Les hommes faibles sont sélectionnés de plusieurs manières en france et depuis de nombreuses années.
La plus connue de ces manières, c’est la pilule contraceptive utilisée encore par une majorité de femmes française en âge de procréer, malgré sa toxicité avérée, et alors que cette pilule est un perturbateur endocrinien majeur. Effet secondaire de cette pilule, elle ne met jamais les femmes en position d’être motivée par les avances d’un partenaire viril. Car il faut savoir que la période d’ovulation est propice à autoriser la recherche d’un partenaire masculin masculin, et donc à rendre la femme active de sa propre reproduction. Sous pilule, la femme n’est jamais en état « d’ovulation » et devient plus passive. Elle attend d’être motivée par quelque séducteur, qui répondra à son attente de sécurité, ce que les masculinistes appellent un bêta de manière impropre. Car pour reprendre cette grille de lecture, le bêta est parfois un alpha qui doit se transformer en bêta pour avoir accès à la reproduction. Le sens de bêta et d’alpha perd tout sens quand la moindre contrainte sociale s’exerce sur ce cadre. Et des contraintes sociales, il y en a pléthores, dont les attentes de la ruche. Or la pilule contraceptive contraint la femme individuellement, mais elle oriente la ruche dans un sens particulier, celui d’une passivité-agressivité envers les mâles dominants. Les masculinistes sont incapables d’en arriver à cette analyse, mais il est pourtant évident que le garçon dans le haut du panier en termes de QI et de gènes est largement discriminé par notre société féministe mais aussi par toutes les femmes qui légitiment des mesures politiques discriminatoires à son encontre ou par leur attitude au quotidien. Il n’y a qu’à voir toutes les lois qui sont passées pour niveler le niveau des revenus en france, par l’imposition et la redistribution d’allocations aux filles mères, par exemple, ou de logements sociaux, ou de fonctionnaires encore, qui favorisent des femmes improductives et obéissantes, et qui handicapent ces hommes générateurs d’activité vraie : les entrepreneurs, très majoritairement hommes.
Cette mentalité ne freine pas seulement les meilleurs hommes, elle favorise l’indépendance des femmes, ou dit en d’autres mots, la capacité des femmes à survivre sans hommes. La sélection génétique peut encore se faire sur des critères d’amélioration de la race, l’homme en est pourtant réduit à ce rôle de géniteur et ne transmet pas le principal : sa culture et son éducation de père qu’il a lui-même reçue de son père. S’il est encore alpha, il n’y a qu’à voir comment de nos jours il participe à un système polygame qui le réduit à la portion congrue : celle d’un animal devant transmettre ses gènes. L’indépendance de la femme, c’est l’autre nom de la régression archaïque à la tribu et à ses filles mères, avec le retour du culte à la déesse maman au passage.
Au passage, tous les masculinistes qui réduisent l’homme à ce patrimoine génétique participent à cette régression. Il est évident que notre but n’est pas de sélectionner quelques hommes au détriment des autres, mais d’exalter chez chaque homme les comportements qui seraient les plus virils, afin d ‘améliorer ce patrimoine génétique général. Dit en d’autres termes, que nous importe qu’une personne dotée d’un patrimoine génétique sain se reproduise s’il transmet des valeurs qui saccageront sa génétique en quelques générations, par exemple en ayant un rapport à son environnement défaillant, en bouffant de la merde, ou en utilisant des produits toxiques qui saccageront son génome ? Se reproduire sans réfléchir, sur des critères animaux, cela donne cette génération de femmes stériles qui le sont devenues parce que justement, elles n’ont pas voulu réfléchir, pas plus que les hommes alphas qui les accompagnaient.
L’usine à couilles molles, c’est encore l’école où la mixité est de mise, et où les garçons n’ont pas le droit au moindre coup de poing. Une école dirigée par des femmes. Les féministes ont du culot de dénoncer les « boys clubs » lorsque la moindre réunion de garçons est traquée et qu’elles participent à cette traque par leur dénonciation. Même dans les clubs de sport, tout a été fait pour y intégrer le maximum de filles. Dans les fédérations, il n’est pas rare de voir des femmes en proportion beaucoup plus importante que les garçons par rapport au ratio pratiquants/pratiquantes. Plus généralement, les conseils d’administration, les listes électorales, les entreprises non paritaires sont progressivement sanctionnés. Les différences de salaires entre hommes et femmes sont traquées par des amendes ou des stigmatisations publiques, sans envisager qu’une masse non négligeable d’hommes (20%) puisse être plus performante qu’une majorité de femmes (80%). C’est pourtant une évidence dans l’histoire ou et encore de nos jours. Les entreprises les plus performantes sont constituées de ces hommes et ne devraient pas être sanctionnées par ce système gynocentré parce qu’elles sont plus performantes.
La féminisation de l’enseignement et de la justice ne proviennent pas forcément d’une volonté telle quelle, mais par contre elle est directement liée à la conception que nous nous sommes faits de la société : où les femmes devaient absolument être indépendantes, trouver un métier jusqu’à délaisser leur famille. Du coup, elles se sont trouvées des métiers là où leurs qualités de petites filles sages obéissantes opéraient : l’école, la justice, le soin. Pour le plus grand malheur de ces professions. Il y aurait eu une manière plus intelligente et moins brutale de procéder. Cependant, le résultat est là : l’inflation de l’état s’est conjugué avec une valorisation de l’obéissance et non de la prise de risque, et une féminisation totalitaire dans toutes les professions que les femmes ont choisi d’investir.
Cette société féminisée nous étouffe en étouffant les manifestations de la virilité. Nous ne risquons rien dans cette société, mais rien n’y est possible, jusqu’au suicide qui se manifeste par la stérilité, par l’immigration de masse, par l’écologisme, par la pseudo sécurité routière et de bien d’autres manières encore. Nous ne risquons rien, mais nous sommes tous sous contrôle. Voilà qui risque de devenir délicat si nous subissons une vraie crise sociale/économique.
L’écouillage se fait ici par nivellement. Puisque nous n’avons pas voulu cultiver nos valeurs chrétiennes d’empathie, alors, pour plus de justice, ou moins de jalousie si vous voulez, nous avons dû essayer de supprimer les différences entre hommes et femmes, entre riches et pauvres, entre productifs et improductifs. Notez que cette indifférenciation passe par l’exaltation d’identités sexuelles les plus farfelues (LGBêteQUI+). Le diable est dans les détails. A force de vouloir multiplier les différences, nous nous sommes retrouvés dans un magma difforme où l’homme et la femme n’apparaissent plus. Ce nivellement oblige les participantes à un tel système à stigmatiser les hommes remuant, et potentiellement les meilleurs au boulot. Au quotidien, ils se retrouvent face à une armée de feignasses souvent incompétentes, qui jouent de l’effet de groupe et de l’inertie ambiante pour les éliminer, en faisant prévaloir leurs valeurs, ou carrément en s’attaquant à eux directement. L’homme viril et compétent est directement perçu comme d’une menace par ces femmes qui fonctionnent sur un autre plan, et qui sont très fortes au petit jeu de protéger leurs intérêts, notamment pour dégager du temps de vie familiale. Tout cela permis par le pétrole et le génie masculin.
Ce travail d’ostracisation est mené dès l’enfance dans les écoles. Imaginez quel doit être le quotidien d’un écolier dans une société où les féministes imposent d’abord la mixité, puis se plaignent que les garçons occupent toute la cours d’école au détriment des filles, et finalement les obligent à renoncer à leurs conquêtes de territoires ou à leurs jeux. Une castration systématique, par étapes, et qui n’est que la partie la plus en vue d’un comportement d’oppression généralisée sur les petits garçons et sur les employés hommes en milieux féminisés. Car avec cette ambiance, imaginez quel est le choix d’un partenaire pour ces femmes, et comment elles l’envisagent. Bien entendu, il y a encore l’appel de la forêt et l’attirance pour ce que les masculinistes appellent le mâle alpha. Dans la pratique, les femmes se détournent de tels hommes dont elles savent qu’ils n’ont plus leur place ni dans la société, ni dans leur famille. Dans la société, ils sont ostracisés. Et dans leur famille, ils poseront problème, car ils seront inadaptés à cette nouvelle société qu’elles ont fait émerger. Surtout que les féministes luttent contre leur attirance pour le mâle blanc hétérosexuel et patriarcal de plus de 50 ans, en le dénigrant socialement. Les femmes se sont très mal comportées contre nous, et il serait temps de les dénoncer. Face à cette évidence, j’en ai souvent entendu me répondre « vous n’aviez qu’à vous défendre », soit une légitimation du viol. En tant qu’hommes responsables, notre rôle est de rétablir le tabou du viol, pas de l’encourager pour satisfaire quelques fantasmes bien féminins.
La surinflation de l’état et du contrôle de la population sous prétexte de sécurité (il faut rassurer maman), c’est encore la fin de l’expression de toute liberté, sur internet (j’en sais quelque chose), mais aussi dans la rue en conduisant sa voiture par exemple. Prendre la voiture est devenu une torture chez tous ceux qui aspirent à plus d’autonomie. L’automobiliste comme l’internaute est désormais traqué par des voitures banalisées, par des signalements, autrement dit, chaque rencontre qu’il fait, peut l’exclure socialement des réseaux sociaux ou par la perte de son permis de conduire. C’est une revendication au quotidien faite par les femmes. Elles ne veulent plus de violences routières, parce qu’elles veulent protéger la vie. Elles ne veulent plus d’agression sur les réseaux parce qu’elles veulent un monde de paix. Ce faisant elles engendrent un monde fade et ne favorisent que l’expression de la couille molle. Si une mère perd son enfant, elle est prête à interdire la circulation à tous les automobilistes. Que lui importe que les criminels soient sanctionnés s’il reste la possibilité qu’une exaction soit commise à l’encontre des siens ? Et pourtant la sanction des criminels, est la seule solution responsable.
Mais les femmes sont si fortes, qu’elles ont réussi à plaquer le terme de « chauffard » sur celui de « criminel ». Un chauffard, c’est celui qui « met en danger » autrui. Mettre en danger, un terme qui veut tout et rien dire. Sortir sa voiture du garage, c’est « mettre en danger autrui ». Voilà comment des limitations de vitesses à 30km/h se sont généralisées souvent sans raison, dans les agglomérations. Car en vérité, selon la définition des femmes, nous sommes tous des chauffards, tous des criminels. Celui qui fait de l’argent est un criminel, possiblement abuseur de femmes, tel un Harvey Weinstein. Celui qui a un pouvoir, limite son pouvoir de femme. L’alpha est le danger pour les femmes. Ces mêmes femmes qui ont profité des faiblesses du réalisateur hollywoodien, se sont retournées contre lui pour participer à la curée de tous les hommes. Un comble.
L’alpha que les femmes créent de toute pièce, elles entendent bien le contrôler de bout en bout. Et pour ce faire, il faut qu’elles aient la possibilité de l’émasculer à tout moment. Le mieux étant encore qu’il n’existe pas ou qu’il ne puisse pas prospérer dans leur société. Je remarque de plus en plus des manifestations d’agressivité contre moi quand j’essaie tout simplement de vivre en homme. Le port d’un costume est devenu rédhibitoire en certaines circonstances. Il suscite jalousies et désir mal contenu, sentiments qui se développent à proportion qu’il se fait rare, jusqu’à l’annihilation ?
Comme les règles de Dieu le Père ne sont plus reconnues, le patriarche n’a plus de place ni fonction, ni obligations, ni reconnaissance. Ainsi la corruption et le viol peuvent se répandre à nouveau dans la société. L’absence de couilles qui en découle, ce sont ces hommes qui sont les copains de leurs enfants, et qui ne font pas d’ombre à leur femme. Plébiscités par la gente féminine, ce sont des personnalités attachantes, sortes de secondes mamans, papas poules, qui ne feraient pas de mal à une mouche et qui accompagnent madame sur son chemin de libération. Il faut dire que hormonalement, le couple, c’est la perte de testostérone pour un mâle. Et je me demande à quel point cela explique l’attirance de nombreuses femmes pour un homme déjà pris, au-delà de la question du mimétisme.
Sur les « bêtas », la femme peut exercer son pouvoir plus facilement. A l’inverse, l’alpha n’est qu’un fantasme, assouvi de temps en temps, mais qui ne satisfait pas la femme au quotidien. Celle-ci veut surtout être rassurée, ce qui implique une notion étrange de la force pour l’homme, qui a plus à voir avec la faiblesse.
Mais n’est-ce pas généralement le cas ? Nous nous construisons un imaginaire fait de force, quand la faiblesse y participe d’autant. Et les femmes nous choisissent beaucoup plus pour nos faiblesses que pour nos forces. La première de ces faiblesses est souvent l’amour que nous leur portons, tout au moins en france. Je le répète ici pour la démonstration, mais l’alpha, c’est le potentiel abuseur, incapable d’accueillir une partenaire, car trop emprunt de ses qualités. Si cet homme incarne un interdit prompt à faire fantasmer ces dames au pieux, il aura plus de difficultés en couple. Les femmes le savent d’instinct et s’en défient rapidement, les plus saines en tout cas. Ces alphas multiplient les partenaires, mais ils forment les femmes plus qu’ils ne s’éduquent finalement. Les compétences à séduire ne servent à rien dans la vie de couple, ou si peu.
Voilà aussi pourquoi il est si important que les hommes soient raccords dans la société avec leur supériorité sociale. Sinon, il n’y a plus que leur faiblesse qui compte aux yeux des femmes, ce que nous vivons actuellement. Même si les femmes peuvent être attirées par des hommes forts, elles ont intérêt à se caser avec des hommes faibles. Et l’intérêt sursoit souvent à toute autre raison chez la femme. Si l’homme n’est pas fort socialement et reconnu fort socialement, alors elles peuvent occuper tout l’espace et réduire leurs partenaires à de simples géniteurs pourvoyeurs de fonds. Là encore, voilà ce que nous vivons.
Le plus terrible, c’est de voir nombre d’influenceurs hommes actuels inviter leurs auditeurs à devenir des mâles alphas et à gagner en qualités. Comme si notre monde était un monde de justice qui récompenserait les gentils garçons qui apportaient aux femmes ce que les hommes attendent. Car derrière la recherche de matérialité, de succès, d’image sociale, n’y-a-t-il pas là un travers régressif propre à l’imaginaire masculin encore sous influence maternelle ? Travers d’enfants mal sevrés ? Les femmes n’attendent pas que vous réussissiez. Elles en pressentent trop le coût. Elles attendent que pépère rentre à la maison et nourrisse sa petite famille, le ventre dodu. L’aventure, la folie de l’engagement, la réussite même, si elle fait fantasmer nombre de femmes, seuls les hommes la cultivent, pour eux seuls et pour quelques chanceuses (vénales?) qui récupéreront parfois la mise en les mariant, bien tard. L’arbre du gagnant, cache la forêt de l’honnête travailleur, humble au quotidien, qui n’est rien, mais qui structure la société.
Si une femme particulière est attirée par un gagnant, les femmes en général n’ont pas besoin de gagnants, qui sont même leurs ennemis sociaux. Que ces derniers payent des impôts, et génèrent de l’activité, grand bien leur fasse. Qu’elles leur parlent mieux qu’à un chômeur, certes. Qu’elles soient même prévenantes et ouvertes à leur égard, soit. Mais elles savent que leur avenir n’est pas là. Si elles veulent réussir leur vie, elles doivent abandonner ce genre de chimères. Et en général, elles le font très vite. Même la pêche d’un gros poisson, ne leur permettra pas de réussir leur vie de couple particulièrement.
Les Bill Gates et autres Bezos ont été quittés alors même qu’ils avaient réussi. Et ceci, les femmes en ont beaucoup plus conscience que les hommes, bien plus rapidement, étant donné leurs impératifs en matière de reproduction.
Vous saurez multiplier les exemples à l’infini dans votre environnement et voir combien, à chaque fois, la couille molle est valorisée dans un monde féminisé. Je voudrais toutefois prendre un dernier exemple dans notre Eglise catholique. Où sont passés les hommes virils, les Padre Pio, les saint Paul, les saint Augustin ? Elle nous donne plutôt à voir une troupe de croyants bien fragiles qui s’est repliée sur son Eglise domestique avec Marie en ligne de mire et des pasteurs efféminés pour guides. Efféminés voire carrément travaillés par des pulsions homosexuelles. Les abus sur les enfants sont principalement le fait de ceux là. Des hommes donc, qui ne sont pas hommes, qui n’ont pas des pulsions d’hommes, mais qui s’identifient à des femmes ou qui les déifient. La bénédiction des relations sexuelles entre hommes efféminés en allemagne n’est qu’un des syndromes nombreux qui touchent tout notre occident. A bien y voir, mes frères ont souvent perdu tout sens commun et se sont ralliés à notre société décadente au lieu d’en être les ferments. Nous sommes dépassés par les revendications des personnes à pulsions homosexuelles se disant catholiques qui n’investissent plus seulement notre Eglise, mais cherchent à y trouver la légitimation de leurs pires travers. La sexualité, dernière obsession de notre environnement riche animal, devrait devenir selon eux, le centre de préoccupation de notre théologie catholique et de notre rapport à l’altérité (sic), soit la suppression radicale de toute altérité. Evidemment les pédés sont des humains, alors comment les accueillir tout en les corrigeant, tout en nous corrigeant ? Cela demanderait d’être clairs avec nous-mêmes, à savoir quelles sont les limites que nous nous fixons. Or ces limites ont toutes implosées progressivement. La pulsion sexuelle a été mise en avant chez les adolescents garçons et filles dans les années 60. Elle a conquis les couples pendant 40 ans, et désormais ces couples ne savent plus bien comment mettre des limites avec leurs enfants ou les personnes qui les environnent. Entre un rejet radical et un accueil sans condition de la personne souffrant de pulsions homosexuelles, la mesure n’existe plus car une relation sexuelle entre hommes en vaut bien une entre homme et femme. Les Evangéliques ont résolu le problème : pour eux, c’est une sorte d’excommunication qui s’applique. En tant que catholiques, nous voudrions être moins radicaux. Encore faudrait-il que nous ne devenions pas une Eglise homosexuelle. Mon prochain article devrait traiter de la question.
Qui est responsable de cet écouillage massif ?
C’est toujours la question de la poule et de l’oeuf qui revient pour nous embrouiller l’esprit. Les femmes ne veulent parfois même pas d’un pouvoir que les hommes leur laissent par faiblesse. Des mères aiment particulièrement leur garçons qui seront alors dominés par leur future partenaire. Tout autant que des pères peuvent brimer leurs filles ou encore les placer abusivement sur un piédestal, pour des résultats qui se révéleront à la fin contradictoires (des filles brimés aimant leur compagnon et des filles adulées finissant célibataires). Les garçons qui sont éduqués par un imaginaire fait de force maternelle deviennent illégitimes aux yeux de leurs enfants. En général, nous obtenons donc le résultat à l’exact opposé de ce que nous avions désiré, comme si Dieu ne voulait favoriser que l’élévation des consciences. La vraie question est donc plutôt de savoir comment nous en sortir.
De nos jours, être un homme appelle à un sacrifice terrible en france, à un rejet, à une exclusion sociale et familiale. Seule la foi du Christ peut nous engager à rester des hommes, malgré les circonstances. Il faut donc la conversion des hommes. Mais aussi la conversion des femmes qui ont toutes les possibilités d’abuser de leur situation. Celles-là doivent nous accueillir comme le bateau qui a subi bien des avaries avant de rentrer au port, et qu’elles auraient la possibilité de couler à tout moment. Ainsi, nous nous en sortirons, non par un changement de paradigme civilisationnel comme nous le répètent si souvent les matérialistes ou les transhumanistes qui ne sont qu’une autre espèce de matérialistes, mais par la foi et la conscience. Dénoncer chez les femmes leurs possibilités d’abus, c’est les mettre face à leurs responsabilités, et elles répondront à notre voix d’hommes en ce cas, pour peu que nous assumions notre rôle. Nous sommes la voix de la conscience et de Dieu. Et si nous ne le sommes pas, nous sommes rien, en particulier devant une femme.
Laisser un commentaire