Il a dû voir ses filles confiées à une mère déséquilibrée. Puis il a dû renoncer à voir définitivement ses enfants, lui qui avait été le seul à s’occuper d’eux depuis leur naissance. Quand il a cherché à avoir des contacts au téléphone, il s’est fait insulter et menacer par le nouveau compagnon de son ex. Et enfin, il a fallu qu’il accepte de voir sa fille mourir. Entre temps, il aura appris que la famille décomposée à laquelle on avait confié ses petites, les avait allègrement battues, que le couple maudit en avait tué une, en se faisant plaindre par l’ensemble de la France, tout juste avant qu’on ne découvre la terrible vérité.
Mais ce n’est qu’un fait divers me diront ces salopes de féministes. Jamais celles-là ne se poseront la question de savoir comment un tel enchaînement de circonstances a été possible. Jamais elles ne voudront voir l’accumulation d’erreurs de tout un système, et sa faillite seule, qui peut expliquer un tel résultat. Tout d’abord, comment a-t-on pu faire confiance à une femme volage comme la maman de Fiona, qui préférait briser sa famille pour suivre ses instincts plutôt que de rester avec un papa qui s’occupait bien de ses filles ? Combien sont-elles de ces salopes qu’on prend aujourd’hui pour des saintes dans notre société ? A cause de qui les prend-t-on pour des saintes si ce n’est grâce à ces féministes qui en ont fait l’éloge à travers la célébration de la séparation, comme si, la plupart des séparations n’étaient pas des questions d’ego plutôt que de maltraitance des femmes ? D’ailleurs ici, la mère de Fiona, épuisée par la féminisation de son mari, féminisation elle-même encouragée par tout une société féministe, a été retrouver un vrai mâle, un qui la battait et qui a étripé une de ses filles et bien amoché l’autre. Oui, elle a préféré cet homme violent, ce Berkane Makhlouf, à la seconde mère que les féministes lui avaient vendu quand elle était encore naïve et crédule. Elle s’est prise pour une femme moderne en suivant ses instincts, pour n’en retourner que plus violemment à sa nature profonde. Elle a voulu être prise violemment quelqu’en fussent les conséquences, s’écartant de son françaouis de mari dégénéré. Le féminisme est une régression infantile. Il se traduit par un retour au bon sens qui finit souvent dans le sang. A nier la nature des hommes et des femmes, le féminisme n’a pas permis d’atteindre une utopie, il a engendré un retour à nos plus bas instincts, au mieux, et ce pour que nous puissions, dans quelques décennies, quand nous aurons pris conscience du mal qu’il engendre, redevenir enfin des hommes et des femmes différenciés mais éduqués dans leur propre culture sexuée.
Les pères féministes.
En effet, qui sont ces hommes parfaits qui acceptent de voir leurs enfants crever sans se battre ? Qui sont-ils ces fiottes qui engrossent une vache pour se laisser ramener quelques années plus tard à l’état de simples reproducteurs ? Ils sont ces hommes qui n’ont même plus de bestialité en eux, qui ne sont plus des hommes, qui se feraient rouler dessus par n’importe quelle traînée et qui en redemanderaient encore. Dès lors, comment ne pas comprendre ces femmes qui leur marchent sur la gueule quand ceux-là ne savent plus se battre, quand ils trouvent « qu’il y a vraiment trop de différences salariales entre les hommes et les femmes » tandis que les femmes de leur entourage leur sont moralement, socialement, et économiquement supérieures. Pauvres types. Ils se comportent en femmes comme on leur demande, ils se font quitter comme de vieilles merdes, ils voient leurs enfants maltraités, et ils continuent tout le temps à se dire féministes, à garder un langage policé, à attendre qu’on leur donne leur sussucre. Si la mère de Fiona n’est pas loin du règne animal féministe, le pire dans cette histoire, au final, c’est ce père. Avait-il rejoint une association de père pour se battre ? A-t-il conchié le système quand on lui a tendu le micro ? A-t-il seulement eu une larme de rage devant les caméra ? Non, il pense seulement à récupérer l’enfant qui lui reste. Son avocate lui a probablement dit de bien se comporter devant les caméra s’il voulait les retrouver. Elle avait parfaitement raison d’ailleurs, et il s’est exécuté. Nos gentilles féministes l’auront certainement trouvé très digne, la juge aux affaires familiales aussi. En attendant, la vérité n’éclatera pas cette fois encore. Je vous dis, cet homme n’a plus rien d’humain. Et tous ceux qui n’ont plus la force de s’assumer, de se sacrifier pour la société et de se battre, eux-aussi n’ont plus rien d’humain. Sans sacrifice, rien n’est obtenu, tout continuera comme avant. Un auteur a écrit que le dernier stade de la civilisation chez un être, c’était de laisser des barbares entrer dans sa maison, les laisser tout dévaster, violer, piller. Nous sommes de ces hommes. Nous laissons des femmes partir à la moindre lubie, nous laissons des juges confier nos enfants à n’importe qui, nous acceptons que nos femmes forniquent avec le premier sauvage qui passe pour peu qu’il soit un peu plus viril que nous. Certains de ces hommes venus d’ailleurs ont encore conservé cet instinct de leur propre masculinité et même si c’est un instinct dégénéré, il faut dire qu’il reste encore un espoir pour eux, un espoir de s’élever, de devenir des hommes éduqués. Mais nous, qui n’avons d’homme qu’un maigre cornichon entre les jambes, nous devrions nous cacher de honte quand nos enfants veulent nous appeler « pères ».
Sortir de la défiance à l’égard des pères.
Ce n’est pas en ressassant sans cesse que nous sommes des gentils hommes, que nous sommes féministes, que nous sommes épris des femmes que nous nous trouverons une virilité et que nous rassurerons la société. L’exemple du père de Fiona est flagrant. Il s’est couché devant sa femme, devant toute la société, et il n’a rien obtenu, que la mort de sa fille. Désormais, il essaie de profiter d’une audience médiatique bien macabre pour récupérer son autre fille, placée chez les grands-parents maternels de la tueuse. Ceux-là ont raté l’éducation de leur fille, mais le juge a osé leur confier le dernier enfant du couple, à eux, plutôt qu’au père. Ce père calme devant le caméra, pourquoi n’ose-t-il pas dénoncer plus clairement cette situation ubuesque si ce n’est parce qu’il perdrait tout espoir de revoir son enfant en disant la vérité ? Notre société détourne les yeux d’un scandale trop évident. Alors imaginez quand le drame n’est pas médiatisé, quand le massacre prend des années à détruire des enfants, quand la torture se prolonge… Dans ce cas, la chance d’un père de revoir légitimement ses enfants est nulle. Quelques insinuations de féministes dans l’entourage du père, évoquant une pseudo violence ou seulement qu’il « doit avoir des choses à se reprocher pour ne pas voir ses enfants », suffira à conforter tout un système dans ses certitudes sur le pauvre bougre.
Le deux poids deux mesures.
Nous avons tous « des choses » à nous reprocher, mais jusqu’à preuve du contraire, cet homme qu’on avait privé de tout, était simplement une pauvre cloche féministe. Si la société lui avait fait confiance, il aurait certainement continué à donner de l’attention à ses filles comme avant, même si ce fût de manière malsaine en leur montrant l’exemple pitoyable d’un père féminisé. Mais au moins il ne les aurait pas tuées, contrairement à cette mère, contrairement à ces juges, contrairement aux féministes qui leur donnent des cautions à tous. Oui, ce papa les aurait couvert de baisers, il leur aurait donné trop d’attention, il aurait continué à les accompagner à l’école et à leur faire leurs repas, sans leur donner de règles bien établies pour s’intégrer face au monde. Il aurait été maladroit, mais présent. La société a préféré miser sur la folie totale d’une mère de famille dont il était facile de constater qu’elle était déséquilibrée rien que par le fait qu’elle désirât priver ses filles à tout prix de la présence de leur père. Lui aussi payait sa pension, lui aussi fermait sa gueule, lui aussi s’est couché, lui aussi a essayé de nouer des liens avec ses filles dans des conditions déplorables. Comme les autres, plus que les autres, il n’a obtenu que la mort de ses enfants. Nous venons d’apprendre que la sœur de Fiona, était elle-aussi battue, quelle surprise ! L’aide social à l’enfance devrait finir le boulot que la justice aux affaires familiales a déjà bien entamé, en mettant le dernier enfant qui leur reste à massacrer, dans une famille d’accueil ou en le laissant chez les parents de la mère homicide. Quant à vos quotidiens féministes, n’en parlons même pas, eux qui ont montré ces mères de familles aller déposer une fleur en l’hommage de la petite Fiona, et qui ont trouvé cela touchant, ces mêmes mères qui quelques années auparavant avaient certainement signé tout un tas d’attestations pour que la mère homicide puisse facilement martyrisé ses filles par l’intermédiaire d’un partenaire sexuel quelconque, tout cela parce qu’elle était mère, tout comme elles, et qu’entre femmes, il faut se soutenir face à la gente masculine. Tous et toutes, de belles pourritures, dotées d’une conscience vierge de toute culpabilité, tout comme nos juges, tout comme l’aide sociale à l’enfance quand il s’agit de traiter équitablement (et je n’ai même pas dit de manière égale) les pères.
Voilà ma colère est forte, car encore une fois, nous allons rester encore comme des cons face à l’incompréhension puérile d’une société qui ne voit que par les femmes et qui ne favorise que l’oppression des hommes, ici des pères. Personne n’accusera, personne ne dira, parce que paraît-il il faut aimer avant de juger. Eh bien non, quand on ne sait pas où est le mal, on ne sait pas où est l’amour non plus. Aujourd’hui, sous prétexte d’amour envers nos femmes, nous en sommes arrivés à laisser nos filles crever. Jolie compassion que je vous laisse, vous sans morale, vous qui ne croyez pas que le mal existe, vous qui parlez toujours de droits des femmes et jamais de leurs devoirs, vous qui au final, ne savez plus aimer, vous, saloperies de féministes. Cette société du divorce et des avortements, du mariage homosexuel, et du droit de tous sur les plus faibles, est une société inhumaine, débile, basse, régressive et qui va d’un seul mouvement, toujours plus bas, en dessous de notre animalité.
Pour toutes ces raisons, il est temps que la société soutienne enfin les hommes et les pères en particulier dans leurs familles. Il est temps que le père de Fiona retrouve sa fille, aussi féminisé soit-il, et que le couple homicide aille reposer durant une très longue période, derrière les barreaux. Ainsi, le simple bon sens devrait gouverner notre société pour que nous retrouvions un semblant de cohérence.
Références :
Les débuts de l’affaire Fiona : Express 26/09/2013
Le père de Fiona ne pouvait plus voir ses filles à cause de la mère. Elle le « renvoyait chier » selon ses propres termes, et le nouveau compagnon de la mère l’insultait et l’empêchait d’avoir des contacts même téléphoniques : Auvergne France 3 du 25/09/2013
Bagarre autour de la résidence, pauvre maman qui a quitté tous le père de ses enfants pour aller vivre un enfer ! Figaro du 30/09/2013, La mère de Fiona sous l’emprise de son compagnon.
La mère de Fiona a enterré son enfant, mais elle l’aimait : Figaro du 02/10/2013
Et pour aller plus loin :
Articles connexes Brice Bernard, les filles mères open cuisse, ou encore ici sur les familles monoparentales.
Elle emmène l’enfant à son beau-père pour qu’il se fasse violer au parloir : DNA.fr du 23/09/2013
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