L’état français encourage les séparations puis soustrait les enfants aux familles

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Prenons la dernière loi française qui fiscalise les pensions alimentaires que les pères payent très majoritairement aux femmes, et qui défiscalise ces mêmes pensions alimentaires que les femmes reçoivent. Le message punitif est clair. En dehors de toute apparence de légalité, l’homme doit payer deux fois, trois fois si l’on compte les impôts. Il doit payer la pension alimentaire, il doit payer de l’impôt sur de la pension alimentaire qu’il donne, et il doit payer de l’impôt sur les revenus qui lui permettent de payer la pension alimentaire. Tout cela pour éviter que des mères célibataires ne payent d’impôts sur des pensions alimentaires, alors qu’elles n’en payent déjà pas (part supplémentaire pour les enfants, pour le statut de mère isolée etc.).

Je l’ai déjà dit maintes fois aux hommes : il n’y a pas de limite à l’effondrement ni à l’oppression étatique sur leur personne, si ce n’est par une reprise en main du pouvoir politique et familial à leur initiative. Si vous attendez que notre système féminisé en bout de course, nous appelle, pour résoudre les problèmes dont il se nourrit, vous attendrez longtemps. Nous continuerons à être l’éternelle variable d’ajustement, ou bien nous serons appelés juste pour permettre aux femmes de survivre, sur notre dos. Nous, ou des hommes venus d’ailleurs. Car les pauvres chevaliers maman que nous sommes devenus, sont déjà remplacés par des sauvages, qui ont au moins l’avantage de la brutalité auprès de ces dames. Entre état nounou, retour tribal et charia, cette féminisation prend de plus en plus des atours hystériques, ces dames hésitant ouvertement entre la protection de l’état, l’affaissement civilisationnel et la protection de l’islam.

Mais que le père nourricier se rassure pour l’instant, la dite loi a peu de chance d’être jugée constitutionnelle. Certes, les lois récentes ne le sont plus tellement. Seulement, il faut au moins préserver l’apparence de la légalité. Or cette loi va trop loin. Elle s’attaque à la construction des règles fiscales établies. Elle sera toujours comme une épine aux pieds du randonneur étatique, qui finira par s’en débarrasser à tout prix. Notre état démocratique corrompu abuse de ses administrés, souvent plus qu’une dictature, encore faut-il que son image démocratique ne soit pas trop écornée. A cause de cette unique contrainte, la loi ne tiendra pas. Cumuler tabassage fiscal et incohérence dans les règles de droit, créerait un précédent bien trop dangereux pour nos institutions…

Il n’en reste pas moins que le message envoyé est clair : le statut de sous-citoyen de l’homme par rapport à la femme, ne doit pas connaître de limites dans la pratique, même s’il est apparemment contenu dans les lois. Et les conséquences d’un tel état d’esprit est clair depuis des années : favoriser les séparations entre hommes et femmes. Certes, le but n’est pas assumé ni conscient. Pourtant, voilà à quoi nous a mené cette (sur)protection des femmes. Les résultats obtenus sont éloquents en termes de stérilité ou de célibat.

La liste des mesures qui décourage les unions est sans fin. Les risques financiers au moment du divorce sont multiples. Les séparations avec enfants se transforment en pugilat dont l’homme sort presque toujours perdant. Le travail salarié des femmes, parfois devenu nécessaire, obère la vie familiale, tout comme la mobilité professionnelle qui coupe les relations avec la famille élargie. L’homme n’est plus reconnu comme le chef de sa famille depuis 1970, et ne peut plus prétendre au statut de « bon père de famille » depuis 2014 (notez la prudence du législateur, qui l’a mis à nu, mais a attendu 44 ans pour le dépouiller sereinement de ses dernières obligations particulières, au cas où, les femmes modernes, ou l’état, auraient encore eu, par malheur, besoin de le valoriser de nouveau). Le patronyme n’est plus une obligation, et les enfants de ces dames peuvent prendre les noms et prénoms les plus farfelus, sur simple déclaration à la mairie depuis 2022, brouillant ainsi la filiation (quand les femmes prennent le pouvoir, l’inceste se répand partout). Bref, le père n’est plus rien, ni symboliquement, ni dans la réalité, et les femmes peuvent régner sur un tas de cendres qui les épuise ou les dégoûte, quand elles ne sont pas abandonnées par ce minable qui les rassurait avant dans sa médiocrité. Plutôt que d’éviter la séparation, nombre de personnes en sont arrivées à la conclusion qu’il valait mieux ne pas se marier et ne pas avoir d’enfants, ou très peu, ou les avoir seuls en ce qui concerne les femmes, ce qui ne fait que retarder et accentuer la dégénérescence.

Mais allons un peu plus dans le détail et allons où ça fait mal à nos contemporains. Pourquoi un homme devrait assumer financièrement pour des enfants qui ne sont plus sous son toit ni sous son autorité ? Incompréhensible sauf du point de vue de la pauvre mère éplorée incapable de se débrouiller sans son ex-mari. L’obligation de pension alimentaire est à elle-seule une attaque d’ampleur contre l’autorité du pater familias, et donc la famille, car une famille sans homme à sa tête n’a rien d’une famille.

Il faut dire qu’en l’espèce, il faut choisir. Et entre la pov’femme et le patriarcal, pas de conciliation possible. Ce qui est pris à l’un est donné à l’autre au moment de la séparation, en l’occurrence à la femme. Le législateur s’est ému de laisser une femme soit disant sans pouvoir face à son mari dans ce genre de situation. Il ne s’est pas ému de favoriser des femmes vénales, ne vivant qu’à travers leurs enfants, détruisant au passage l’autorité paternelle, et prenant en otage leur progéniture. La tentation est là pour une femme, puisque la loi l’y invite, de se séparer d’un encombrant qui n’a plus d’utilité, tout au moins financière. Et dans la très grande majorité des cas, c’est elle qui se sépare de cet homme qu’elle avait choisi pour la vie, sans en subir les conséquences, ou si peu. Car l’état tente de palier tous les besoins de ces dames en la matière, en tondant le contribuable masculin. Il ne faudrait pas qu’une seule mère en france, subisse la contrainte matérielle. Au nom de quoi ? Pour qu’elles acceptent de continuer à pondre bien évidemment. Car sans enfants, pas d’administration, et plus de pouvoir donc. D’où les allocations, subventions au logement, assistantes sociales et juridiques, les plaintes incessantes de privilégiées, qui se rajoutent au système judiciaire pro-mères sus-évoqué.

L’argent, l’argent, l’argent… tout ce système féminisé ne voit que par l’argent, puis s’étonne de la stérilité des femmes, après avoir anticipé sur tous leurs possibles caprices. Or l’argent ne fait pas la famille. Les pauvres qui pondent en masse, sans un pécule de côté, nous le prouvent tous les jours. L’argent est une obsession toute féminine, un moyen de s’approprier une richesse toute masculine, en faisant du chantage aux ventres. J’en parle d’autant plus facilement, que cette revendication de subventions aux familles, est portée par des personnes qui se disent de mon camp, de droite, alors qu’elles ne sont que de ces socialistes qui s’ignorent. Donner de l’argent aux femmes permet de les faire pondre, à court terme. A long terme, cela engendre une stérilité de masse car la succession des générations n’est plus basée sur l’amour. Dieu bénit les pauvres aussi de cette manière.

Toujours est-il que la riche occidentale s’éloigne de plus en plus de ces considérations. A chaque nouvelle mesure qui la favorise, elle accepte de voir son homme, le père de ses enfants mis sous sa coupe, en se disant qu’elle aura toujours la possibilité de le légitimer ou pas, pour de bonnes raisons. Elle le rançonne dans le même état d’esprit. Elle se dit que les maris n’ont qu’à mieux choisir leurs épouses s’ils ne sont pas contents, ou qu’ils n’ont qu’à changer les lois, et le tour est joué. L’irresponsabilité est générale. Le chevalier maman qui vote les lois lui donne la main. Pourquoi s’embêterait-elle à le contredire ?

Or si le couple n’est pas ramené sur terre par quelques considérations financières, reste la passion pour le cimenter. Cette passion si fragile, si dépendante de circonstances, si volage…Face à une telle « évolution » de l’opinion publique et des moeurs, la décadence progresse. Les folles continuent à provoquer des séparations. Rien de neuf sous le soleil. Puis, les femmes vénales excluent le père de leur enfant puisqu’elles n’en ont plus besoin financièrement. Puis les femmes passionnées s’en lassent, veulent du changement, et s’en séparent aussi. Ne restent que les femmes qui ont des « valeurs », qui résistent, valeurs qui leur ont été transmises par leur père, pères amoindris, femmes qui ont de moins en moins de valeurs, générations après générations, femmes qui finissent elles-aussi par divorcer. Vous le comprenez, nous n’en sommes absolument pas arrivés à la situation conflictuelle/stérilité entre hommes et femmes par hasard. C’est une mécanique implacable basée sur l’accaparement du rôle de père par l’état.

La manière que nous avons eu de socialiser les richesses n’y est pas étrangère non plus. L’imposition d’état provoque une hausse artificielle de la consommation, mais qui prive les individus de choisir leur vie. Les dépenses sont contraintes. Des normes de construction sont votées en ce sens et le niveau d’imposition sur les revenus, la propriété, la consommation laisse peu de marge de liberté. Privé de choix, le citoyen d’un pays socialiste travaille progressivement pour l’état et en devient l’esclave. Et comme tout à chacun doit le savoir : « Les esclaves n’ont pas d’enfants ».

Prenons le « problème » des violences conjugales. L’état féminisé qui a pour vocation de contrôler l’intime selon des critères féminins, met en œuvre tout un tas de centres d’accueil et de lois protectrices au bénéfice des femmes violentées. Qu’importe que ces violences soient provoquées par des femmes instables. Dans le délire féminisé qui est le nôtre, notre société fait comme si ça n’existait pas. Du coup, si vous enlevez de ces centres, les femmes psychologiquement déséquilibrées, qui ont cherché les coups, si vous enlevez toutes celles qui se servent du système social pour vivre sur le dos des hommes, il reste quelques femmes effectivement là parce que leur mari est violent. Si je pensais comme une femme, je pourrais leur répondre qu’elles n’avaient qu’à mieux choisir leur mari. Mais je me défie d’une telle brutalité. Je voudrais juste faire remarquer que quelques victimes justifient l’existence d’un système dont elles bénéficient moins, parce que leur mari est si instable qu’il fait peur à tout le monde, système étatique inclus. Les vrais pervers s’arrangent toujours pour manipuler les sentiments des intervenants sociaux et de leur femme, dans un sens ou dans l’autre. Souvent, seuls les innocents sont mis à l’index et servent de caution à la perpétuation d’une mécanique inique qui en est arrivée à expulser un mari de son logement sur simple déclaration d’une femme, juge et partie.

Et puis que dire des provocations aux coups qui permettent à n’importe quelle femme d’obtenir un jugement en sa faveur ? Elles sont si faciles à mettre en œuvre, pour un résultat si probant… Là encore, il faut être une sainte pour ne pas y avoir recours. Et les femmes ne sont pas des saintes.

Tout fonctionne ainsi dans notre pays, et dans tous les pays occidentaux qui suivent notre chemin. A coup de bonnes intentions envers les femmes, la corruption généralisée y est encouragée par l’état. L’état français sème la zizanie dans tous les couples au nom de quelques situations d’abus irréductibles et de drames personnels inhérents à l’humanité. Il justifie de son existence ou plutôt de l’existence de tous les fonctionnaires qu’il emploie, grâce une utopie salvatrice du mal, du mâle, comme si aucune autre institution, notamment familiale, ne pouvait permettre une résilience en cas de drame, et surtout, faire mieux que lui. La famille, pour l’état, doit donc se réduire à la mère et à l’enfant. Il en exclut le père comme possible fauteur de troubles. Plus de père, plus de problème avec les pères.

Voilà qui justifie que les séparations se doivent d’être indolores pour les femmes. De là à dire que l’état les y encourage, il n’y a qu’un pas que je franchis allègrement. Celui-ci traite les femmes en éternelles enfants et ne peut s’étonner dès lors, des abus qui s’en suivent. Cet état les autorise par exemple à pondre auprès de plusieurs pères différents, à les rançonner tous, et tous leurs bâtards toucheront un égal héritage de leur « père ».

Et que dire du travail des femmes encouragé là-aussi par les lois (crèches, écoles maternelles, congés etc.)  ? A titre personnel, un homme qui travaille, le fait pour sa famille. Une femme qui travaille finit par s’en détourner. Ainsi nous voyons actuellement se développer dans tout l’occident, un mouvement dit de childfree, de femmes qui refusent carrément d’accéder au statut de mère. Elles préfèrent leur travail salarié. L’enfant est une telle contrainte pour elles !

Quelle dégénérescence en 3 générations. L’enfant qui était une richesse quand l’état s’occupait beaucoup moins des questions familiales, est désormais perçu comme une contrainte. L’amour, si cher aux femmes, s’est envolé, le pays avec. Par contre, vous avez toujours des gens de « droite » pour vouloir solutionner ce problème en réclamant un salaire de mère, c’est à dire en allant toujours plus loin dans l’intervention de l’état, et en éloignant toujours plus le père de la famille et en lui substituant l’état. Le communisme n’a pas marché. Allons vers plus de communisme ! Voilà quel est le projet actuel de l’avant garde de l’opposition au socialisme en france !

Le conflit parental rapporte aux femmes. Il coûte très cher aux hommes. Mais il coûte bien plus encore aux enfants. Drogue, anti dépresseurs, suicides, affichage de sa maladie dans les rues ou sur les réseaux sociaux. Notre société féminisée va très mal mais elle se donne deux moyens pour éviter de se réformer : le déni et le produit chimique. Impossible de guérir la masse des entrants malades, alors l’état prescrit des drogues ou normalise des comportements maladifs (obésité morbide, handicap, délires identitaires etc.) pour mieux faire croire aux électeurs que notre démocratie corrompue peut répondre à leurs attentes. En vérité, au fur et à mesure que l’état n’assure plus ses missions régaliennes, il a d’autant plus la prétention de contrôler nos vies afin de pourvoir à notre bonheur. Non merci. Vous avez fait le maximum, mais on va se passer de vos services. Jamais l’état ne constituera famille. Jamais l’état ne remplacera la famille comme ses tenants d’extrême gauche le fantasment. L’état n’est même pas capable de se soustraire à ses déterminismes et il voudrait soustraire l’enfant aux déterminismes sociaux et familiaux ! Car voilà le fond de l’affaire : il faut se servir des femmes comme de poules pondeuses de petits citoyens favorables à l’état. Les uns et les autres croient en leur toute puissance. Ils feraient bien tous les deux de baisser d’un ton.

Car la gestion des enfants par l’état, notamment après une séparation, est catastrophique. Ces situations humaines dramatiques engendrant leur lot de misère, les services sociaux sont parfois appelés à la rescousse, pour le pire. Il n’y a pas d’échec plus ignoble que celui de la protection de l’enfance en france, qui a la prétention de prévenir les abus, et qui les génèrent à la pelle. Sous couvert d’empêcher les enfants d’être pris en otages par des parents déficients, tous les enfants de france sont considérés comme propriété par défaut de l’état. Ce dernier peut se les approprier du jour au lendemain parce qu’il contrôle la justice, l’assistance publique, et que des députés ont voté des lois qui lui sont particulièrement favorables. Dès lors, l’état ne pouvant pas se tromper, tous les abus se répètent à l’infini. La protection de l’enfance échoue, mais il faut plus de protection de l’enfance. 

La famille élargie est la seule solution viable en cas de manquement d’une des branches de l’arbre généalogique. Par le passé, quand une famille connaissait un drame, les enfants étaient répartis largement au sein de la famille. Les voisins prenaient aussi le relais. Seuls quelques orphelins ne trouvaient pas place dans ce système, et l’Église s’en occupait.

Comme dans l’instruction, comme dans la santé, tout allait assez bien avant que les lumières de l’état ne s’en mêlent et favorisent des situations d’abus généralisées qu’elles étaient sensées prévenir. Désormais, l’enfant injustement retiré de sa famille n’est pas rare (lisez les commentaires de l’article sus mentionné). Voilà qui constitue un viol de la pire espèce (quand cet enfant n’est pas directement violé dans les centres de l’assistance publique ou par des familles d’accueil maltraitantes), tandis que pas mal de situations alternatives pourraient être envisagées. Mais non, il faut prouver que l’état est fort, qu’il peut tout, et qu’il a réponse à tout. Comme l’immigration de masse, la « protection de l’enfance » par l’état n’est pas une structure de péché, non non.

Les contraintes matérielles qui doivent peser sur les mères ne sont pas mauvaises. Elles font partie de la vie. Vouloir soulager les femmes de toutes épreuves, vouloir les infantiliser a abouti à de nombreux désordres dans notre société. Sans parler des pères ou des enfants, ce mouvement a encouragé les séparations qui ont favorisé à leur tour le pouvoir de l’état, et une stérilité de masse. La perversion continuera tant qu’il y aura des personnes en france qui croiront que l’état (ou l’argent) est la solution à tous leurs problèmes.

A l’inverse, si nous voulons que notre société prospère, et pourquoi pas, redevienne une civilisation digne de ce nom, il est temps de priver les femmes d’une partie de leur pouvoir, de force certainement, car il n’est plus possible de traiter objectivement avec de petites princesses écervelées dénaturées depuis plus de 3 générations. Ce sera leur rendre service malgré elles. Nous en ferons des adultes et des partenaires viables plus tard. L’urgence est pour l’instant, à la perpétuation de la race. L’islam n’a jamais cessé de le comprendre. Nous, catholiques, devrons prendre exemple sur lui puisque nous avons trop déchu pour être plus ambitieux.

Au fur et à mesure que la marée de la richesse artificielle va continuer de se retirer, nous allons prendre conscience de qui est nu, et de qui ne l’est pas. C’est à ce moment là que nous aurons des choix à faire. Pour l’instant, nous ne percevons que la stérilité (enfin, des gens comme moi), les fins de vie déplorables et abrégées de force, la faillite des systèmes de santé et d’éducation, l’immigration de masse qui ne remplace rien ni personne, et ne résout aucun de nos problèmes. Bientôt nous verrons la question spirituelle réapparaître. Et nous devrons bien en conclure que même au milieu de la richesse la plus effroyable, il n’y a jamais de civilisation sans patriarcat. Seuls ceux qui l’auront compris auront les moyens de nous faire échapper à la terrible régression tribale en mouvement actuellement.

 

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