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Les discriminations salariales n'existent pas… par LeonidasDD
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« Les pays les plus riches en Europe sont ceux où les femmes travaillent le moins », Figaro madame du 05/03/2015.
« 8,5% de différence salariale entre hommes et femmes », Les echos du 04/03/2015.
Et pourquoi cette différence calculée de manière flatteuse pour les femmes augmente avec l’âge ? Peut-être parce que, en dehors de l’image favorable dont bénéficient les femmes, elles se rapprochent progressivement de leur rentabilité effective ?
« Les hommes sont payés 15% de moins que les femmes en Algérie », Huff Post Algérie du 11/02/2015
Chez nous, les femmes sont déjà plus employées que les hommes. En différences salariales effectives, elles sont plus payées, mais bientôt, comme en Algérie, elles seront mieux payées dans tous les cas de figure, pourtant légèrement sous employées par rapport aux hommes.
Eh ouais et ironiquement ce sont des pays « moyen-âgeux »
J’ai le sentiment que le féminisme est encore plus sournois dans ces pays-là 🙄
Etrangement il y a beaucoup de scepticisme dans les commentaires, par contre se taper un système biaisé d’études en France « prouvant » presque 30% d’écart salariale, pendant des années via les affiches, les discours politiques, les joyeuses drilles féministes, les affiches, les politiciens … ça n’a jamais choqué les mêmes personnes. Il n’y a quand même pas si longtemps que cela que l’étude a été approfondi et on a découvert que la différence était de 9%. Et même là on a encore le droit au mythe de l’écart de 15/20 %
Vous l’avez dit, on est dans le mythe. Imaginer qu’une femme soit plutôt moins performante qu’un homme dans certains métiers, c’est sorti de notre cadre de pensée tant nous les idolâtrons. Nous ne percevons même plus des différences. A moi, elles m’apparaissent de plus en plus énormes au fur et à mesure que je prends de l’âge. Ce n’est pas beau de mentir à le jeunesse.
Personnellement et cela n’engage que moi, je n’idôlatre absolument personne, autre que Dieu Créateur de toute chose existante et « inexistante ».
Mais toutes ces idôlatrie sont lié à une pénurie de foi dans nos sociétés.
Pourquoi ne reconnaissons-nous pas que nous sommes dépassés par quelque chose de plus universel ?
Parce que l’homme est orgueilleux, surtout quand il gagne en richesse, et qu’il croit pouvoir s’affronter à des lois qui le dépassent sans faire des millions de morts entre temps.
« A l’entrée de normal Sup, les filles sont favorisées dans les disciplines dites « masculines » », figaro étudiant du 18/12/2014
Les filles seraient favorisées dans les sections où elles seraient minoritaires, et les garçons aussi dans les sections où ils connaîtraient cette même situation. Dès lors comment expliquer la féminisation totalitaire des secteurs que les femmes investissent ?
Etude interessante mais je me méfie de la tournure de l’article.
Pour ceux que ça interesse allez lire directement le rapport.
http://www.parisschoolofeconomics.eu/docs/ly-son-thierry/gendergapulm.pdf
L’étude ne fait que constater l’existence de différence de genre mais LA journaliste du figaro avance une explication: il y aurait du favoritisme.
Chose interessante, elle veille à dire qu’il y a du favoritisme dans les deux sens mais par contre dans la suite de son article, elle en parle que de la pénurie de femmes dans les filières scientifique, pas un mot sur la pénurie d’homme dans les filières littéraires qu’elle explique uniquement par des « stéréotypes de genre ».
Pas un mot non plus sur le fait que l’école normale recrute à partir de classe prépa qui ont déjà une proportion fortement biaisée au niveau des sexes (Beaucoup (80-90%) d’hommes en prépa ingénieur , écrasante majorité (95-98%) de femmes en prépa littéraire.
Détail intéressant les auteurs de l’étude ont mixé les résultats à l’écrit et les résultat des épreuves orales, ce qui est problématique dans ce genre d’étude parce que les épreuves écrites sont relativement anonymes (pas de nom mais on peut voir si on a affaire à un homme ou a une femme) contrairement aux épreuve orales. Peut-être avaient-il peur que les gens ne se demandent si les discrimination interviennent plutôt à l’écrit ou à l’oral.
J’ai parlé trop vite, il y a dans l’étude une figure qui montre très clairement que les filles sont avantagées à l’oral en mathématique.
Ca expliquerais aussi la volonté d’en finir avec les métiers intellectuels.
Quand les femmes investissent un domaine ça finit toujours pas se casser la g….e comme dirait crument Alain Soral.
C’est comme pour tout le monde. Si on vous force à faire un truc où vous ne vous y sentez pas à l’aise (sans toutefois être médiocre) vous seriez malheureux psychologiquement et inévitablement ne feriez que des bourdes. C’est exactement ce qui se passe avec les femmes. On les « force » via propagande et chasse aux « préjugés »
Paradoxalement pour avoir intervenu chez plusieurs clients différents dans des boîtes prestataires : dans des domaines majoritairement féminin et d’autres majoritairement masculins, à part chez les cadres, j’ai constaté que dans le premier les femmes étaient en majorité plutôt épanouies psychologiquement tandis que dans le second cas, je sentais leurs frustrations, leur enlaidissement psychologiques , le genre de femmes que l’on vois traîner dans les blogs féministes sobres.
Bref arrêtons de vouloir forcer les gens à faire ce qu’ils ne veulent pas faire. Car la volonté est moteur dans chaque domaine professionnel.
Personne ne force les femmes à faire certains choix professionnels, on les incite simplement à aller vers certaines filières et les incitations sont tellement généreuses que certaines se laissent tenter.
Quand les femmes investissent un domaine ça finit toujours pas se casser la g….e
Il y a une raison à cela. Les hommes tracent leur route, les femmes veulent aller là où il y a des hommes qui ont du succès pour profiter de leur ressources (trouver un bon mari..).
Quand les femmes investissent un domaine, une minorité d’entre elles est vraiment intéressée mais les autres ne sont là que pour approcher des hommes qui ont du succès ou un statut social et en profiter. Dès qu’elles ont obtenu ce qu’elles voulaient, elles partent et la société aura formé une personne pour rien. Former des femmes en tant que médecin, ingénieur, .. aux frais de l’état représente d’un certain point de vue un gaspillage de ressources.
C’est la raison principale pour laquelle les féministes exigent des discriminations positives dans les filières à succès (et uniquement dans ces filières): permettre aux femmes d’avoir accès a ces filières sans avoir à fournir l’effort nécessaire pour obtenir les compétences.
Le problème c’est que l’investissement dans ces filières/métiers est un jeu pour les femmes et elles veulent avoir la possibilité d’en sortir quand elles veulent et profiter des ressources de leur mari. L’arrivée d’un enfant est souvent un bon prétexte pour qu’une femme prennent ses distances avec le monde du travail.
Les femmes frustrées sont en général les femmes qui n’ont pas réussi à attirer un homme qui convient à leur désir.
« Il n’y a pas d’écart salarial homme-femme », Contrepoints.org du 13/04/2011
Excellent article qui explique comment on a introduit des biais statistiques pour obtenir ce résultat idiot.
Pour l’égalité salariale, elles préfèrent ne plus allaiter leurs enfants envers et contre le bien être de leur progéniture. Cependant « la reprise du travail par la mère n’est pas la principale cause de sevrage », bien entendu :
« En France l’allaitement ne dure pas assez longtemps », Aimeles du 14/10/2014
Pas la principale ? et combien ne l’envisagent même pas parce qu’elles veulent reprendre le boulot ?
Et voilà, elles ont mis le doigt dans l’engrenage du mensonge sur les différences de salaire. Désormais les entreprises leur propose une solution mécanique à leurs problèmes :
« Congeler les ovocytes de salariées : une fausse solution aux inégalité de carrière », Figaro Madame du 15/10/2014, Blandine Le Cain
Encore une étude qui montre que les différences salariales se jouent sur les différences d’ambition entre hommes et femmes :
https://www.youtube.com/watch?v=C-HeIzQsSag
Les femmes veulent pouponner et désirent un mari qui assurent leur train de vie.
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