso.fr/communiques/c2,communique.php?id=81

    En France, 75 000 femmes sont violées chaque année, dans 8 cas sur 10 par un homme
    quʼelles connaissent. Toutefois, ce chiffre est très loin de refléter la réalité : la fourchette est, dʼaprès plusieurs chercheurs, plus proche de 120 000 par an. Et pourtant un très faible nombre de viols sont judiciarisés. La honte et la culpabilité empêchent souvent les victimes de porter plainte.
    Ce qui est dʼautant plus vrai dans les cas de viols conjugaux où pèse une étroite proximité, une véritable emprise de lʼagresseur et une tolérance inacceptable de la société.

    Comme Gérard le fait remarquer, il faut distinguer les viols déclarés de la majorité, qui ne le sont pas.

    Ces chiffres viennent des associations qui recueillent les témoignages des femmes violées. Quel intérêt auraient-elles à téléphoner plutôt que de porter plainte. Faire gonfler les chiffres artificiellement ? Dans quel but ?

    Les assocs sont à l’écoute de ces femmes, ce que ne sont pas assez la police et la justice.

    Le viol conjugal est aussi une horreur, trop souvent omise.

    Pour éviter tout amalgame réducteur, je suis contre toute forme de violence, qu’elle touche unE enfant, une femme ou un homme.


  10. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

     La mère de la jeune photo journaliste de 26 ans assassinée en Centrafrique : « Elle voulait témoigner des populations en danger. Elle n’avait pas peur. »

    Figaro du 13/05/2014

    Elle s’appelait Camille Lepage.


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.