La féminisation des métiers est absolue dans les secteurs que les femmes ont choisi de s’investir (éducation santé, justice). Dans les autres, les hommes leur font bonne place. Elles travaillent moins, sont payées plus à proportion (ce qui inclut des retraites prises en avance par rapport à l’espérance de vie), et disposent de tout un arsenal législatif pour s’occuper de leurs enfants sans trop de contraintes, surtout dans la fonction publique où elles sont très majoritaires et où elles peuvent élire ceux qui les subventionnent.
Désormais, elles s’attachent à conquérir les postes « haut placé » dans la hiérarchie, les derniers qu’elles convoitent, en avançant qu’elles sont plus compétentes que les hommes. Et face à des hommes si faibles qu’ils leur cèdent tout dans l’intimité, et désormais dans la société, elles ne voient pas ce qui pourrait s’opposer à leur désir ? (face également au népotisme qui s’étend en France)
Sous l’apparence de la plainte, les féministes sont chargées de nous faire avaler la couleuvre du plus de femmes ici aussi.
En quoi la féminisation des élites n’est pas souhaitable à l’heure actuelle ?
Quoiqu’en disent les féministes, les femmes ont toujours pu accéder à des postes à responsabilité. Elles le firent différemment des hommes et autant qu’elles le voulurent et cela ne dérangea pas la société. On pourrait s’étendre sur le bilan de ces femmes, tout aussi catastrophique que celui des hommes, sinon plus à proportion. Mais cela nous écarterait du sujet. Partons simplement du constat qu’une femme désireuse « d’y arriver », le pouvait, et qu’elle le peut toujours.
Seulement, à la différence du passé, ces nouvelles guerrières voudraient que cela soit plus facile, qu’il leur soit fait un pont d’or. Elles ne veulent pas s’imaginer qu’elles aient pu rêver d’une chose aussi difficile que les responsabilités sociales. Elles s’imaginent donc que les hommes leur mentent, que ces métiers sont faciles et que les hommes leur bloquent l’accès parce qu’elles seraient des femmes. D’ailleurs quand elles y arrivent, elles font comme ce qu’elles croient des hommes : elles leur bloquent l’accès, et cette fois avec une efficacité sans commune mesure avec l’incrédulité des hommes. Dans l’éducation nationale, elles sous-notent les garçons par exemple :
Quand une femme est empêchée de progresser, elle ne voit pas que 10 hommes s’y sont cassés les dents avant elles. En vérité, toute leur vie, où qu’elles aillent, quoiqu’elles fassent, il semble bien qu’elles veuillent être considérées partout comme des femmes enceintes.
Là, où on leur reconnaît l’honneur de la maternité, elles voudraient qu’il en soit de même dans tout le reste de la société. Elles voudraient pouvoir diriger sans contrainte ! Or elles ne perçoivent pas que les hommes ont toujours dû faire preuve de la plus grande agressivité couplée à la plus grande retenue pour obtenir ces postes. Elles voudraient échapper à ces fourches caudines parce qu’elles seraient des femmes ! Car, oui, il est difficile d’être ambitieux et retenu à la fois. Cela demande de respecter un certain nombre de codes propres à chaque société. Si on supprimait ces codes, on supprimerait de facto, les conditions de l’excellence dans la société à laquelle on appliquerait cette suppression. Et on démultiplierait la violence dans les organisations (ce qui est en train d’arriver). Sans agressivité, pas de performance. Sans retenue, pas d’interactions, ni de survie. Or c’est bien cette tension que ces femmes ambitieuses croient pouvoir supprimer parce qu’elle les dérange. Elles instaureraient ainsi, non plus une dictature par l’excellence, bien dure à leur yeux, mais une dictature tout court, plus vivable car tout y serait à sa place, sous la férule d’une matrone ou d’un tyran. Car qu’est-ce qui se cache derrière ce désir d’y arriver sans en accepter les contraintes, sinon un désir pervers de jouir de manière totalitaire ? Des « Anne Lauvergnon » ou autre « Rachida Dati », femmes qui y sont arrivées empruntes d’une attitude totalitaire, nous montrent bien que nous avons à nous méfier de ces femmes qui accusent les hommes de totalitarisme… elles le sont plus encore que d’autres car elles n’y sont pas arrivées grâce à leurs qualités. Et tel est le défaut du système. Au lieu de faire réussir des femmes compétentes comme par le passé, on en est venu à faire la promotion de psychopathes irresponsables, qui désireront attirer d’autant plus de psychopathes irresponsables à leurs côtés. Quand une pomme est pourrie dans le panier… elle pourrit toute l’éducation nationale, tous les métiers de santé, toute la justice, toute la société.
Pourquoi les femmes équilibrées y arrivent moins que les autres, et pourquoi une majorité de femmes qui ont réussi, sont aujourd’hui, soit des psychopathes, soit des nanties ?
Cet article de Melle Robin Gaëlle, « Le masque du pouvoir : Les femmes qui occupent des postes de direction sont-elles condamnées à imiter les hommes ? » est particulièrement intéressant pour comprendre ce phénomène.
http://madame.lefigaro.fr/societe/sens-de-lhistoire-220212-218256
A travers cet article, on peut voir que :
1 Les femmes croient que les codes imposés par les hommes, sont des codes sexistes. Elles croient que ces codes les empêchent de se réaliser dans leur milieu professionnel en tant que femme.
Par exemple, l’attitude sobre qu’on leur demande dans leur habillement est vécu comme une acculturation inacceptable :
« Représentez-vous une femme, en passe de grimper vers le top management d’une grande entreprise. Vous l’habillerez instantanément d’un tailleur-pantalon noir, de talons d’une hauteur raisonnable, d’un maquillage discret et d’un dossier sous le bras. À l’image de ses confrères masculins, finalement. Pourquoi est-ce si compliqué de se projeter différemment ? »
Or si les hommes demandent de la sobriété, ce n’est pas par sexisme mais par efficacité. La sobriété évite d’augmenter la concurrence entre individus, qui est bien suffisante dans les grandes entreprises. En effet , le vêtement est aussi un signe porteur de rivalité et donc d’agression et de violence. Les hommes l’ont bien compris. L’attitude plutôt classique qu’ils déploient dans le travail au sein de grands groupes, marque le respect qu’ils ont les uns pour les autres. Les femmes en voulant changer ces règles, réintroduisent la violence, parce que dans leur intimité, l’éclectisme est valorisé.
« Les attributs du pouvoir n’ont rien de nécessairement masculin. Si nous le pensons, c’est simplement parce que nous sommes entouré(e)s d’une majorité de représentations dans ce sens. » (Eléna Fourès, fondatrice du cabinet , Idem per Idem consultants, spécialiste de la gouvernance multiculturelle auprès de grandes entreprises, et auteure du livre Leadership au féminin (1).), « comme les hommes occupent le terrain, on ne retiendrait que leur façon de faire. », rajoute la journaliste
Cherchant à voir avec leur regard de femme, ne comprenant rien au monde social de la rentabilité, ni à la culture multi-millénaire des hommes, ces femmes débarquent dans le monde du travail des grandes entreprises comme des chiens dans un jeu de quille, avec leur intimité qui n’a rien à y faire. Elles renversent tout, en s’opposant à tous les codes qu’elles rencontrent, dès qu’elles le peuvent. Alors qu’elles sont à l’origine même du problème, ici le code vestimentaire sobre appliqué dans les grandes organisations, elles entendent apporter leurs solutions !
Les codes établis par les hommes, ne l’ont pas été par hasard. Ils marquent le territoire certes, mais ils ont également pour fonction de réguler les rapports sociaux. Ils permettent à des individus différents de se côtoyer tout en évitant l’égocentrisme : non pas le plus beau, mais celui qui rendra sa société la plus riche. Non pas servir son apparence ou sa richesse, mais servir l’entreprise pour laquelle on travaille. Cette confusion est faite par des femmes pour qui beauté est synonyme de compétence. Si les hommes défient la beauté à travers leurs codes, la raison en est qu’il en connaissent le résultat, celle d’une concurrence individuelle qui se termine immanquablement par la guerre. Ainsi, dans le monde des hommes, dans les grands groupes, la réussite doit se faire en dehors de l’apparence du triomphe. Un Alcibiade qui fut le plus grand stratège de son temps, provoqua la ruine de son pays qui ne put supporter en lui tant de beauté, d’intelligence et d’arrogance. Plus près de nous, un Steve Job mit à la mode, des cols roulés noirs d’une sobriété confondante. Dans ses pulls à col roulé, il ne plastronnait pas. Il avait plutôt les allures d’un moine bénédictin … « Le premier d’entre nous est celui qui sert les autres. ». Le chemin pour réussir socialement est codé dans toutes les civilisations. Et il est fait du plus grand des services dans nos sociétés chrétiennes. Celui qui ne le respecte pas, se décrédibilise aux yeux des siens. Ce code est vécu comme une oppression pour les femmes vendues à la bourgeoisie, qui n’en connaissent rien et qui n’ont jamais été bien évangélisées. Leur céder sur ce point comme sur d’autres, serait donc vivre une énième régression dans notre société occidentale.
2 Les femmes croient pouvoir user de séduction comme dans le milieu de l’intime. Or la séduction n’a pas sa place dans un travail de groupe qui se veut efficace.
Dans le monde de l’intime, les femmes se sont taillées la part du lion en développant des méthodes totalitaires de séduction. Elles dirigent de nombreux hommes occidentaux grâce à cela. Or cet outil si pratique dans leur quotidien, est perturbateur dans une entreprise. Quand elles veulent travailler dans une entreprise, elles ne comprennent pas qu’elles ne puissent user de ce pouvoir, comme nous venons de le voir au travers des vêtements. Dès lors, il ne leur reste que deux possibilités :
_ Soit essayer de le réintroduire, et elles sont facteurs de violence dans l’organisation.
_ Soit elles doivent renoncer à certains des attributs de leur féminité, ce qu’elles vivent comme une forme d’acculturation violente.
Dans leur majorité, elles ne veulent pas devenir des hommes. Mais elles y sont contraintes par leur ambition et par leurs valeurs (domination par la séduction). Pour résoudre cette contradiction, elles revendiquent donc la possibilité de séduire, quitte à perturber le fonctionnement de l’organisation… elles ne s’interrogeront surtout pas sur leurs valeurs.
En elle-même, la séduction est organisation du trouble. En voulant introduire la séduction dans les organisations, les femmes érigent le trouble, en mode de fonctionnement. Qui n’est pas au courant de la manière dont une femme séduit un idiot moderne ? En étant jamais là où il va l’attendre. Ce principe, appliqué à l’organisation, est générateur de confusion. Il l’était déjà dans les mariages… Or ce qui a détruit la famille en occident, va-t-il également s’attaquer directement à l’économie ? Oui selon Mme Caudalen, et c’est le but du féminisme :
« La confusion que l’on vit en ce moment, cette impression d’être entourés de messages contradictoires, est très bon signe, confie Sophie Cadalen. C’est la marque d’une remise en question, la preuve que l’on bouscule les clichés, tout en s’y accrochant par peur de l’inconnu. À coup sûr, nous sommes sur la voie d’une nouvelle construction. » et d’une destruction totale.
Masquée derrière le fard de la séduction, les femmes cachent mal leur vénalité. Paradoxalement, dans la famille, cette vénalité s’est traduite par un affaiblissement du statut de la femme, qui est passé d’épouse et mère, à celui de poule pondeuse pour l’état. Plaqué sur l’entreprise, ce modèle sera générateur d’inefficience ou d’oppression, quoi qu’en disent les féministes qui essaient de nous rassurer par leur sexisme :
« Si une femme est à la tête du service des douanes d’un pays corrompu, le nombre de bakchichs diminue de moitié. »nous assène Eléna Fourès
Et comment cette femme est arrivée à la tête du service des douanes d’un pays corrompu ? Combien de femmes sont à la tête du service des douanes dans un pays corrompu (statistique élaborée à partir de 2-3 exemples au grand maximum, et invérifiable !) ? Cette statistique prend-t-elle en compte le pouvoir de femmes comme Leila Ben Ali, qui a corrompu la Tunisie jusqu’à l’os ? Cette statistique prend-t-elle en compte la possibilité que la diminution de moitié des bakchichs soit due à l’inefficience des femmes à ce poste ? Bref, ces contre-vérités, pour ne pas dire ces mensonges, ne rassurent que les idiots qui y croient. Marketing féministe. Dans ces secteurs comme dans celui des ressources humaines, je leur accorde qu’elles ont leur place. Pleinement !
3 La culture de la réussite maternelle est irréconciliable, actuellement avec la réussite économique.
La femme qui veut réussir dans le travail salarié transfère son désir de maternité dans le monde social et se comporte à l’image de ce qu’elle connaît de la réussite. Or ce monde salarié n’a pas besoin de la mentalité de femmes enceintes. Au contraire, cette attitude est complètement contre productive. Au lieu de se mettre au service, voilà cette femme désirer qu’on la serve. Car en occident, il y a bien longtemps que les femmes enceintes ne servent plus leur famille, ne servent plus l’enfant à naître, le bon équilibre de la société, ou Dieu, non, elles sont « centrées sur elles », tout leur est dû, elles qui mettent au monde les enfants ! En obtenant des hommes qu’ils acceptent cette conception de la maternité, les femmes occidentales sont devenues inaptes à la maternité et maintenant, inaptes au travail salarié. Il faut dire que la maternité favorise une forme de repli sur soi, d’écoute de son « intérieur ». Or sans même porter de jugement moral, il faut bien dire que cette introspection n’a que peu à voir avec la rentabilité d’une organisation, entièrement tournée, normalement, vers la satisfaction de besoins extérieurs (le client).
Ainsi pour se réaliser dans notre monde économique, une femme doit sacrifier tout ce qui fait d’elle une « femme » « moderne » « féminine » : la séduction, les vêtements, les valeurs maternelles. Et si ces deux premiers points sont anecdotiques dans une société saine, j’ai bien peur que le troisième rende les femmes inaptes à l’accomplissement de l’objectif que quelques bourgeoises leur ont fixé.
Vous comprenez dès lors pourquoi Mme Badinter, dans son dernier livre, s’attaque au travail de mère…
4 La construction d’une mythologie frein autour d’un complexe de persécution.
Pour asseoir leurs incohérences, les féministes se sont faites une spécialité de manipuler l’histoire. Il faut créer le mythe pour nourrir la croyance ! Un des mythes serait que les hommes auraient tous les droits tandis que rien ne serait toléré aux femmes. Ce complexe de persécution qui s’explique bien par un raté dans leur complexe de castration, est aujourd’hui la meilleure arme des féministes :
« Si une femme politique craque, on va la trouver faible ; si la voix d’un homme politique tremblote pendant un discours, on va le trouver touchant. » , explique la psychanalyste Sophie Cadalen, auteure de l’ouvrage Les Femmes de pouvoir, des hommes comme les autres ? (2).
Imagine-t-on M Sarkozy se mettre à pleurer et émouvoir son auditoire ?
Même M Hollande a dû renforcer son image virile pour s’imposer comme candidat acceptable aux élections présidentielles. Alors oui, les pleurs de Mme Ségolène Royal étaient puérils au stade où elle en était arrivée. Ils dénotaient d’un manque d’humilité total, voire d’une manipulation candide, réaction typiquement féminine face au désastre. Enfin elle devenait femme, si j’ose dire, en perdant sa place et sa stature de matrone de l’état. Le tyran devait reculer. Ouf ! En comparaison, Mme Merkel, élue dans un pays où les mères assument leur rôle, devrait nous inviter à réfléchir sur nos conceptions du pouvoir en France et sur la tyrannie qu’exercent nos femmes dans la vie privée, tyrannie qui s’affronte au bulletin de vote, dernier rempart d’une démocratie qui a tout fait pour ses femmes sans rien en avoir en retour. Non seulement cette mythologie dévalorise les femmes aux yeux des hommes, mais à leurs propres yeux, elle les empêche de se remettre en question. Cette croyance est une institution à médiocrité qui favorise des femmes incompétentes et instables alors même que certaines d’entre elles pourraient réussir sans elle.
5 La force auto-centrée comme seule justification de la compétence.
Toujours Mme Cadalen :
“Seules l’éducation et la force de l’exemple feront petit à petit tomber ces barrières (ndt : pour accéder à des postes à haute responsabilité). Nous avons tout intérêt à nous demander ce que nous voulons profondément, plutôt que ce que nous sommes prédisposés à être. ».
Ainsi par un effort volontaire, qui ne respecterait pas leur nature, certaines femmes ont décidé d’entraîner les autres. Vers où, si ce n’est la tyrannie individuelle ? Et pourquoi si ce n’est pour de simple questions matérialistes ? Triste conception du pouvoir…
Apprenez à vous respecter mesdames, ce sera déjà bien assez. Ce désir omnipotent que vous portez en vous comme vous portez le monde, mais comme chaque individu le porte en soi, n’est qu’un leurre.
Si le constat est loin d’être reluisant, Eléna Fourès avoue son optimisme :
« Dans les années 2030, la parité devrait être actée. C’est le sens de l’histoire. Aujourd’hui d’ailleurs, les chasseurs de têtes recherchent de plus en plus de femmes pour les postes de direction. »
oui mesdames les féministes, vous êtes dans le marche de l’histoire. Vous savez que vous imposez vos vues, tout en vous plaignant (bel exemple ci-dessus). Mais réfléchir, c’est savoir s’arrêter. Vous nous menez consciemment vers le désastre et rien ne vous stopperait ?
Les antiféministes ne sont pas dans la marche de l’histoire. Et je n’ai pas peur de faire cette comparaison puisqu’ils ont tué bien moins de personnes, les communistes et les nazis, eux, étaient dans la marche de l’histoire. Arrêtez-vous en là, c’est déjà bien assez.
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