Découlant de la différence sexuelle, voici l’altérité la plus notable entre hommes et femmes. Les femmes discutent à partir de cas ou de ressentis personnels. Les hommes essaient d’avoir une vision globale du monde, de la politique et des individus.
L’immigration
Prenons l’exemple de l’immigration de masse. Pour la plupart des femmes, ce phénomène est vu à travers le prisme de l’individu. De droite, elle se posera la question de savoir si ce changement va la mettre en danger physiquement, si elle risque d’être violée, si elle perdra en sécurité dans les rues et plus généralement dans les lieux qu’elle fréquente. De gauche, elle fera appel à l’humanité des immigrés, la nécessité de les traiter de manière personnelle, de leur offrir de l’aide.
Jamais un homme, exception faite des hommes féminisés, ne se posera la question sous ces angles. Il s’interrogera sur le nombre de places d’hébergement, la situation de l’emploi dans le pays, les possibilités d’intégration, le risque de submersion, les relations entre groupes culturels. Il comprendra vite que les ressources de son monde sont limitées et qu’il faut faire des choix entre individus, et que sinon, tous en pâtiront.
Ces choix pour une femme sont incompréhensibles, voire inacceptables, car pour elle, tous les individus seront d’abord éminemment respectables. A la rigueur, elle remettra en question ses idées politiques si ses ressources familiales sont attaquées, ou si ses enfants sont violentés par exemple. Ce jour-là, l’autre pourra devenir son ennemi. Mais il le sera parce qu’à un niveau personnel, elle aura été affectée.
La femme accède à la compréhension du général par le personnel, et mal. Ce qui provoque des angoisses chez elle. Comme lorsqu’un homme est bousculé par des considérations intimes, la femme est déstabilisée par des réflexions d’ordre général. Dépassée dans ce cas, elle chargera l’homme de calmer ses terreurs en le rendant responsable de son impuissance. Droitisée, elle exigera de lui la sécurité, se dira mal à l’aise dans les rues, face au mouvement migratoire. Gauchisée, elle voudra qu’il mette en place les conditions d’un accueil sans limite pour tous les pauvres de la terre.
Face aux échecs de l’homme, ou face à ses refus, elle protestera, et à l’extrême, se retournera contre lui s’il est trop faible. La politique migratoire « d’accueil » vue par les femmes, oscillera donc entre la peur panique, et une allocation des moyens aléatoire, qui comblera ses attentes individuelles, les siennes ou celles de ceux qui peuplent son imaginaire.
Dans C Polémique « La France : terre d’accueil ou de rejet », le débat tourne vite à l’affrontement entre deux hommes qui défendent des principes généraux et deux femmes qui défendent des principes personnels :
Pour les femmes, il en est de la place des étrangers comme de toutes les autres questions de société. En consommatrices, elles ont tendance à penser que les « moyens » peuvent régler tous les problèmes, par magie, comme dans le milieu du professorat dont le budget a explosé ces dernières décennies parce qu’elles ont été écoutées, tandis que le niveau de l’école s’effondrait. Incapables de s’interroger sur leurs responsabilités, elles interrogeront toujours celle des hommes. Elles voudront que le monde fonctionne comme elles, et elles jugeront que tout va mal sinon, surtout au fur et à mesure qu’elles deviendront majoritaires dans un secteur d’activité.
L’école
A l’extrême, l’intelligence logique est rejetée pour être remplacée par l’intelligence émotionnelle. C’est assez flagrant dans l’enseignement. La compétence du coeur, naissant de l’intimité, était la prérogative féminine par excellence. Or les femmes fuyant leur famille ont fait baisser, et le niveau du quotient intellectuel, secondaire pour elles en tant que professeur, mais aussi le niveau du quotient émotionnel, parce que s’occupant moins de leurs enfants. Parmi le professorat, les cours de langue, artistiques, expression, ont pris le pas en France sur les cours de sport, mathématiques, technologie. Et au bout de 30 ans, le niveau des élèves en matière de logique a fini par s’effondrer dramatiquement. L’histoire a suivi son cours, de manière implacable.
Du côté de l’Etat, certains en sont d’abord arrivés à s’interroger sur leur rôle et à s’approprier la question. En premier lieu, personne n’a voulu se poser la question de la baisse du niveau. Les femmes investissaient l’enseignement comme le reste, pour le meilleur, et ce qui a inquiété les autorités publiques, c’était les comportements qui gênaient la pratique de ces nouveaux fonctionnaires. Les dépressions, suicides, le mal être grandissant, les incivilités, avaient des conséquences dans les classes qu’il était urgent de corriger, avant de prendre en compte le niveau d’élèves qui bénéficiaient d’une rente passée, d’un capital culturel accumulé par la société. Il est paradoxal de noter, que les professeurs femmes ont été chargées de limiter les conséquences des destructions familiales auxquelles elles participaient soit par leur activité professionnelle, soit par leur adhésion à l’idéologie féministe.
En France, et dans beaucoup de pays européens, les programmes se sont garnis de « compétences transversales », « valeurs » et autres « savoir-être », de « psychologues scolaires », de « pédagogues », pour pallier le manque de résultat dû à toutes ces carences familiales qui ne cessaient de s’étendre de générations en générations. Finalement, le niveau d’instruction a baissé, sans pour autant permettre aux futurs adultes d’être mieux dans leur peau. Nos enfants ont été bercés d’illusions pour s’apercevoir du mensonge après. Plus que jamais, la naissance favorisait les uns et pas les autres. En tant que parents, ils se sont révoltés contre une école hypocrite en la déligitimant auprès de leurs enfants. Et de fil en aiguille nous en sommes arrivés à une confrontation physique dans nombre d’établissements, entre élèves, entre parents et professeurs, entre professeurs et élèves, cette confrontation physique n’étant que la partie émergée d’un iceberg fait de haine. L’école a eu l’ambition folle d’apprendre aux enfants à devenir plus sensibles en se méfiant du discours des pères, il est logique qu’elle subisse la situation qui en découle : les enfants dénigrent les adultes, font des crises de colère dans les classes, dès qu’ils sont perturbés, ils expriment leur mal être devant le groupe, et les mal être s’agrégeant dans une société inhumaine car sans parents de chair, les enseignements sont désormais remis en question. Puisqu’en accord avec cette logique, les problèmes familiaux, culturels, géographiques se sont décuplés, « l’école féminisée leur échappe » entièrement.
Les domaines d’activité féminisés
La situation est identique au niveau de la justice. Tous les domaines d’activité que les femmes ont investi récemment connaissent des crises graves de fonctionnement, dont l’origine nous est masquée par l’amour que nous leur portons. En quelques années, celles qui monopolisent les diplômes du supérieur, laissant les hommes loin derrière, ont pourtant réussi l’incroyable exploit de pourrir tout ce qu’elles touchaient malgré leur niveau d’instruction, et leur intelligence certaine. Cet échec retentissant qui n’est pas dû à leurs capacités, ni à leur niveau de formation, ne peut s’expliquer que par leur nature de femme. Ce raisonnement essentialiste que les féministes envisagent souvent comme un piège, et pour cause, est pourtant le seul qui soit un tant soit peu crédible. Nous sommes aussi des corps. Or les féministes préfèrent continuer d’accuser le « patriarcat » dans un monde où les derniers hommes influents embauchent des femmes en priorité et paient des impôts pour alimenter un fonctionnariat féminisé. Car en plus d’envisager le monde à partir de l’intimité, les féministes le voient de manière conflictuelle, en direction des hommes. Cette idéologie qui n’est qu’une maladie de l’intimité augmente les difficultés de compréhension entre sexes.
La politique
Il y a une frontière abyssale entre hommes et femmes sur le plan personnel et général, pour tous les sujets, qui rend la plupart des femmes incapables de participer à la direction des affaires d’un pays. Seules des femmes, forcément rares, capables de comprendre ces implications générales devraient être autorisées à voter. Or pour l’instant, elles le peuvent toutes, et pensent pouvoir influer de manière positive sur nos sociétés en conservant leurs vues de femmes. La plupart des hommes aussi le pensent. Ils ne voient pas qu’en pratique, elles ont dilapidé en quelques décennies l’héritage de plusieurs siècles d’histoire en exerçant leur pouvoir majoritaire, en compagnie de ces hommes immatures qu’elles génèrent au sein de familles féminisées.
Voir par le personnel pour gouverner la France от Léonidas Durandal на Rutube. Marine Le Pen/Emmanuel Macron entre deux tours de la présidentielle 2017.
L’intégration des femmes à l’Assemblée Nationale, se traduit par l’irruption de ce monde des sentiments en matière de politique, et au pire, sentimentaliste. Vous pouvez reprendre toutes les interventions des femmes et les faire coïncider à ce point de vue personnel.
_ Elles font la guerre pour sauver les enfants. Mais elles exigent aussi la paix pour sauver les enfants.
_ Elles autorisent les unions de duos à cause de « l’amour », jusqu’à la caricature. Mais elles s’y opposent aussi au nom de la grossesse pour argent.
_ Elles parlent de « culture du viol » parce que quelques unes d’entre elles ont été violées. Ou bien elles dénient son existence, parce qu’elles ont les capacités de se défendre.
_ Elles imposent des lois discriminatoires contre les hommes en matière salariale parce qu’elles sont incapables d’envisager leur propre inefficience dans des entreprises qui ont pour but la rentabilité. Et elles punissent durement les contrevenants. Mais vous n’entendrez jamais parler de discrimination positive dans les secteurs où elles sont largement majoritaires, ni dans les métiers qui les rebutent.
Toutes ces lois sur le travail pour favoriser leur insertion doit leur permettre de nouer des relations sociales, et plus largement est envisagée depuis les bénéfices qu’elles peuvent en tirer, et non pour servir la machine productive, tant et si bien que même une femme comme E Badinter qui reste sceptique quant au rôle naturel de la femme, l’affirme sans ambages. Les femmes doivent aller travailler pour rompre l’isolement !
_ Elles sanctionnent tous les hommes quand elles votent des lois en matière familiale pour éviter qu’une seule d’entre elle ne soit violentée. Mais elles défendent un de leur proche lorsque celui-ci est victime d’accusations abusives.
Les démocraties sont faibles et tyranniques par leur faute. Facilement manipulables, il suffit de faire du sensationnalisme pour finir de les convaincre, de jouer sur la corde sensible pour qu’elles oublient toute raison, la meilleure manière étant encore d’accuser un opposant de ses erreurs passées dans ses rapports intimes pour le discréditer définitivement. Un homme politique bien, doit se comporter en gentleman dans son entourage, sinon il est éliminé, quand bien même les faits auraient plus de 10 ans ! Autant le juger à sa femme comme le font les Américains. Seulement, ce n’est pas notre tradition, et chez nous, certains hommes politiques de génie pour la communauté peuvent être des minables dans l’intimité. Avant, le cadre catholique empêchait les débordements. Aujourd’hui, c’est fini, d’où le désastre. Au grand jeu de l’évolution, nous avons gagné des hommes politiques tout autant minables dans l’intimité que dans la gestion collective, et ce n’est pas un hasard.
Parce que nous sommes à une époque où la gauche féminisée contrôle les institutions, l’accusation du « crime » de misogynie, de racisme, ou d’homophobie, à l’image d’une épée de Damoclès, pèse sur chaque homme qui chercherait à faire de la bonne politique. Au lieu d’envisager cette question de manière rationnelle, ce qui est le propre de la politique, la moindre critique en matière d’immigration, de mœurs, ou de pratiques culturelles étrangères, provoque chez nos votantes majoritaires la peur d’autant d’attaques personnelles. Il est alors plus facile pour une femme de rassurer, d’autres femmes, et de s’imposer dans le jeu politique, malgré une incompétence absolue. La raison est sous contrôle et doit se soumettre à cet impératif sentimental. Mais gageons qu’à une époque où les esprits féminisés seraient de droite, le problème serait identique. Il faudrait alors faire la guerre pour la sécurité de nos femmes, rejeter l’étranger signe de menace personnelle, se comporter en machos pour les rassurer. Raisonnement tout aussi absurde à droite qu’à gauche, parce que féminisé.
Les hommes qui ne connaissent rien aux femmes, et les femmes se gardant de trop leur en montrer, s’imaginent que l’implication de ces dernières en politique ne changera rien, voire améliorera la représentation démocratique. Les hommes voient cette dernière de manière abstraite comme ils le font quand ils doivent réfléchir à la résolution d’un problème général. Celle-ci est donc favorisée par des quotas, votés par des hommes, car il n’y a pas assez de femmes à des postes à responsabilité, ou de « représentants des minorités » ce qui revient au même, parce que la doxa féministe veut les voir toujours discriminés et non inaptes. Le complexe d’infériorité se mue alors en volonté de rétablir la justice en contrôlant tout : les paroles, les actes, les lois. Le système ancien est vu comme oppressif parce que manquant de femmes. Comme les femmes ne semblent pas différentes des hommes dans une société féminisée sans limite, propre à la confusion, la seule explication reste celle de l’oppression. Elles peuvent tout, doivent pouvoir tout faire, les enfants, la famille, le travail, et si elles n’y arrivent pas, c’est la faute des hommes. Perpétuant leur attitude de mineures irresponsables, elles ne comprendront jamais combien certains individus peuvent profiter du système parce que tout système est imparfait, mais qu’une société dans son ensemble ne peut se le permettre sans dégénérer. Ainsi la féminisation prend pieds sur une incompétence première des hommes qui, perméables aux femmes de leur entourage, ont voulu privilégier leur famille à leur pays. Quand la méritocratie disparaît, l’abus devient légitime, surtout personnel. Le matriarcat refait son apparition et à la fin, la société ne sait même plus si elle doit permettre le suicide, si elle doit autoriser les infanticides, pourquoi la fécondation d’une femme par un mort devrait poser problème, pourquoi la raison ne se soumettrait pas aux émotions les plus immatures qui soient, pourquoi l’enfant ne serait pas roi, pourquoi le monde entier ne pourrait pas devenir consommateur sans frein, pourquoi l’inceste ne serait pas permis, la pornographie en général etc.
Le pouvoir
Si dans un premier temps, les femmes se montrent plus conservatrices vis à vis des changements, c’est surtout par peur, non par amour des traditions. Ainsi, lorsque le progressisme s’est-il imposé, en sont-elles devenues les premières défenderesses… après avoir soutenu durant des années le général de Gaulle. Comme dit le dicton, les femmes servent le pouvoir, tandis que les hommes s’en servent. Dans les mains d’un homme, le pouvoir est un outil utilisé à bon ou à mauvais escient. A l’inverse, les femmes qui sont le pouvoir, peuvent tout se permettre et toute attaque à leur encontre devient inadmissible. En général, elles sont aimées quand elles devraient être jugées pour leurs qualités réelles à des postes à responsabilité. A la fin, elles sont honnies personnellement.
Quand elles cumulent le pouvoir personnel et le pouvoir social, la société devient un véritable cloaque fait de règles qui installent progressivement la tyrannie. Car la seule réponse à des sentiments contradictoires, c’est la force, surtout quand plus rien ne compense leur domination dans les rapports personnels. Quand elles interfèrent dans la vie publique, elles s’imposent dans la confrontation individuelle et les hommes inférieurs à elles dans ce domaine se font rapidement monter dessus. Ils acquiescent à leurs raisons auxquelles ils ne comprennent rien ou bien parce qu’ils leur sont très perméables.
Seule l’évidente incompétence d’une femme reste un frein à l’ascension de celle-ci. Mais dans un monde de réseaux, qui surproduit, fait d’images médiatiques fabriquées pour susciter le désir de toute pièce, où les hommes sont réduits à rien dès qu’ils ont créés de la richesse, ce n’est pas forcément un problème.
Les mots en politique
Au début des années 80, il restait encore quelques émissions politiques tard dans la nuit, où des hommes s’en mettaient plein la tronche. Il en était ainsi de notre société. Les débats politiques, familiaux ou pas, étaient engagés, houleux, virils. Mais déjà, un Coluche se moquait des balayeurs qui devaient être désignés comme des « techniciens de surface » pour ne pas choquer. Cette année, la dernière émission qui tentait de faire débattre gentiment les personnes à la pointe de la réflexion mais peu subversifs de notre société, a été supprimée du Paf (Ce soir ou jamais). En quelques décennies, nous avons mis notre langue dans notre poche, et plus encore, la moindre confrontation d’idées est maintenant perçue comme dangereuse. Le « politiquement correct » s’est imposé comme un comportement naturel. L’éducation nationale particulièrement féminisée regorge d’un vocabulaire qui n’ose pas nommer les problèmes, ni les objets d’ailleurs. Le ballon y est devenu un « référentiel bondissant », l’échec à l’assimilation s’est mué en « vivre ensemble », les uns à côté des autres. Tout le vocabulaire est piégé. L’emploi du mauvais mot au mauvais moment condamne le maladroit à la contrition. Il ne faudrait pas choquer ces dames. Ce ne sont plus les idées qui sont devenus l’objet du débat, mais le mot acceptable. Ainsi, les femmes de droite et de gauche se battent-elles pour imposer le vocabulaire qui sera le mieux à même de défendre les personnes de leur camp. A gauche, on emploi « quartiers sensibles » quand il y a des émeutes dans les banlieues, ceci pour préserver la susceptibilité supposée des habitants. A droite, d’autres esprits féminisés dénoncent « un euphémisme qui accuse les flics ». Aucun des deux camps ne se place du point de vue de la vérité. Le choix du langage est de l’ordre de l’expression, d’une sensibilité personnelle, qui ne peut relever en aucun cas de faits objectifs, mais qui doit défendre des personnes particulières. Tout le monde a raison, tout le monde a tort, et jamais le débat ne peut progresser, chacun campant sur des positions sentimentales, tout en évitant l’affrontement direct, assimilé à une violence insurmontable. Les femmes n’aiment pas qu’on élève la voix, surtout contre elles. Elles se battent alors pour imposer leurs mots, et leur manière d’envisager l’humain, de façon indirecte, cette gestion intime de la politique du vocabulaire générant là-aussi, la tyrannie, l’autisme et l’incompétence.
Conclusion
Rien n’a changé dans le monde féminin du politique à partir du personnel, et dans le monde masculin du personnel à partir de la politique, excepté que les femmes se sont imposées à gauche sans concession dans le domaine public tandis que les féministes jouent le jeu simiesque de leur propre domination à un « système patriarcal » pour prolonger ce pouvoir. Dans notre monde riche, la catastrophe est pourtant là, à tel point que nous ne savons même plus comment nous en sortir. Dans le déni le plus complet, nous n’allons jamais jusqu’au bout de nos constats qui remettraient toutes nos croyances en question. Nous attendons patiemment l’effondrement pour oser penser notre société sur un plan politique, et non sur un plan personnel, quand il ne sera plus temps.
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Bonjour, comment on pourrait se parler de manière totalement anonyme autre que le forum qui est un peu exposée ?
Bonjour Jade,
Je n'ai pas consulté ma messagerie depuis 2 mois. Je ne crois pas que nous puissions entretenir une conversation sur celle-là... Il n'y a pas d'autre moyen qu'ici.
Cordialement.
M.D
"Brigitte Bardot félicite la représentante israélienne à l’Eurovision qui a été sifflée par le public" BV du 14/05/2024.
B Bardot ne veut pas voir comment cette jeune cruche a été instrumentalisée pour servir le pouvoir politique. D'ailleurs, que fait israël à l'eurovision ?
***(La vous pouvez poster si vous voulez)
Bonjour,
Merci pour votre réponse en tout cas je vais réfléchir à ce que vous dites et je m'étais déjà dit que oui il a besoin de maltraiter quelqu'un etc mais j'ai besoin de plus réfléchir.
Merci beaucoup
Madame,
Vous avez peut-être raison avec votre instinct de femme. Ce que vous avez écrit dans votre dernier commentaire et que j'ai dû effacer pourrait tomber dans de mauvaises mains. Pas votre mari, mais je ne peux pas en dire plus. Nous vivons dans un pays de fous qui alimente les problèmes plutôt que d'aider les gens.
Prenez votre temps pour le reste.
M.D
Une fois je vous avais dit que vos conseils était précieux car unique vous voyez merci d'écouter et de ne pas juger et surtout de ne pas me conseiller de mettre en l'air ma famille car je sais bien que c'est ce que tout le monde me dirait.Mais d'un point de vue totalement objectif il est bon au fond et je le sais il est perdu quelque part il est plus d'avantage chretien(désolée pour les musulmans ici) et apostat et ne veut pas faire le pas de se faire baptiser car il ne veut pas renoncer à certaines choses.Et en faite lui il aimerait mais il attend il croit en la Bible etc c'est pas moi qui lui met ça dans la tête ,mais il y a aussi les plaisirs de ce monde :l'argent etc je pense et si j'aimerais qu'il change c'est qu'il donne sa vie à Dieu car c'est notre but.
Il a une culture et une enfance qui l'aide pas et c'est pas parce que je suis aveugle c'est vrai.Je pense aussi au risque de choquer que la culture rentre en compte il suffit de parler avec d'autres femmes qui sont avec des Kabyles les hommes français paraît il sont différents.
Je ne sais pas si il faut accepter l'animalité en lui et accepter qu'elle se déverse sur un animal, plus en la réprimant moins elle agira.Il se détruit en faisant cela aussi.Le mal moins on en fait moins le mal aura d'emprise.Mais plus il en fait plus il deviendra insensible.
En tout cas merci de ne pas le.juger 🙏 ni de donner des conseils effectivement débile que j'entendrai partout qui me dirait divorce.
Vous savez je pense qu'il ne faut pas écouter "le monde" fasse a une question spirituelle ou d'amour ou de relation conjugale car peu de personnes sont dans l'amour de Dieu et les bons conseils justement sont unique et rare,celles qui amène le plus vers l'amour et vers Dieu car peu de personnes prennent la peine de Le rechercher et de tout Lui donner
Bonjour madame,
Tant qu'il ne se convertira pas, il se détruira et détruira son entourage. Et même après, il continuera à le faire. Cependant il sera sur le bon chemin.
M.D
Bonjour,
C'est une grande bénédiction ce que vous me dites la merci , c'est pas à vous que je ne fais pas confiance.
Je voulais votre dire la dernière fois a laissé son téléphone a la maison(pas son portable de boulot)et j'ai regardé a l'intérieur je sais c'est pas ce qu'il faut faire, j'ai vu qu'il avait installer Tinder(qu'il a désinstaller quand je lui ais parler) j'ai également vu dans ses historiques qu'il allait sur des sites pornos et essayer de chercher des femmes sur le lieu où on habite.Il a aussi des pensées bizarres par exemple quand je réponds pas au téléphone il me dit "c'est qui qui appelle pourquoi tu réponds pas"etc pour moi si il a des pensées comme ça c'est que il est pas honnête envers lui même.
Phrases a ne pas dire*paragraphe qui suit
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Hier mon mari, s'est énervé et m'a grandement manquer de respect.Aujourd'hui il s'est excuser mais ça laisse des traces.
Dans les situations c'est vrai que j'ai souvent tendance encore une fois a pardonner très facilement a pas avoir de haine ,ni même de rancune ou avoir envie de me venger merci Dieu je vous avoue que je me dis que Dieu a permis que je vive cela qu'il est tout puissant et que si ça arrive ça peut peut être aider mon mari a se réveiller (qu'il ne peut pas devenir meilleur par sa propre volonté et donc s'en remettre à Dieu car il croit que sans Dieu il peut changer)ou que ça peut m'aider à m'accrocher a Dieu je n'en sais rien.Mais je ne suis absolument pas rancunière ou avec de la haine.Mais je sais que c'est pas forcément une bonne manière de réagir car du coup il recommence il a moins cette pression ,une fois vous avez dit que ma passivité était un appel au meurtre.Dois je me forcer à ne plus lui parler?a lui montrer que je puisse lui en vouloir ?
Lui parfois me dit que je suis invisible 'On peut être il croit que j'ai pas de dignité de pardonner si facilement et lui doit le croire en faite ça me fait pas forcément souffrir ce qu'il me fait ,ça me fait souffrir que si je me recentre sur moi donc dès que je vois que je me recentre sur moi je me décentré aussitôt pour pas souffrir (car oui c'est injuste et pas normal) mais quand je vois les choses non centrer sur moi et d'une manière spirituelle ça me rend triste pour lui et j'espère qu'il donnera sa vie à Dieu.C'est ce que je lui dis par SMS pas trop en face car j'ai du mal à m'exprimer ,il parle beaucoup et c'est trop tendu alors je prends cette manière de parler.
Je veux bien votre vision des choses.
Que Dieu vous bénisse et fasse toujours Sa Volonté.
Bonjour madame,
Quand je vous disais qu'il était important de pouvoir s'exprimer grâce à l'anonymat sur internet : si vous n'aviez pas écrit le paragraphe que vous m'avez demandé de supprimer, je n'aurais pas pu vous aider. Vous êtes d'ailleurs une orgueilleuse de ne pas vouloir étaler la vérité de manière anonyme. Si encore quelqu'un connaissait votre identité, je pourrais comprendre (et encore : de quoi avez-vous honte exactement ? De la réalité, de la vérité ? = orgueil = vous voulez apparaître plus haut dans la société que vous n'êtes réellement. Je vous encourage vivement à vous aimer telle que vous êtes SVP. Et pour cela vous connaissez la solution : la prière. Dieu vous aime, et vous ne le prenez pas assez en compte parce que vous voudriez être une autre. C'est idiot. (Aimez-vous petite idiote (humour)))
Sur le fond, vous devez savoir, et je vous le répète pour la énième fois, que votre mari se déteste de se comporter ainsi avec vous, mais aussi quand il regarde du porno ou s'inscrit sur des applications diaboliques. Si vous voulez comprendre un peu mieux votre mari sur ce point, lisez cet article.
Or au moment où il va déverser sa haine sur le chien, sa haine de se comporter comme un animal, vous, vous l'en empêchez ! Vous devez comprendre que comme il n'a pas la foi, il a besoin de sacrifier quelqu'un, un objet, une chose. Ici, il veut sacrifier le chien pour expurger la violence qui est en lui. Et vous, qui êtes si passive d'habitude, c'est à ce moment là que vous intervenez ! Je ne comprends pas. Tant que votre mari ne sera pas croyant, il aura besoin de boucs émissaires. Et je pense qu'il est préférable que ce soit le chien plutôt que vous (j'ai connu une amie qui martyrisait un chat puis qui s'est comporté assez bien avec son enfant à la naissance). Certes, ça ne règle pas le problème de fond, et vous, vous vous identifiez au chien, à juste titre j'imagine. Cependant, je ne vois pas trop comment faire autrement que de le laisser battre le chien. Si vous avez une idée avec ce que je vous ai dit, creusez-la. Car là, j'atteins mes limites. Cependant, vous avez au moins l'explication. Faites en quelque chose de positif.
Ce que je ressens : vous n'êtes pas si transparente que ça puisque comme toute femme, vous voulez changer votre mari de fond en comble. Ne serait-il pas temps de le prendre un peu en compte tel qu'il est, et de l'accompagner sur son chemin de croix ? Lui aussi veut paraître plus haut qu'il n'est. Vous n'êtes pas ensemble pour rien. Commencez à donner l'exemple de l'humilité, acceptez-le dans son animalité et discutez-en avec lui. Dîtes lui que ça vous fait du mal qu'il se rabaisse à ça, qu'il va sur un mauvais chemin et qu'il va se perdre. Pensez d'abord à lui en somme.
Vous êtes transparente quand il devient animal. Il se transforme en une sorte de loup-garou qui oublie tous les méfaits qu'il a commis, qui oublie jusqu'à l'existence des personnes autour de lui. Cette idée de transparence, ça en dit plus long sur lui que sur vous : dans ses moments de rut, de pleine-lune, il n'est plus capable de se contrôler. Dans buffy contre les vampires, le loup-garou est enfermé durant les pleines-lunes. Lui-aussi doit être mis en cage à ces moments là. Je ne sais pas comment, mais comme nous tous, hommes, nous perdons le contrôle durant certaines périodes. Nous avons des cycles, comme les femmes, d'autant plus prononcés que nous sommes immatures et rattachés à notre mère de manière inappropriée. Et dans ces moments là, nous devons apprendre à nous méfier de nos réactions. Mais ça, il faut que ce soit un homme qui le lui dise, car cette idée serait trop violente à accepter de la part d'une femme. Ou tout au moins, faudrait-il savoir "l'enrober", ne pas parler directement.
Ne vous préoccupez pas du bruit qu'il fait, et avancez dans votre certitude, calmement. Vous êtes à l'avant du navire et vous guidez votre barque. Ce n'est pas lui qui vous mènera à bon port. C'est votre rôle de femme de le guider sur ces eaux tumultueuses. Ne lâchez pas le morceau. Si vous sentez ce que je veux vous dire, rien ne pourra vous faire dériver, ni lui, ni ses crises, ni son immaturité de petit garçon. Faites en un homme, tout doucement. Vous en retirerez les bénéfices plus tard.
M.D
Bonjour,
J'aimerais vous écrire mais j'aurais voulu savoir si il y a des choses que je dis qui sont pas obligés d'être répéter sur le site (une ou deux phrases)mais vous vous en aurez connaissance et du coup vous aurez tout le contexte pour pouvoir bien me répondre.Cela n'affectera en rien l'essentiel du message mais j'aimerais avoir votre avis sur plusieurs choses.
Bonsoir,
Tant que vous êtes anonyme, je suis prêt à tout entendre. Une fois, une mohamétane avait donné son identité. Je l'avais pourtant prévenue. Du coup, quelques semaines plus tard, elle m'a demandé d'effacer les messages. Ce que j'ai fait de mauvais gré. C'est l'avantage de l'anonymat : tout peut être dit. Et c'est ça, la vraie révolution de l'internet qui s'imposera dans quelques décennies puisque les pouvoirs en place reculent leur chute. Donc, je suis prêt à tout entendre et si vous êtes gênée par certaines de vos phrases, indiquez moi lesquelles, je les remplacerai par des ******. Mais je vous demanderais de ne pas vous gêner ici, ce serait ridicule. J'ai tout fait pour que ce site reste un des derniers bastions de liberté d'expression en France. Pourquoi ne pas en profiter pendant que c'est encore possible ?
M.D
(Vidéo) "#9 La question de l' I V G" Nos Majorum Amélie Menu du 03/10/2022.
Chaque intervention, et je dis bien chaque intervention renvoie à un problème social/général quand l'homme parle, et à un problème personnel quand la femme parle.
Dieu vous pardonne. L'enfant vit. Il est heureux.
C'est cette vision globale là qui fait que les hommes sont nuls dans l'intimité mais lorsque leur taux de divorce augmente parce que les femmes les quittent ce sont les femmes le problème.
Vous vous demandez pourquoi les femmes fantasment une famille sans homme. Vous n'êtes pas faciles à vivre. Cette réalité là, il faudrait que plus d'hommes ait l'humilité de l'admettre.
Tenez, dans les phases de rencontre, la moitié ne savent même pas apprendre à connaitre une femme. Ils la traitent comme "la femme" en général. D'où l'invention des pua et autres mgtow
Là encore, je suis d'accord et je me suis opposé clairement à cette attitude dans un autre article. Je ne défends pas les droits des hommes moi. Je ne suis pas dans une guerre contre les femmes, mais contre le féminisme. Par contre, si ces hommes veulent jouer sur des invariants féminins, je ne me vois pas non plus pourquoi je les en empêcherais. Beaucoup d'hommes sont démunis en vérité. Et si ça peut leur donner quelques repères...Maintenant, quoi qu'en disent tous les autres sites sur le sujet, et vous-mêmes, un homme quel qu'il soit, ne tombe amoureux que d'une personne particulière. Et si ces sites peuvent aider des hommes amoureux à comprendre les attentes de cette femme, en tant que femme, notamment en matière de sécurité durant la grossesse, je trouve cela positif. Il y a une manière positive d'envisager la drague comme dans le film avec Will Smith. Il y a une manière positive d'envisager le féminin comme dans la série "marié deux enfants" (c'est vieux je sais). Ces mouvements ne sont pas forcément positifs ou négatifs en eux-mêmes. Il faut voir à quelle idéologie, ils se raccrochent, sans qu'ils en aient parfois conscience.
Oh et le problème n'est pas de tomber amoureux d'une femme particulière...C'est de la traiter en tant que telle au quotidien. Comme les femmes font attentions aux particularités de tout un chacun dans leur famille. Pour nous, ça va de soi. Pour vous non. Très bien, d'accord. Les femmes doivent accepter ça et d'avoir à vous dire des choses qui leurs paraissent évidentes ( le fameux "les femmes attendent qu'on lise dans leurs pensées"Mais dans ce cas mettez votre ego de côté et lorsqu'une femme vous dit ce qu'elle veut n'allez pas faire autre chose. C'est ceux là qui s'étonnent "je ramenais de l'argent et je lui ai fait pleins de déclarations en grande pompe, pourquoi est-elle partie ?"
Oui mais maman n'est pas les femmes et les femmes ne sont pas mamans. On en revient au même problème d'être incapable de créer de vrais rapports individuels avec une femme en particulier.
C'est la difficulté pour un homme.
C'est bien ce que j'entendais par "entrer dans la particularité d'une femme". Vous pourriez exprimer votre point de vue de manière moins agressive. Comme tout homme, j'ai besoin d'être accompagné gentiment quand on me remet en question (:)).
Il était certes agressif, mais c'est vrai en même temps je ne pense pas que "les" hommes aiment "les femmes". Ils aiment leur maman.
Ils aiment les femmes à travers leur maman.
Mis à part mon premier commentaire sur ce site où j'étais remontée et je m'en excuse, je ne pense pas avoir été agressive. En revanche, je n'ai pas enrobé mes paroles de l'amabilité féminine, et je l'ai fait exprès pour étayer davantage mon propos. Si on se mettait à parler et à se comporter comme vous dans les conversations individuelles, vous n'apprécieriez pas cela du tout. Et puis, les hommes le prennent toujours plus mal quand une femme les contredit, bien plus que lorsqu'un homme le fait je ne sais pas exactement pourquoi mais c'est une chose que j'ai constaté. C'est très apparent dans les forums anonymes notamment, ils sont bien moins sur la défensive aveant d'avoir une idée de mon genre.
Je ne suis pas comme la plupart des hommes. J'aime énormément être contredit... avec des arguments. Les hommes qui n'aiment pas être contredits sont de petits garçons encore sous le giron de maman. Et si maman fait les gros yeux, ils n'aiment pas vraiment ça. S'ils sont attachés à la femme qui les contredit, ils finissent par lui donner raison, sauf si celle-ci cherche la dispute (et finit évidemment par l'obtenir). Et enfin, ces hommes aiment encore moins être contredits par d'autres hommes parce que cela les met symboliquement en opposition avec leur père. Or ils croient que pour pouvoir exister, il faut supprimer le père, ou bien, ils s'imaginent devoir régner sans conteste sur leur cheptel de femmes. Ce sont des immatures comme il y en a beaucoup trop en France.
Et oui, je faisais bien référence à votre premier commentaire. Les femmes arrivent toutes énervées sur ce site. C'est leur manière à elles de s'affirmer. Pourtant cela leur fait le plus grand bien d'être secouées un peu dans leurs certitudes.
"Je ne suis pas dans une guerre contre les femmes". Je suis sure que consciemment vous ne l'êtes pas mais on sent votre mépris sous-jacent pour le féminin (c'est une tendance masculine parce que l'exercice de la féminité doit paraitre sans effort).
Peut-être que je suis dure mais les invariants des femmes dont ils ont besoin pour moi c'est du bon sens : avoir un travail, une apparence soigné, ne pas se faire marcher sur les pieds... Je n'aurais rien contre ces sites s'ils ne propageaient pas par ailleurs des idées nauséabondes : l'idée comme quoi une femme vous lâchera pour la première option, c'est du grand n'importe quoi. Une femme vous laisse en général pour être seule et poursuivre des objectifs personnels.
A quel film de Will Smith faites-vous allusion ?
Je pensais à "Hitch".
Consciemment et inconsciemment, je n'ai aucun mépris pour les femmes. Je me bats au contraire contre l'attirance que j'ai pour elles. Et je crois que tout homme devrait agir en ce sens. Les femmes doivent faire des efforts pour s'attacher aux hommes, mais les hommes doivent faire des efforts pour prendre de la distance d'avec les femmes. Et je parle bien des femmes en général, de l'idée qu'ils s'en font avec leur mère. Le problème des sites d'incels ou mgtow, c'est justement cette dialectique qu'ils ont du mal à gérer. Ils n'arrivent pas à admettre le pouvoir qu'une femme peut/pourrait avoir sur eux (ou le pouvoir que l'absence de femme provoque sur eux pour les incels). Moi, j'en ai parfaitement conscience. D'ailleurs votre raisonnement est ici mimétique. Ce mépris dont vous parlez, est exactement celui que les femmes éprouvent naturellement envers les hommes. Elles trouvent souvent que la vie d'un homme est plus facile. Vous n'avez pas pris conscience de ce fait en vous. Vous n'avez qu'à songer à toute la rhétorique féministe sur l'insertion dans le monde professionnel, parce que c'était vécu comme un idéal de réussite, la volonté de calquer chaque comportement féminin sur le masculin, et vous comprendrez aisément quel est mon propos.
"Vous n’avez qu’à songer à toute la rhétorique féministe sur l’insertion dans le monde professionnel, parce que c’était vécu comme un idéal de réussite, la volonté de calquer chaque comportement féminin sur le masculin, et vous comprendrez aisément quel est mon propos." Il y a plutôt une impression que les efforts féminins ne sont pas reconnus. Ce qui est vrai aujourd'hui, à cause des féministes, je vous l'accorde. Plutot que du mépris je vois du ressentiment.
Lorsque je dis que l'exercice de la féminité doit paraitre sans effort je ne suis pas en train de supposer que l'homme le trouve sans effort. Je suis en train de dire que les femmes le font paraitre sans effort. Les patineuses artistiques sont légères, vaporeuses et gracieuses, on dirait qu'elles flottent et qu'elles sont nées avec leurs aptitudes. Leurs entraineurs leurs disent d'avoir l'air souriant et détendu. Sinon ça brise un peu la qualité de la performance... il n'y a pas cet impératif en hockey sur glasse par exemple. Ils font des efforts et ça se voit. C'est comme ça dans la vie de tous les jours (maternité "innée" vs homme accompli).
Les femmes veulent souvent ressembler aux hommes, en dehors de tout lesbianisme. Mais les hommes veulent rarement ressembler aux femmes, en dehors de pulsions homosexuelles. L'homme a déjà for à faire pour se sortir de l'emprise de/ l'attachement à sa mère, sans courir après des chimères.
Bonsoir M. Durandal,
Une femme, belle, Démocrate, de gauche, Américaine, ayant récemment quittée la politique fédérale américaine (oui, ça existe) :
Trump Supporters Storming the Capitol Reaction (Pt. 1) | Tulsi Gabbard | POLITICS | Rubin Report - YouTube
The Reality of Working with the Squad & Democrats (Pt. 2) | Tulsi Gabbard | POLITICS | Rubin Report - YouTube
Cordialement,
Cyrus
3e partie (complète) : Ex-Congresswoman Exposes the Reality of the DNC & Govt. | Tulsi Gabbard | POLITICS | Rubin Report - YouTube
Cyrus
Bonsoir M. Durandal,
Un acteur sensé dans un pays un peu plus honnête que la France : Denzel Washington: The Only Hollywood Star Telling the Truth About Race | Larry Elder - YouTube
Cordialement,
Cyrus
M Cyrus,
Evidemment, il ne va pas de le sens de la pleurniche gauchiste pour s'acheter un électorat et ça fait du bien. Oui, il faut faire tout à l'inverse du gauchisme, du socialisme, absolument tout à l'inverse.
M.D
"Dans les affaires d’agressions sexuelles, avez-vous entendu parler de l’« himpathy » ?" L'Obs du 05/01/2021.
Imaginez, cette femme n'envisage le délit que sous deux formes : le dénigrement ou l'empathie. Jamais elle ne se pose la question de la loi, du respect des droits humains, de la victime comme de celle du bourreau. Ainsi notre société féminisée s'est complètement hystérisée au fur et à mesure de l'accroissement du totalitarisme féminin. Et il ne reste plus que la défense d'un humain qui nous semble sympathique contre une forme de lynchage. Un homme doit se situer au-dessus d'un tel débat ridicule.