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Les discriminations salariales n'existent pas… par LeonidasDD
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(Vidéo) Il n’y a aucune discrimination envers les femmes, ni statistique, ni d’aucune autre espèce
132 réponses à “(Vidéo) Il n’y a aucune discrimination envers les femmes, ni statistique, ni d’aucune autre espèce”
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« Innégalités hommes-femmes : ma réponse au collectif féministe 52 » du 14/01/2017.
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« Lundi 7 novembre, à 16h34, « quand je me suis levée pour partir, mes collègues ont ri » », Figaro du 07/11/2016.
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« Les Françaises appelées à se mettre en grève ce lundi à 16h34 », Figaro du 07/11/2016.
Super de se mettre en grève alors que ce sont les hommes qui sont discriminés.
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(Vidéo) « La discrimination des femmes au travail, un mythe ? », Agence info libre du 28 juin 2014.
Toutes ces explications mises bout à bout, cela m’étonne qu’on n’en arrive pas au résultat évident suivant : les hommes sont discriminés sur le marché du travail.
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« 20 raisons pour lesquelles il est plus difficile d’être un homme qu’une femme aujourd’hui », hommes d’influence.com du 22/02/2016.
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« Sexisme en France : radiographie d’un fléau », Figaro Madame (Lucile Quillet) du 08/09/2016.
Le fléau de l’indifférenciation et du mensonge.
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Logique des couples et logique féministe: Il est parfaitement logique qu’une femme s’occupe de son enfant après une naissance. Logique aussi qu’elle occupe une part prépondérante des tâches ménagères (qu’elle devrait de toute façon à son enfant)et que son compagnon apporte en contrepartie les 2/3 des revenus.
Mais l’illogisme apparaît quand la propagande fémino-étatique plaque sur cette réalité qui concerne les 3/4 des couples, une volonté d’égalité des sexes dans la vie professionnelle. Dès lors, cette égalité de principe oeuvre à la destruction du couple et au-delà à la mort programmée de la société. Car elle traite injustement l’homme qui, au divorce perdra une bonne partie de ses investissements affectifs avec ses enfants, et matériels, en perdant plus de la moitié des fruits de ses revenus alors qu’il en a apporté les 2/3. Ainsi la logique égalitaire n’est qu’apparente et contredit les réalités des couples.
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Oui, mais elle sert de pression à la loi sur les hommes.
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Léonidas: Et voici une étude australienne: http://archive.is/zl9w1
The Australian results, based on information on more than 4000 local employee salaries, showed that when variables such as age, education, experience, occupation, industry, location, year, company and job title, are taken into account, the adjusted gender pay gap shrinks from 17.3 per cent to 3.9 per cent.
Quand on tient compte des variables métiers, postes dans ces métiers, lieux … la différence est de 3,9%. Et je constate qu’on ne parle pas de temps de travail ! Pour rappel, dans un couple, l’homme travaille en moyenne plus d’une heure chaque jour de plus que sa compagne !
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« Les femmes gagnent 6,3% de moins que les hommes, toutes choses égales par ailleurs » Figaro du 24/03/2016.
Dites-moi que c’est une crétine de sciences politiques qui a utilisé ce terme de sciences économiques « toutes choses égales par ailleurs » en oubliant un des facteurs principaux : l’implication en temps de travail. Sans parler du ,3% qui est très parlant pour un article de vulgarisation. Enfin, si l’on compte le manque de compétence, à combien d’écart arrive-ton… en faveur des femmes ? Par contre cela ne les gène pas qu’en temps de crise, les hommes soient plus au chômage ou que les femmes monopolisent 70% des postes d’employés comme le dit une étude de cette « journaliste ». Sans parler des autres incohérences de cette vision féministe.
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J’aime bien la fin de l’article : « une politique efficace pour le partage de la responsabilité parentale. » je croyais qu’il s’agissait d’un état de droits en France. Ah ben mince ! c’est vrai j’oubliais que les hommes en sont les grands perdants.
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J'y t'envoie une lettrinfo par saison
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