A chaque défaite de la gauche, à chaque frustration, ce sont les mêmes images qui reviennent, celles de jeunes gauchistes qui piquent une crise devant la caméra pour exprimer leur frustration.
You guys worked hard for this. As a reward here is Liberal Tears; a 2024 Compilation.
You are welcome. pic.twitter.com/mCdHeIBxcx
— Dissident Media (@DissidentMedia) November 6, 2024
Les commentateurs sur ER le remarquent aussi. Les femmes de droite sont plutôt avenantes et abordables, elles ont l’air normal, tandis que leurs coreligionnaires de gauche transpirent la laideur, l’agressivité et la maladie mentale (piercing, tatouages, vêtements défaits…). L’un des commentateurs tente même une explication intéressante : les gauchistes souffriraient d’une sorte de complexe d’infériorité, qu’ils soigneraient par une adhésion aveugle à la méganorme socialiste/sociale. Ils se feraient ainsi les hérauts d’une cause entendue qui les valoriserait socialement et donc personnellement. La victoire de D Trump aurait été pour eux, plus qu’une défaite électorale, une défaite psychologique, ravivant leurs troubles, et je rajouterais, une défaite religieuse. Ayant tout misé sur leur système woke, qui normaliserait leurs tares (obésité, homosexualisme, racialisme…), ils ne tiendraient plus debout sans la caution de la dite société. J’adoube. Seulement, il reste l’éléphant au milieu du couloir qui nous empêche de le saisir dans son ensemble, tellement il est gros. Et cet animal, c’est bien celui de l’immaturité d’enfants élevés par des femmes ou leurs représentants, sans contre partie masculine.
Tous, vous remarquerez combien leurs tares s’expriment de manière immature. Ils sont tarés parce qu’immature ou immatures parce que tarés, selon les cas. Tels des bébés capricieux, ils se mettent en colère parce qu’ils n’ont pas obtenu ce qu’ils désiraient. Et ils attendent que la société réponde à toutes leurs attentes comme le ferait une mère avec son sein. Enfants mal sevrés d’une société matérialiste, ils piétinent le sol, ils crient leur colère, il éructent de manière très caricaturale. Passé l’âge des limbes, papa calme normalement ce genre de comportement avec une borne tarte, une exclusion temporaire du cercle familial, et/ou une privation de dessert au besoin, sanctions que tout enfant normalement constitué finit par recevoir avec gratitude. Sinon l’enfant reste prisonnier de lui-même et de ses caprices, ou de sa mère, et il ne s’ouvre jamais au monde et à l’altérité. Il faut croire que ce travail salutaire n’est plus fait à gauche.
Il y a aussi une immaturité à droite, mais qui n’est pas de même nature, et qui se réfère à un stade de l’enfance plus avancé, disons vers l’âge de 3-5 ans avec son besoin d’ordre et sa sujétion à maman. A gauche, elle la précède, et vit de confusion, comme les idées qu’elle propage, en matière sexuelle, avec la nourriture, ou les races (chez eux la confusion des races aboutit à une valorisation des autres races).
Vous me direz, nous ne voyons pas les journalistes français se mettre en colère et pleurer de manière si caricaturale sur nos plateaux TV. Et pourtant, ils font bien partie de cette machine à nourrir les narcissismes. Avec leur rhétorique enfantine sur le méchant Trump et la gentille Kamala, les méchants médecins complotistes et les gentils experts de plateaux, les méchants Russes et les gentils Ukrainiens néo-nazis, ils contribuent chaque jour à infantiliser les populations. Si les réactions ne sont pas aussi caricaturales qu’aux usa, et pour cause, cette élection ne concerne pas notre pays (mais que n’aurait-on vu si JM Le Pen eusse été élu en 2002…), elles provoquent des réactions identiques sur le fond.
Un autre commentateur affirmait que ce type de réaction était notre avenir en france, puisque les usa n’avaient que quelques années d’avance sur nous. En me référant toujours à l’élection de 2002, laissez-moi en douter. En vérité, la france était en avance avec Jean-Marie Le Pen, mais sa défaite face au gauchisme a entériné notre relégation internationale. Nous étions en avance à droite, mais la majorité du peuple était en retard, comme d’habitude dans un pays qui ne se pense qu’en termes de monarchie et qui attend de son chef, qu’il asservisse les consciences.
Mais revenons à mon évocation volontairement psychologisante. Comment ne pourrait-elle pas l’être ? Nos adversaires politiques de gauche recourent facilement à la psychiatrisation du débat quand ils n’ont plus d’arguments face à un homme de droite : cet homme est fou (ou c’est Hitler au choix) parce qu’il ne pense pas comme moi, comme la société, etc. Voilà surtout des personnes qui devraient s’appliquer les sentences qu’ils prononcent contre leurs ennemis. Une personne n’est pas folle quand elle avance une idée argumentée. Par contre, celle qui se met à piquer sa petite prise parce que son nin nin politique lui a été retiré, celle-là a toutes les apparences du fou. Je ne psychiatrise donc pas le débat. Les réactions à gauche sont elles-mêmes psychiatriques et parlent d’elles-mêmes. Non seulement, elles ont la forme d’une immaturité coupable à un âge si avancé, mais dans le fond, elle dénotent d’une absence d’acceptation de l’altérité : l’autre est un con puisqu’il s’oppose à moi, pensée qui est devenue majoritaire dans nos médias alors même qu’elle s’exprime de manière plus policée.
Ces malades mentaux ne font qu’un avec maman. Dans leur monde de bisounours, tout le monde devrait se faire des bisous, parce que les méchants sont ceux qui sont méchants avec ceux qui veulent faire des bisous à tout le monde. Enfin, si ce méchant est blanc. Parce que s’il est négro ou bougnoulesque, et qu’il ne veut pas faire des bisous à tout le monde, là, il a des excuses pour être méchant : c’est un enfant, irresponsable donc, tout comme n’importe quel gauchiste, donc identification.
A force de féminisation totalitaire, voilà où nous en sommes arrivés. Après, vous pourrez bien me parler de progrès, tant que les gens ne voteront pas pour une droite ferme et responsable qui n’existe pas encore en france, je n’y croirai pas. Au lieu de cela, il nous faut supporter de vivre dans une société de débiles, au sens propre du terme, qui n’ont pas avancé dans la vie à cause de manques de repères paternels, et de traîner à des millions de kilomètres devant eux tout en passant pour fou. Car si comme tous les adultes, j’ai bien rigolé en voyant ces vidéos de gauchistes larmoyants, il faut vite en revenir à la réalité et constater que cette posture ridicule et maladive, est la norme dans notre pays, et peut-être même dans toute l’europe de l’ouest, puisque nous aurions voté majoritairement pour un pantin mondialiste tel que Kamala si le choix nous avait été proposé.
J’insiste, même dans l’opposition, tout le monde file doux face à la maladie gauchiste. Certains protestent certes, mais ils sont de cette même droite qui ne se pose pas de question quand à sa propre acceptation de la maladie. Lorsqu’on appartient à une « droite responsable » en france, il faut être un peu opposé au féminisme mais surtout pas à celui de droite, et bien entendu, être pro-infanticide par avortement, pro-pilule, pro-décadence sociale par le tout sexuel. Il faut être pour la liberté d’expression, mais pas pour celle de M Faurisson ou de M Reynouard. Il faut être contre les subventions sauf quand le planificateur étatique passe commande et soutient les entreprises françaises (les PME au niveau local, et les géants au niveau national). Il faut dénoncer la théorie du genre mais pas la déviance homosexuelle ou sexuelle tout court. Je pourrais multiplier encore les exemples à droite de confusion intellectuelle entre responsabilité et faiblesse morale. Retenons seulement combien l’opposition est complexée en france et combien elle ne cherche pas à se battre contre ses complexes, mais qu’elle attend d’être légitimée par une gauche malade. De là découle une question cruciale pour notre civilisation occidentale : qui est le plus fou ? Le fou ou celui qui suit le fou ?
Les droitards feraient bien de se poser la question ou bien arrêter de rigoler quand ils voient des gauchistes étaler leur faillite psychiatrique sur les réseaux sociaux. Car alors, ils rient d’eux-mêmes. Il serait temps d’être un peu et vraiment responsable à droite, et de voir des hommes fiers de leurs compétences publiques spécifiques qui assument leur supériorité sexuelle. Ce pays a besoin d’hommes responsables et comme a dit D Trump suite à sa victoire, « de protéger les génies de la nation ».
Tandis que les plus grands pays, en sont revenus aux fondamentaux (Xi Ji Ping, V Poutine, J Mileil, D Trump), nous ferions bien de retrouver un discours de vérité au niveau social, et d’en arrêter avec les délires de toutes sortes qu’ils viennent de droite ou de gauche (féminisme, homosexualisme, indifférenciation raciale).
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