Actuellement, les gens de bon sens n’ont pas de représentation politique. Avec l’assassinat de Nahel nous sommes pris en otage par tous les sauvages qui ont décidé d’en découdre. Tous ils ont raison. Plus un brin de catholicité en eux. Plus d’issue pour notre société, qu’un lent dépérissement où il faut s’afficher comme victime pour exister, ne jamais assumer sa culpabilité.
Puisque l’époque est au soulagement des tensions sur « l’autre », moi aussi j’ai envie de taper. Sur tous les policiers frustrés, car il en faut de la frustration pour abattre un énième jeune con qui leur a fait la nique. Ces membres des forces de l’ordre défendent un national socialisme républicain dont ils sont les cocus et qui désormais, n’est même plus nationaliste. Tous ces uniformes trop bien éduqués qui ont participé à détruire le père de famille, à plumer le contribuable, taper sur toute contestation sociale de manière indistincte, la manif pour tous, les gilets jaunes, parce que vous comprenez, ils étaient payés pour ça, et qui ont souvent agi avec zèle, comment pourrais-je oublier la faillite de leur corps et toutes leurs compromissions individuelles ? Et l’hypocrisie des gouvernements socialistes qui leur laissent tout faire en sous-main, parce qu’ils défendent leur pouvoir, mais qui est impitoyable à leur encontre s’ils font preuve d’une liberté de conscience ou de ton, ou encore lorsqu’ils sont pris la main dans le sac, croyez vous que ceux-là valent mieux ?
Les donneurs d’ordre faussement empathiques, ils sont pires que ces policiers chiens de garde du système, pourtant devenus menteurs et falsificateurs de procédure parce qu’ils ne croient plus en la justice de leur pays, et qu’ils voudraient se faire justicier en plus de policier. Je m’étonne souvent de voir combien ceux qui ne croient plus dans le droit, sont les premiers à l’exercer, juges compris, prenant des décisions de plus en plus politisées, parce que vous comprenez « on a plus de moyens, il est de droite, il a les moyens, il faut défendre les gentils contre les méchants, la prison n’est pas la solution (ce qui n’est pas si faux), ça ne sert à rien de condamner celui-là (il est vrai qu’il ne sert à rien de vouloir plumer un oeuf) ». Ces policiers ne devraient pas céder à l’ambiance. Ils devraient tenir le coup, donner l’exemple. Or en vérité, leurs chefs leur montrent chaque jour qu’il est idiot de vouloir y croire. Alors parfois cèdent-ils au cynisme ambiant.
Et puis que dire de ces banlieusards dans leur trou. La fille mère de Nahel, s’appelle Mounia. Encore une putain de fille mère, en plus étrangère, qui s’est faite engrosser en cédant à l’appel de ses ovaires et dont l’enfant se retrouve sans éducation quelques années plus tard, hostile à toute forme de règles et cherchant ses repères auprès des policiers, les seules figures masculines d’autorité qu’il rencontrera au cours de sa vie. L’enfant provoque, et le policier à qui il est interdit de lui coller une bonne baffe salutaire, parce que nous sommes dans un système féminisé, tire, préférant le pire au statut quo, à l’absence de politesse si chère aux Français, aussi parce qu’il anticipe une forme d’immunité cautionnée par sa hiérarchie socialiste. Les systèmes féminisés sont véritablement des bouges. Il ne faut pas choquer les mamans. Il ne faut pas prendre de risque. Mais il faut que tout soit sous contrôle, jusqu’à la plus éminente des tyrannies. Le système qui a tué le fils de Mounia, est le même qui l’a subventionnée et encouragée dans ses conneries, puis qui va sanctionner le policier qui aura craqué. Pas de violences contre les personnes, jusqu’à l’émeute.
Mounia, elle parade en moto après la mort de son fils, faisant vrombir le moteur de la bête durant la marche blanche en l’honneur de son fils assassiné, manifestement heureuse d’être enfin au centre des préoccupations de tout le monde, trônant sur la foule avec son fumigène. Si c’est pas de la misère humaine ça. Avant la mort de son fils, elle avait certainement l’impression d’avoir raté sa vie. Et pour cause…
L’extrême gauche dénonce un crime raciste. Mais j’ai rarement vu plus blanc que Mounia. Le policier savait qu’il faisait face à un banlieusard, moins certainement à un Arabe qui portait d’ailleurs un prénom breton, d’origine juive. Ca ne s’invente pas. Ou quand le désir de bien faire (s’intégrer) se mélange à la pire des manières de procéder. Le policier n’a pas fait feux sur un bougnoule. Il a tiré parce que ce jeune était incorrect et que pour un Français, il n’y a pas pire comportement. Les jeunes de banlieues le savent le sentent d’ailleurs. Et ils jouent de ce genre de provocation pour se donner de l’importance. C’est réussi.
Mais invariablement, l’extrême gauche parlera de racisme. Il faut qu’ils foutent la merde ceux-là, inévitablement, qu’ils rajoutent à un chaos dont ils sont les principaux responsables, stars d’opérette vivant à l’étranger incluses. Car sans eux, il n’y aurait pas eu cette immigration folle permettant au grand patronat de faire pression à la baisse sur les salaires des pauvres, sans eux il n’y aurait pas eu cette haine des français, sans eux il n’y aurait pas eu ces subventions aux filles mères, ni ces lois familiales permissives qui nourrissent la misère dont ils se repaissent. Encourager toute la misère du monde ne suffira jamais à apaiser leur désir de bonne conscience.
A leur décharge, les chroniqueurs de droite défendent bien mal ce policier, sur des critères raciaux en définitive. Car derrière la présentation victimaire du fonctionnaire, et les défauts grossis de Nahel, il y a bien l’idée d’une guerre civile qui permettra enfin de rétablir l’ordre. Leur cher ordre qui tolère toutes les injustices et qui décrédibilise tout changement de droite opérant. Leur cher ordre ayant pour but de rassurer leur conception de la vie. Ils veulent avoir raison de payer des impôts ces cons. Parfois ils se font vacciner jusqu’à en crever, et plus souvent encore, ils accréditent des lois restrictives de libertés publiques écrites par des socialistes. Secrètement ces nationaux socialistes rêvent de remplacer les internationaux socialistes modernes qui ont le pouvoir chez nous désormais. Dans quelques années, ils seront européens ces tartufes. Comme des banlieusards, ils cherchent des excuses à l’un des leurs, celui qui appartient à leur clan, le policier. Ils ne faut pas compter sur ceux-là pour relever notre civilisation car ils sont à l’origine du problème qui est le nôtre : ce sont des claniques.
En termes de tribalisme, la réaction de l’ambassadeur d’algérie ne dénote pas. Le type nous envoie le maximum de ses ressortissants qui n’ont aucun avenir chez lui, puis il fait mine de les défendre alors que Nahel était français. L’hérésie de la double nationalité n’en finit pas de semer la confusion. De quoi se mêle-t-il exactement ? Ah oui, comme nous avons besoin de pétrole/gaz parce que nous faisons la guerre à la russie, nous devons supporter chaque incartade de ce genre de personnage. Il en coûte cher de rechercher ses intérêts matériels.
Reste quelques éléments de civilisation dans notre peuple, quelques catholiques pris entre tous les feux, quelques rétifs à la vaccination obligatoire, quelques personnes qui déplorent en même temps l’attitude du policier ou celle du jeune qui a été tué, tout en comprenant combien ils avaient leurs raisons d’agir comme ils ont agi, des personnes qui ne veulent pas céder aux manipulations de tout bord, à la récupération d’extrême gauche, à la minimisation de droite, attitudes qui s’inverseront dès que la victime ou le bourreau auront changé de camp. Oui, nous sommes ce petit peuple très mal représenté, bien silencieux, qui détestons la banlieue sans détester les banlieusards, qui détestons les forces de l’ordre sans détester les policiers, qui en avons foutrement marre d’être pris pour des cons par des idéologues immatures et donneurs de leçons. Nous sommes les quelques restes de civilisation que contient encore ce pays et qui seuls pourront lui donner un avenir. Si nous sommes sommés de choisir, eh bien je choisis de rejeter tous ces crétins et leurs idées mortifères. Nous en avons ras le bol de devoir subir les décisions de ces médiocres corrompus, et de leur police.
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