Ces femmes qui font passer leur travail avant leur famille

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Elle a 20 ans, elle veut croquer la vie à pleines dents et tout réussir : sa famille, son travail, ses enfants. Elle a des idées bien arrêtées sur le monde et n’hésite pas à prodiguer ses leçons de vie à des couples stables, qu’elle énerve. Le féminisme pour elle, c’est l’assurance de contrôler la société. A travers cette idéologie, elle pourra obtenir son dû. Rien ne l’intéresse si ce n’est elle, et ses certitudes. Elle aura des enfants comme elle le voudra et quand elle le voudra, et elle fera éclater le plafond de verre, à moins que les machos ne l’en empêchent. Elle est donc progressiste et veut que la société évolue selon ses propres conceptions. On lui a dit que les femmes auraient mené à bien l’univers si elles n’avaient pas été esclavagées, et elle obtiendra enfin la place qu’elle mérite, et à travers elle, la place que toutes les femmes méritent. Elle est emplie d’un sentiment de puissance infinie qu’elle conserve de l’adolescence. L’échec n’a pas sa place dans son esprit de petite fille sage.

Elle a essayé de voir si son corps fonctionnait. Il fonctionne, mais il est trop tôt pour elle. Le travail doit passer avant tout. Avant quoi au juste ? Avant son couple, avant la vie de son enfant. Mais elle vous dira qu’elle n’est pas matérialiste. Elle tue l’enfant pour son bien, et elle avorte de son homme parce qu’elle le respecte, que « ce n’est pas le bon » et que ce serait une « erreur ».

 

Puis va venir l’affreuse réalité

Le monde du travail est dur. Pour finir chef, il faut tout sacrifier, avec le risque d’échouer, de finir minable sans enfant, sans famille, et non reconnu à son poste. Parfois le travail est intéressant, alors elle persiste. L’âge de la stérilité approche. Elle ne l’a pas vu venir. Alors qu’elle a peut-être abandonné un homme qui l’aimait à l’âge de 25 ans ou qu’elle a avorté de lui parce que ce n’était pas le bon moment, désormais elle est prête à faire un enfant avec n’importe qui et dans n’importe quelle condition. Après avoir négligé son corps à ce point, elle sera peut-être stérile. De toute les manière, la vie l’aura vaincue, et elle en ressortira peut-être même aigrie.

L’affreuse réalité qui vient, c’est aussi le couple. L’autre a des désirs, et il est différent. Il voit le monde à sa manière d’homme. Deux réalités s’affrontent. L’homme féminisé qui lui plaisait tant dans les débuts parce qu’il était malléable et proche de ses réflexions, lui apparaît tel qu’il est avec l’expérience : une femme en moins bien. Il ne peut servir son altérité. Il est cocu, il est quitté, il est abusé, méprisé. Il n’est rien et il part de lui-même ou bien elle rêve alors de mâle viril, dominateur, « hétéro-patriarcal » comme lui disaient les féministes de son enfance. Ce doit être facile à trouver puisqu’il n’y a que ça dans le monde. Elle lève alors les yeux autour d’elle et fait un constat pour le moins incroyable : l’homme viril est rare. Pour ainsi dire, il n’existe pas. Il lui faut aller vers des hommes plus vieux pour se contenter un peu, mais que va-t-on penser d’elle ? Et que va-t-elle penser d’elle-même ?

L’affreuse réalité c’est encore quand l’enfant est là. Il demande du temps et de l’implication. Le temps du choix est venu. Or elle croyait que ce serait facile. Le féminisme lui avait dit qu’on pouvait tout faire tandis qu’ il faut prioriser. Soit le travail, soit l’enfant. Même en faisant ce choix, il lui faudra de l’appui. Ce sera sa famille si elle n’a pas construit de couple solide. Ce sera son mari dans le cas contraire. A moins qu’elle ne vive dans un environnement tellement toxique qu’il lui faudra se raccrocher à toutes ces branches à la fois, sans pouvoir espérer se dégager un peu de temps pour elle. Il faut dire que les bons boulots de féministes, ce sont souvent des environnements toxiques pour les enfants. Les petits n’y vivent pas, ils y survivent. Des centre-ville pollués, sans espace, pleins d’indifférence, avec parfois des fréquentations dangereuses, voilà tout ce qui ne convient pas à un enfant, et qui à l’extrême peut le tuer. Impossible dans ces conditions d’envisager une vraie vie de famille.

En plus, elle a rencontré un imprévu : cet enfant l’émeut. Il est la chair de sa chair. Sans homme digne de ce nom, il lui faudra trancher de manière brutale. Soit se fondre en lui, soit s’en séparer le plus rapidement possible, tout au moins psychologiquement. De toutes les manières, elle ne paiera jamais le montant total de l’addition qu’elle lui fera payer. Si elle choisit de s’en séparer, l’enfant souffrira de carences et il le lui reprochera. Si elle choisit de se fondre à lui, il sera inapte à vivre en société et elle le portera comme un poids à l’âge adulte. Les magazines, les psychologues, les féministes lui conseilleront de s’en séparer le plus rapidement possible. Et surtout de ne pas culpabiliser. Ces organes de propagande continueront à lui faire imaginer qu’elle peut tout, et que le bonheur de l’enfant dépend de son propre bonheur. Comme si l’enfant et la mère étaient à jamais liés… dans la séparation. En fait, ils le sont bien, car l’enfant qui souffrira de carences affectives retournera toujours vers une mère symbolique, cherchera toujours à combler son manque ailleurs et de manière inappropriée, souvent dans l’abus à l’âge adolescent.

 

Les dominant(e)s peuvent se payer d’une absence de morale

Le plus sidérant dans tout cela, c’est l’évacuation de toute morale. Parce qu’ils sont odieusement riches, et qu’ils ne le méritent pas, les progressistes cherchent à se convaincre que les leçons du passé n’existent pas, et qu’il y manière de faire autrement. Ils sont tellement persuadés que le bonheur est contraire aux leçons sur le bien et le mal, qu’ils s’opposent à tout bon sens en toute bonne conscience. Et comme les vieux rêvent d’être jeunes, ils doivent bien avoir raison. Devenus plus âgés, la réalité s’est imposée à eux, malgré eux, les stérilisant, stérilisant aussi notre société. Car il ne peut y avoir de responsabilité sans culpabilité.

Dans leur monde sans Dieu, la culpabilité n’a pas sa place, ou plutôt, elle occupe toute la place par son rejet. Et il est inutile de réfléchir pour une personne qui écarte de lui les notions de bien et de mal dans sa vie. Le constat scientifique seul n’oriente pas une vie quand bien même ce constat serait bien mené. Mais il ne l’est même pas. Les études féministes, comme 80 % des études publiques sont fausses selon Nicolas Chevassus-Au-Louis dans son livre «Malscience : de la fraude dans les labos». Un véritable carnage de la rationalité, avant même de parler du concept de religion qui seul n’a jamais pu orienter les peuples et les individus dans leurs destinées.

 

Parlons de morale

S’il faut parler de morale, la féministe est éduquée dans l’absence d’altérité, la féministe est une égoïste souvent fainéante, et irresponsable, qui reproduit ce que les hommes de son entourage acceptent de lui montrer. C’est une femme intelligente qui n’accédera jamais à une forme de sensibilité toute féminine et qui seule pourrait faire son bonheur et celui des siens. Souvent en dessous de ses collègues masculins, elle échouera en tout, et il lui faudra évacuer les derniers hommes de son milieu professionnel pour pouvoir se dire : « je travaille bien ». D’ailleurs elle ne s’en prive pas et chez nous, elle a déjà imposé ses vues dans l’instruction publique, la justice, la médecine, tout ces milieux là ayant vu leur niveau s’effondrer, malgré leur investissement aveugle d’écolières modèles. Cela n’empêche pas les jeunes femmes d’aujourd’hui de vouloir s’approprier de nouveaux domaines professionnels. L’armée des zombis progresse, attendant qu’une peuplade de machos ou d’hommes virils, vienne les violer, juste après la guerre civile.

26 réponses à “Ces femmes qui font passer leur travail avant leur famille”


  1. Avatar de data@ONGplantation.gouv
    data@ONGplantation.gouv

    Monsieur Léonidas,
    Commandeur des mondes virils,
    Mon Cher Léo,

    Je me permet un petit post sur un sujet aride mais où puis je exprimer mon indignation sinon ici même dans ce dernier ilôt d’antiféministe ?

    http://www.liberation.fr/debats/2018/06/12/reforme-des-retraites-les-femmes-toujours-plus-perdantes_1658307

    Sauf erreur, les femmes vivent plus longtemps que les hommes, elles touchent donc plus longtemps une retraite avec des cotisations moindres. Les hommes cotisent plus et touchent moins.

    Au surplus, le fait d’avoir élevé un ou plusieurs enfants donne droit à des trimestres supplémentaires et durant leur congé maternité elles touchent leur salaire.

    Quand on inégalité de salaire faut-il rappelé qu’elles correspondent à un plus grand investissement des hommes dans la sphère pro car sinon à travail égal les employeurs n’emploierait que des femmes (où alors ils sont stupides).

    En fait, si j’étais taquin je dirais qu’elles veulent le sperme, l’argent du sperme et l’esclavage du crémier.

    Un Robinson Crusoé échoué sur votre forum.

     

     


  2. Avatar de Léonidas Durandal

    « Restaurateur, banquier, journaliste. Voici les Harvey Weinstein du coin de la rue » L’Obs du 18/10/2017.

     » J’étais sa proie et mon travail, c’était mon âme ». Rien à rajouter si ce n’est que voilà une belle brochettes de putes libérales qui ont vendu leur cul au système mais qui auraient tout de même voulu être traitées avec « humanité ». Forcément, l’atterrissage a été dur.


  3. Avatar de Léonidas Durandal

    « A 5 ans, cette fillette est déjà considérée comme une “icône féministe”« , Au féminin.com du 17/02/2017.

    Trois réflexions me viennent :

    Elle ne fait jamais mention de fonder une famille, comme si c’était secondaire par rapport à travailler ou voter.

    Le garçon se laisse convaincre car elle est plus forte que lui. C’est ce qu’il y a de sain chez ce garçon. Mais que se passera-t-il quand elle s’apercevra que les garçons sont au-dessus d’elle en général ?

    Et puis ce père qui l’envoie directement dans le mur…


    1. Avatar de kasimar
      kasimar

      A 5 ans elle est peut-être supérieure aux garçons de son âge. Mais on en reparlera 10 ans plus tard quand la puberté aura fait son boulot


      1. Avatar de Lou
        Lou

        Il faut plutot compter 20 ans dans ce cas parce que à 15 ans, les garçons étaient encore très immatures dans mes souvenirs.


        1. Avatar de Lou
          Lou

          Je veux dire par là immatures physiquement. Beaucoup étaient encore plus petit que moi et avait encore leurs voix d’enfants.


  4. Avatar de Léonidas Durandal

    « Don d’ovocytes : l’incroyable chantage fait aux Françaises », Le Point du 29/11/2016.

    Comment se fait-il que les jeunes femmes croient pouvoir faire passer leur carrière avant d’avoir des enfants ? Comment se fait-il que leurs ovules deviennent un marché ? Ah que je suis bête, elles se sont choisies des féministes pour défendre leurs intérêts !


    1. Avatar de kasimar
      kasimar

      Ou ne sont pas assez indépendante (ce que pourtant elle prétendent être en étant féministe) pour savoir elles-mêmes ce qu’il leur convient


  5. Avatar de kasimar
    kasimar

    C’est Lala qui vous a inspiré Leonidas n’est-ce pas ?


    1. Avatar de Léonidas Durandal

      Des fois tout se conjugue, dans l’actualité, dans l’environnement etc… il y a une phrase où j’ai pensé effectivement à Lala. C’est le mot « fainéante ».


      1. Avatar de kasimar
        kasimar

        Ou de mauvaise foi, ça marche également 😉


  6. Avatar de Léonidas Durandal

    « Amy Adams : « Ayant connu le succès tardivement, je sais où sont mes priorités » », Figaro du 19/11/2016.

     

    « Je n’ai pas fait les mêmes choix que Susan. Je ne me suis pas enfermée dans le monde du succès. J’ai toujours privilégié ma famille et mes amis. Mon style de vie correspond à ce que je suis et non à ce que je veux paraître. Il faut savoir quelle vérité est en nous et ne pas trop s’en éloigner. « 


  7. Avatar de Mindstyle
    Mindstyle

    A chaque fois que je me rends à l’hôpital, je tombe sur un médecin de sexe féminin 4 fois sur 5.

    Pendant que les hommes comme moi ont enduré le système scolaire durant des années (On a délibérément cherché par tous les moyens à me massacrer au plan scolaire mais j’ai réussi à contourner le système et à trouver ma voie dans le supérieur) les petites écolières / élèves modèles sont encouragées de toutes les manières possibles, aidées, et assistées de la plus injuste des manières.

    Aujourd’hui, je pense m’en être bien mieux tiré que la plupart de ces élèves modèles qui à mon souvenir ont fini dans la médecine, ou cadre à la Sécu.


  8. Avatar de Alexandre
    Alexandre

    Elles se feront violer avec plaisir en se rejouissant d’avoir pu échapper au sort qui attend les mâles: l’élimination pure et simple. Leur opportunisme les tirera d’affaire jusque dans l’effondrement final de notre civilisation.


    1. Avatar de Aguir
      Aguir

      Les femmes écartent systématiquement les cuisses pour les vainqueurs. L amour de la femme n est qu’ un opportunisme. Même l instinct de reproduction est un faux prétexte, puisque des qu’ elles en ont l occasion, que les conditions pour sont réuni, elles abandonnent l enfantement.

      Les grecs en foutant les femmes au gynécé avaient bien compris.


  9. Avatar de Manuela
    Manuela

    c’est vrai que pour la médecine j’ai été surprise l’an passée au CHU je n’ai vu que deux hommes seulement le radiologue et un aide soignant(gay) tout le reste étant des femmes.

    Mon médecin m’a confié que c’était de pire en pire qu’il y aura de plus en plus de femme en médecine et qu’elles veulent imposer un cadre très strict. Personnellement ça ne me dérange pas du tout je trouve ça très bien mais en même temps pas très rassurant, pourtant je ne fantasme pas du tout sur la blouse blanche.


    1. Avatar de Léonidas Durandal

      Les protocoles sclérosants, la peur des patients, l’absence de confiance, le diagnostic sentimental, le manque d’investissement, la disparition des médecins de campagne, la fonctionnarisation du métier, la disparition des hommes dans le secteur, la prolétarisation……………… féminisation totalitaire.


      1. Avatar de Manuela
        Manuela

        justement chez moi il vont construire une maison de santé et mon médecin est contre et il m’a dit exactement la même chose que vous. D’ailleurs il passe pour un misogyne auprès des autres professionnels depuis ce projet.

         


        1. Avatar de Léonidas Durandal

          Je crois qu’ils sous-estiment le ras le bol qu’ils ont provoqué. Les gens ne supportent plus qu’on les divise sous prétexte d’égalité.


          1. Avatar de kasimar
            kasimar

            Vivement l’implosion sociale


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